David reconnaît avoir provoqué la colère de Dieu par sa faute. Il demande pardon de ses péchés. Il s’afflige de ne pouvoir louer Dieu qui le laisse en danger de mort. Puis, ayant repris courage, il magnifie la grâce divine, et tourne son propos contre ses ennemis qui se réjouissent de ses maux.
Strasbourg, Genève, 1542