c Le baptême a détruit le péché dans l’homme, mais tant que son corps n’a pas « revêtu l’immortalité » 1 Co 15.54, le péché peut trouver en ce corps « mortel », siège de la concupiscence, le moyen de régner encore, cf. 7.14s.
a En raison du péché, 5.12, le corps est destiné à la mort physique et il est instrument de mort spirituelle ; mais l’Esprit est vie, puissance de résurrection, voir note suivante.