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Nouvelle Bible Segond – Josué 10

Victoire sur les rois amorites

10 Adoni-Tsédeq, roi de Jérusalem, apprit que Josué avait pris le Aï et qu'il l'avait frappé d'anathème, qu'il avait traité le Aï et son roi comme il avait traité Jéricho et son roi, que les habitants de Gabaon avaient fait la paix avec Israël et qu'ils étaient parmi eux. [Adoni-Tsédeq : Mon Seigneur est justice ou Mon Seigneur est (le dieu) Tsédeq. LXX porte Adoni-Bézeq, comme en Jg 1.5-7. – Jérusalem : première mention de Jérusalem sous ce nom ; plus loin, la ville est nommée Jébus (Jg 19.10). – anathème : voir bénédiction, malédiction. – traité Jéricho et son roi : cf. v. 28 ; 6.1ss ; 8.2. – Gabaon... la paix avec Israël : voir chap. 6 ; 8–9.]2 Ils eurent très peur, car Gabaon était une grande ville, comme une des villes royales, plus grande même que le Aï, et tous ses hommes étaient vaillants. [Ils eurent très peur : il s'agit probablement d'Adoni-Tsédeq et de ses gens ; certains modifient le texte hébreu traditionnel pour lire il eut très peur. – Gabaon... une des villes royales : Gabaon était gouvernée par un conseil d'anciens (9.11) et non par un roi. – vaillants : autre traduction guerriers (cf. v. 7).]3 Adoni-Tsédeq, roi de Jérusalem, envoya à Hoham, roi d'Hébron, à Piréam, roi de Yarmouth, à Yaphia, roi de Lakish, et à Debir, roi d'Eglôn, le message suivant : [Hébron (Ligue, Confédération) : ville de Juda à 35 km au sud de Jérusalem ; cf. 14.15 ; 15.13 ; 20.7 ; 21.11 ; 2S 2.1-4 ; 5.5 ; 15.7-11 ; 2Ch 11.5,10. – Yarmouth : localité de la plaine côtière, non loin de Beth-Shémesh v. 5 ; 15.35 ; Né 11.29. – Lakish, au sud-ouest de Jérusalem, v. 31-33 ; 15.39 ; cf. 2R 14.9 ; 18.13s ; Es 36.2 ; 37.8 ; 2Ch 11.9 ; 25.27 ; 32.9. – Eglôn 15.39 ; peut-être à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Jérusalem.]4 Ralliez-vous à moi et aidez-moi à attaquer Gabaon, car elle a fait la paix avec Josué et avec les Israélites. 5 Les cinq rois des Amorites – le roi de Jérusalem, le roi d'Hébron, le roi de Yarmouth, le roi de Lakish, le roi d'Eglôn – se rassemblèrent et se mirent en campagne avec toutes leurs troupes ; ils dressèrent leur camp contre Gabaon et lui firent la guerre. [Amorites : cf. 3.10n ; Ex 3.8.]

6 Les hommes de Gabaon envoyèrent à Josué, au camp, au Guilgal, le message suivant : Ne nous abandonne pas, nous qui sommes tes serviteurs ! Rejoins-nous vite, délivre-nous, secours-nous ! Car tous les rois des Amorites qui habitent la montagne se sont rassemblés contre nous. [au camp, au Guilgal : cf. v. 15,43 ; 4.19ns ; 5.9s ; 9.6. – serviteurs : le même mot peut être traduit par esclave. – délivre-nous, secours-nous : cf. Ac 16.9. – rassemblés 9.2n.]7 Josué monta du Guilgal, lui et tous les hommes de guerre avec lui, tous les vaillants guerriers. [tous les hommes de guerre : cf. 8.1. – les vaillants guerriers : cf. 1.14 ; 6.2 ; 8.3.]

