r Connaissance d’un Dieu unique et personnel, impliquant la conscience d’une obligation de prière et d’adoration.
s Ce verset, qui reprend la critique biblique et juive de l’idolâtrie, fait aussi allusion à l’épisode du veau d’or et à l’idolâtrie passée d’Israël (Ps 106.20 ; cf. Ex 32) ; Paul indique ainsi implicitement que ses réflexions ne touchent pas que les païens, mais une tendance constante de l’humanité.
24 Aussi Dieu les a-t-il livrést selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps ;
t Jusqu’à la fin du chap. 1, Paul ne fait que reprendre les critiques que le judaïsme d’alors faisait des païens et de leurs mœurs. Cf. Sg 11-12.
u Le mot hébreu Amen, hérité de l’AT, cf. Ps 41.14, passe dans l’usage de l’Église chrétienne, 9.5 ; 11.36 ; 1 Co 14.16 ; Ap 1.6-7 ; 22.20-21, etc. Déjà employé par Jésus, Mt 5.18, il lui est ensuite donné comme un nom propre, à titre de témoin véritable des promesses de Dieu, 2 Co 1.20 ; Ap 1.2, 5 ; 3.14.