g L’expression désigne non seulement, comme ici, l’holocauste, mais la part de tout sacrifice qu’on brûlait pour Yahvé. L’offrande n’est pas considérée comme une nourriture matérielle que l’homme offrirait à Dieu et partagerait avec lui, cf. Dt 18.1, mais elle est assimilée à la fumée de l’holocauste ou de l’encens, qui monte en « odeur apaisante », cf. Ex 29.18.