8 Le SEIGNEUR dit à Josué : N'aie pas peur d'eux, car je te les ai livrés ; aucun d'eux ne tiendra devant toi. [N'aie pas peur d'eux : cf. v. 25+ ; 1.9 ; 6.2 ; 8.1 ; 11.6. – je te les ai livrés : cf. 6.2 ; 8.18. – aucun d'eux ne tiendra... : cf. 1.5+ (autre verbe).]9 Josué arriva sur eux à l'improviste. Il avait marché toute la nuit depuis le Guilgal. [Il avait marché : litt. il était monté (marche d'une trentaine de kilomètres). – toute la nuit : cf. 2S 2.29,32 ; 4.7 ; voir aussi 17.16.]10 Le SEIGNEUR les frappa de panique devant Israël ; il leur infligea une grande défaite à Gabaon, les poursuivit vers la montée de Beth-Horôn et les battit jusqu'à Azéqa et Maqqéda. [Le SEIGNEUR les frappa de panique : cf. Ex 14.24 ; 23.27 ; Jg 4.15 ; 1S 7.10 ; voir aussi Dt 2.25 ; 11.25. – il leur infligea : le sujet n'est pas précisé. – vers la montée de Beth-Horôn... : entre Beth-Horôn-le-Haut, à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Gabaon, et Beth-Horôn-le-Bas, 4 km plus loin en direction de la plaine côtière et du littoral méditerranéen ; cf. 16.3,5 ; 18.13s. – Azéqa : au sud de la vallée d'Ayyalôn, v. 12, et à une trentaine de kilomètres de Gabaon. – Maqqéda : entre Lakish et Hébron, au sud, v. 3 ; cf. v. 16-27.]11 Alors qu'ils fuyaient pour échapper à Israël, dans la descente de Beth-Horôn, le SEIGNEUR fit tomber du ciel sur eux de grosses pierres jusqu'à Azéqa, et ils moururent ; ceux qui moururent par les pierres de grêle furent plus nombreux que ceux que les Israélites tuèrent par l'épée. [pierres de grêle : cf. Ex 9.18 ; Es 28.17 ; 30.30 ; Siracide 46.5s : « Le Seigneur Grand l'exauça en envoyant des grêlons d'une force énorme. Il fondit sur la nation ennemie, il fit périr les adversaires qui dévalaient la pente. »]

12 Alors Josué parla au SEIGNEUR, le jour où le SEIGNEUR livra les Amorites aux Israélites ; sous les yeux d'Israël, il dit :

Soleil, tiens-toi immobile sur Gabaon,
et toi, lune, sur la vallée d'Ayyalôn ! [Cf. Es 28.21. – aux Israélites : litt. devant les Fils d'Israël. – sous les yeux d'Israël... : on pourrait aussi lire et il dit : Sous les yeux d'Israël, soleil... ; dans LXX, cette formule fait partie d'un texte plus long : quand il les brisa à Gabaon et qu'ils furent brisés devant les Israélites. – il dit : LXX Josué dit. – tiens-toi immobile : le verbe hébreu signifie le plus souvent se taire. Cf. Siracide 46.4 : « N'est-ce pas par lui que le soleil fut arrêté et qu'un seul jour en devint deux ? » – vallée d'Ayyalôn : à l'ouest de Gabaon.]

13 Alors le soleil se tint immobile, la lune s'arrêta,
jusqu'à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis.

Cela est écrit dans le livre du Juste : le soleil s'arrêta au milieu du ciel et ne se pressa pas de se coucher, presque tout un jour.[le livre du Juste (hébreu Yashar ; cf. le terme apparenté Yeshouroun en Dt 32.15n) ou de Rectitude : sans doute un recueil perdu de chants de victoire ; il est également cité en 2S 1.18.]14 Il n'y a jamais eu de jour comme celui-là, ni avant ni après, où le SEIGNEUR ait entendu un homme ; car le SEIGNEUR combattait pour Israël. [le SEIGNEUR combattait pour Israël v. 42 ; cf. 23.3+.]15 Puis Josué, et tout Israël avec lui, retourna au camp, au Guilgal. [au camp, au Guigal v. 6n.]

