6 Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main,
Et ma vie est comme un rien devant toi.
Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle.
Pause.
7 Oui, l'homme se promène comme une ombre,
Il s'agite vainement ;
Il amasse, et il ne sait qui recueillera.