Appelés tehillim («louanges») en hébreu, les 150 Psaumes sont autant de cantiques ou prières de louange, de supplication ou d’imprécation. Apparemment composés entre les 15e et 6e siècles av. J.-C. dans des circonstances très diverses et attribués à des auteurs différents (Moïse, le roi David, Asaph, les descendants de Koré, Héman, Ethan et des anonymes), ils pouvaient être utilisés dans le culte familial ou au temple, parfois lors de fêtes religieuses.
(Ps 128; Jr 17.7-8) Pr 14.32; Mt 7.21-27
1 Heureux l’homme qui ne suit pas le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs et ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, [Ne suit pas : litt. ne marche pas dans.]
4 Les méchants, au contraire, ressemblent à la paille que le vent disperse. [Disperse : texte massor.; Sept. «chasse de la surface de la terre».]
6 En effet, l’Eternel connaît la voie des justes, mais la voie des méchants mène à la ruine. [Mène à la ruine : litt. se perd ou sera détruite.]