Josué exécute les cinq rois vaincus

16 Ces cinq rois s'enfuirent et se cachèrent dans la grotte de Maqqéda. [Maqqéda v. 10n.]17 On dit à Josué : Les cinq rois ont été trouvés cachés dans la grotte de Maqqéda. 18 Josué dit : Roulez de grosses pierres à l'entrée de la grotte et postez-y des hommes pour les garder. [grosses pierres : cf. v. 27. – à l'entrée : litt. à la bouche.]19 Quant à vous, ne vous arrêtez pas, poursuivez vos ennemis et attaquez leur arrière-garde, ne les laissez pas rentrer dans leurs villes, car le SEIGNEUR, votre Dieu, vous les a livrés. [attaquez leur arrière-garde : même formule en Dt 25.18. – vous les a livrés : cf. v. 8+.]20 Quand Josué et les Israélites eurent achevé de leur infliger une très grande défaite, jusqu'à leur extermination – les survivants allèrent se réfugier dans les villes fortifiées – [de leur infliger une très grande défaite : litt. de les frapper d'un très grand coup. – jusqu'à leur extermination ou jusqu'à la défaite totale ; cf. 8.24. – les survivants : cf. v. 28ss.]21 tout le peuple revint sain et sauf au camp vers Josué, à Maqqéda, sans que personne ose dire un mot contre les Israélites. [sain et sauf ou victorieux : litt. en paix, cf. Gn 26.29 ; 28.21 ; Ex 18.23 ; Jg 8.9 ; 11.31 ; 2S 19.25 ; 1R 22.27s ; 2Ch 18.26s ; 19.1. – Maqqéda v. 10n. – sans que personne ose... : litt. aucun homme ne remua la langue pour les Fils d'Israël, cf. Ex 11.7.]

22 Josué dit alors : Ouvrez l'entrée de la grotte, faites-en sortir ces cinq rois et amenez-les-moi. 23 Ils firent ainsi ; ils sortirent de la grotte ces cinq rois et les lui amenèrent ; c'étaient le roi de Jérusalem, le roi d'Hébron, le roi de Yarmouth, le roi de Lakish, le roi d'Eglôn. [ces cinq rois : comme au v. 5 ; leurs noms sont au v. 3.]24 Lorsqu'on eut fait sortir ces rois vers Josué, Josué appela tous les hommes d'Israël et dit aux capitaines des hommes de guerre qui avaient marché avec lui : Approchez, mettez le pied sur la nuque de ces rois. Ils s'approchèrent et mirent le pied sur leur nuque. [tous les hommes d'Israël 9.6n. – mettez le pied (litt. vos pieds) sur la nuque (ou sur le cou), geste symbolique du vainqueur ; les souverains d'Egypte et de Mésopotamie sont souvent représentés le pied sur la nuque ou la poitrine de leurs adversaires vaincus. Voir 1R 5.17 ; Es 51.23 ; Ps 66.12 ; 110.1.]25 Josué leur dit : N'ayez pas peur, ne soyez pas terrifiés. Soyez forts et courageux, car c'est ainsi que le SEIGNEUR traitera tous les ennemis que vous combattez. [N'ayez pas peur : cf. 1.6s,9n ; 8.1n ; Dt 3.21s ; 31.6. – Soyez forts... 1.6n,18 ; Dt 3.28+.]26 Après cela, Josué les mit à mort ; il les pendit à cinq arbres, et ils restèrent pendus aux arbres jusqu'au soir. [les mit à mort : litt. les frappa et les mit à mort ; cf. 9.18. – jusqu'au soir : cf. 8.29n.]27 Vers le coucher du soleil, Josué ordonna de les descendre des arbres. On les jeta dans la grotte où ils s'étaient cachés et on mit à l'entrée de la grotte de grosses pierres ; elles y sont restées jusqu'à ce jour même. [grosses pierres : cf. v. 18. – jusqu'à ce jour même : cf. 4.9 ; 7.26 ; 8.29.]

