a Sans être pécheur, 2 Co 5.21, le Christ, par son corps de chair semblable au nôtre, 8.3, appartenait à la sphère du péché : devenu « spirituel », 1 Co 15.45-46, il n’appartient plus qu’à la sphère divine. Ainsi le chrétien, bien qu’il demeure provisoirement dans la chair, vit déjà de l’Esprit.