David contemple la sagesse de Dieu, son art merveilleux qui apparaît dans la création, en particulier dans la structure du corps humain, et en conclut que rien ne peut être caché à un tel ouvrier. Il s’exhorte d’autant plus à marcher en présence de Dieu, sans hypocrisie. Finalement, il glorifie sa providence, tant en la grâce qu’il accorde aux fidèles que dans les jugements qu’il exerce sur ceux qui osent critiquer sa majesté.
Genève, 1551