Josué conquiert les villes du sud

28 Ce jour-là, Josué prit Maqqéda et la passa au fil de l'épée, avec son roi. Il les frappa d'anathème, ainsi que tous les êtres vivants qui s'y trouvaient : il ne laissa aucun survivant, et il traita le roi de Maqqéda comme il avait traité le roi de Jéricho. [Ce jour-là : cf. v. 27,35. – Maqqéda v. 10n. – au fil de l'épée 6.21n. – anathème : cf. 6.17,21 ; Dt 2.34n ; voir bénédiction, malédiction. – aucun survivant : cf. v. 30,33,37,39s ; 8.22 ; Nb 21.35 ; Dt 2.34 ; 3.3 ; 2R 10.11. – traité le roi de Jéricho : cf. v. 1 ; 8.2+.]

29 Josué, et tout Israël avec lui, passa de Maqqéda à Libna ; il fit la guerre à Libna. [passa : cf. v. 31,34. – Libna, à l'ouest de Maqqéda, serait localisée à Tell Bornat, à 7 km au nord de Lakish (v. 3) et à 10 km à l'est de Qiriath-Gath.]30 Le SEIGNEUR la livra aussi, avec son roi, à Israël, qui la passa au fil de l'épée, avec tous les êtres vivants qui s'y trouvaient. Il n'y laissa aucun survivant, et il traita son roi comme il avait traité le roi de Jéricho. [V. 28,32.]

Les cités-Etats cananéennes au IIe millénaire av. J.-C.

De nombreux documents du XVe siècle av. J.-C., et en particulier les fameuses lettres d’Amarna (Egypte), mentionnent la présence en Canaan de puissantes cités libres, telles Hatsor, Meguiddo, Sichem, Guézer, Lakish et... Jérusalem. Ces documents administratifs donnent à penser que l’efficacité du protectorat égyptien sur la région diminue à mesure que ces Etats miniatures prennent du poids. Une cause non négligeable du renforcement de ces structures locales réside dans les difficultés rencontrées auprès d’une population indomptable de nomades plus ou moins sédentarisés dans les campagnes, qui maintenant menacent directement les villes. Il sont désignés sous le nom de ’Apirou, type social auquel on assimile parfois les « Hébreux » (voir Gn 10.21n).

Comment fonctionnaient ces cités ?

Du fait de la difficulté des communications, chaque ville avec ses environs immédiats vivait en autarcie. Il lui appartenait de pourvoir par ses propres moyens à sa défense, qui était sa première raison d’être ; mais aussi d’assurer l’approvisionnement en eau et en nourriture, même en cas de siège. Les sommets des collines à proximité de sources et de terres cultivables étaient tout désignés pour cela. Il s’en est suivi une certaine uniformité dans l’aménagement des lieux. Beaucoup de ces forteresses disposaient d’un réseau de tunnels, de puits à escaliers et de galeries permettant d’accéder à une source à flanc de coteau sans franchir les remparts (voir « Le tsinnor »).

A la tête de ces cités-Etats se trouve un souverain qui cumule les fonctions de prêtre, de magistrat et de chef militaire. L’avènement de la monarchie israélite va remettre en question le principe même de ce système. Après s’être emparé de l’une de ces cités-Etats, Jébus-Jérusalem, David y mettra en place un système centralisé où l’unique roi de droit divin, chef religieux et militaire, exercera sa domination sur l’ensemble du pays et de ses villes.

