2 Je décidai donc en moi-même de ne pas revenir chez vous dans la tristesse.o
o Allusion au caractère pénible de la visite que Paul a dû faire à Corinthe avant la 2 Co, voir l’Introduction.
p Allusion à la « lettre sévère », 2 Co 2.3, 4, 9 ; 7.8, 12 ; voir l’Introduction.
5 Que si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas à moi qu’il en a causé ; c’est, dans une certaine mesure (n’exagérons rien), à vous tous.
q Celui qui avait offensé Paul ou son représentant, voir l’Introduction.
12 J’arrivai donc à Troas pour l’Évangile du Christ, et, bien qu’une porte me fût ouverte dans le Seigneur,
r Chrétien d’origine païenne, peut-être converti par Paul, Tt 1.4, qu’il accompagne lors de son second voyage à Jérusalem, Ga 2.1. Chargé par Paul d’aller régler sur place les incidents de Corinthe, il y réussit pleinement, 2 Co 7.5-7. Paul le renvoie bientôt à Corinthe pour y poursuivre l’organisation de la collecte 2 Co 8.16, 23.
s Le rappel des événements est interrompu par une digression sur le ministère apostolique, 2 Co 2.14-7.4. Il reprendra en 2 Co 7.5.
14 Grâces soient à Dieu qui, dans le Christ, nous emmène sans cesse dans son triomphet et qui, par nous, répand en tous lieux le parfum de sa connaissance.
t Dans la victoire du Christ ressuscité, Dieu manifeste sa gloire comme un général romain victorieux qui entre à Rome en triomphateur et sur la route duquel on brûle des parfums, cf. vv. 15s. Les chefs vaincus étaient mis à mort, cf. v. 16.
15 Car nous sommes bien, pour Dieu, la bonne odeur du Christ parmi ceux qui se sauvent et parmi ceux qui se perdent ;
u Paul utilise les mots « vie » et « mort » en trois sens physique, existentiel et eschatologique. Les deux derniers sens sont seuls en question ici.
v Var. « les autres ».