14 Il sera un sanctuaire,a un rocher qui fait tomber,
une pierre d’achoppement pour les deux maisons d’Israël,
un filet et un piège pour les habitants de Jérusalem.
a Au lieu de « sanctuaire » miqdash, le Targ. a lu « piège » moqesh, comme à la fin du v. Le texte actuel paraît être une erreur ou une correction de scribe.
16 C’est pourquoi, ainsi parle le Seigneur Yahvé :d
Voici que je vais poser en Sion une pierre,
une pierre de granit, pierre angulaire, précieuse,
pierre de fondation bien assise :
celui qui s’y fie ne sera pas ébranlé.
d Les vv. 16-17 forment un bref oracle qui rompt le développement. L’architecte divin de la Jérusalem nouvelle pose sur le droit et la justice la pierre de fondation qui porte peut-être comme nom « Celui qui s’y fie ne sera pas ébranlé », équivalent des noms symboliques « Ville-de-Justice, Cité-fidèle » de 1.26. Dans le NT, l’image de la pierre de fondation ou de la pierre angulaire sera appliquée au Christ, Mt 21.42 ; Ep 2.20 ; 1 P 2.4-8, ou à Pierre, Mt 16.18.