7 En possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant de nous sanctifier dans la crainte de Dieu.
2 Faites-nous place en vos cœurs.b Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne.
b La lettre du texte grec ne porte que « Faites-nous place ». Autre trad. possible « Comprenez-nous ».
5 De fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chairc ne connut pas de repos. Partout des tribulations : au-dehors, des luttes ; au-dedans, des craintes.
c C’est-à-dire la personne de Paul, envisagée sous son aspect de faiblesse, cf. Rm 7.5.
7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que vous-mêmes lui aviez donnée. Il nous a fait part de votre ardent désir, de votre désolation, de votre zèle pour moi, si bien qu’en moi la joie a prévalu.
8 Vraiment, si je vous ai attristés par ma lettre,d je ne le regrette pas. Et si je l’ai regretté — je vois bien que cette lettre vous a, ne fût-ce qu’un moment, attristés —
d La « lettre sévère », cf. 2 Co 2.3 et Introduction.
9 je m’en réjouis maintenant, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que cette tristesse vous a portés au repentir. Car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n’avez, de notre part, subi aucun dommage.
e Sentiments et conduite des Corinthiens vis-à-vis de Paul et du coupable, à la suite de la « lettre sévère », cf. 2 Co 2.5-8.
f L’« offensé » était probablement un envoyé de Paul. Sur sa personne, sur celle de l’offenseur, 2 Co 2.6, et sur la nature de l’offense, nous ne savons rien.
À cette consolation personnelle s’est ajoutée une joie bien plus grande encore, celle de voir la joie de Tite, dont l’esprit a reçu apaisement de vous tous.
16 Je me réjouis de pouvoir en tout compter sur vous.