Le psalmiste énumère les périls extrêmes dans lesquels il s’est trouvé. Il reconnaît la bonté du Seigneur qui l’a délivré. Après s’être exhorté à se réjouir, il exprime le désarroi dans lequel il était tombé. Il ajoute que de son côté il ne peut que témoigner des bienfaits qu’il a reçus de Dieu ; il veut le faire en rendant un sacrifice solennel d’actions de grâces.
Genève, 1562