l Pour libérer les hommes de la malédiction divine que la violation de la Loi faisait peser sur eux, le Christ s’est fait solidaire de cette malédiction, cf. Rm 8.3 ; 2 Co 5.21 ; Col 2.14. L’analogie assez lointaine du Christ crucifié et du condamné de Dt 21.23 n’est qu’une illustration de cette doctrine. Il a accepté de passer pour tel aux yeux des Juifs, comme le « Serviteur » d’Isa 53.
c Les deux aspects, négatif et positif, de la rédemption en devenant fils, l’esclave acquiert la liberté. L’esclave libéré est adopté comme fils, non seulement par l’accession légale à l’héritage, v. 7 (cf. 3.29), mais par le don réel de l’Esprit.