31 Josué, et tout Israël avec lui, passa de Libna à Lakish ; ils dressèrent leur camp contre elle et lui firent la guerre. 32 Le SEIGNEUR livra Lakish à Israël, qui la prit le deuxième jour et la passa au fil de l'épée, avec tous les êtres vivants qui s'y trouvaient, tout comme il l'avait fait pour Libna. 33 Alors Horam, roi de Guézer, monta pour secourir Lakish. Josué le battit, lui et son peuple, sans lui laisser aucun survivant. [Guézer : carrefour important entre la « route de la Mer » qui relie l'Egypte et la Mésopotamie en longeant le littoral philistin, et celle qui conduit de Jérusalem au port de Jaffa ; cf. 16.10 ; Jg 1.29 ; voir aussi 1R 9.15-17.]

34 Josué, et tout Israël avec lui, passa de Lakish à Eglôn ; ils dressèrent leur camp contre elle et lui firent la guerre. [Lakish / Eglôn v. 3n.]35 Ils la prirent le jour même et la passèrent au fil de l'épée, avec tous les êtres vivants qui s'y trouvaient ; il les frappa d'anathème ce jour-là, tout comme il l'avait fait pour Lakish. [anathème v. 28+.]

36 Josué, et tout Israël avec lui, monta d'Eglôn à Hébron, et ils lui firent la guerre. [Hébron v. 3n.]37 Ils la prirent et la passèrent au fil de l'épée, avec son roi, toutes les villes qui en dépendaient et tous les êtres vivants qui s'y trouvaient, tout comme il l'avait fait pour Eglôn. Il ne laissa aucun survivant ; il la frappa d'anathème, ainsi que tous les êtres vivants qui s'y trouvaient.

38 Josué, et tout Israël avec lui, se tourna vers Debir et lui fit la guerre. [Debir (nom d'une personne au v. 3) : cf. 11.21 ; 15.15s,49 ; 21.15 ; voir aussi Jg 1.11s. Peut-être à 13 km au sud-ouest d'Hébron.]39 Il la prit, avec son roi et toutes les villes qui en dépendaient, et ils les passèrent au fil de l'épée ; ils frappèrent d'anathème tous les êtres vivants qui s'y trouvaient. Il ne laissa aucun survivant. Il traita Debir et son roi comme il avait traité Hébron et comme il avait traité Libna et son roi.

40 Josué battit tout le pays, la montagne, le Néguev, la plaine côtière et les coteaux, ainsi que tous leurs rois ; il ne laissa aucun survivant. Il frappa d'anathème tout ce qui respirait, comme l'avait ordonné le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël. [plaine côtière : hébreu shephéla. – les coteaux : la région des coteaux (mot traduit par pentes en 12.3 ; même mot hébreu au v. 8 ; 13.20) se situe entre la plaine côtière et la région montagneuse de Juda. – aucun survivant v. 28+. – anathème v. 28+. – tout ce qui respirait : litt. tout souffle, c.-à-d. tout vivant ; cf. 11.11,14 ; Dt 20.16 ; 1R 15.9 ; voir esprit. – le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël : cf. Dt 7.2 ; 20.16s.]41 Josué les battit de Qadesh-Barnéa à Gaza, tout le pays de Goshen, jusqu'à Gabaon. [Qadesh-Barnéa ou Qadesh : étape de l'Exode (Nb 13.26n ; 20). – Gaza : l'une des cinq villes des Philistins, sur le littoral. – le pays de Goshen : nom identique à celui du territoire égyptien où séjournèrent les descendants de Jacob (cf. Gn 45.10n ; 47.1,11,27). Ici, il s'agit d'une ville qui fera partie de Juda (Jos 15.51).]42 Josué captura tous ces rois et prit leur pays en une seule fois, car le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël, combattait pour Israël. [captura et prit traduisent un seul verbe hébreu. – le SEIGNEUR... combattait... : cf. v. 14n.]43 Puis Josué, et tout Israël avec lui, retourna au camp, au Guilgal. [Ce v. est absent de LXX (cf. v. 15). – au camp, au Guigal v. 6n.]

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