k Littéralement « fils de Bélial ». Sens probable « sans utilité », d’où « vauriens », « mauvais ». Peu à peu, « Bélial » fut senti comme un nom propre, en relation avec la puissance du mal, cf. Ps 18.5 (« Béliar » dans le NT, 2 Co 6.15, et les Apocryphes).