15 Mais il n’en va pas du don comme de la faute. Si, par la faute d’un seul, la multitudet est morte, combien plus la grâce de Dieu et le don conféré par la grâce d’un seul homme, Jésus Christ, se sont-ils répandus à profusion sur la multitude.
t Cette « multitude » inclut tous les hommes, cf. v. 18 ; voir Mt 20.28.
18 Ainsi donc, comme la faute d’un seul a entraîné sur tous les hommes une condamnation, de même l’œuvre de justice d’un seul procure à tous une justification qui donne la vie.
u Non pas seulement au Jugement dernier (la justification pour Paul est actuelle, cf. 5.1, etc.), mais à mesure que les hommes renaîtront en Jésus Christ.