« Mais à chacun de nous la grâce a été donnée selon la mesure du don de Christ. C’est pourquoi il est dit : Il est monté dans les hauteurs, Il a emmené des captifs et il a fait des dons aux hommes… et Il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints, en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du Corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que, professant la vérité dans l’amour, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. C’est de lui et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le Corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans l’amour »
Nous abordons un autre aspect du sujet des fondations.
Dans le Psaume 11, apparaît un caractère commun à toutes les fondations et aux édifices construits sur la Parole de Dieu. En considérant de plus près ce psaume, vous vous rappelez que David, en écrivant ce psaume, était en pleine période de trahison, d’opposition et d’antagonismes. Les méchants bandaient leurs arcs dans les ténèbres pour tirer secrètement sur les justes, et au milieu de cette hostilité, le psalmiste fait référence à ses fondations, en disant « Jéhovah est son saint temple ». Il y a deux choses : la construction (le temple, les fondations) et le combat (l’adversaire et l’atmosphère conflictuelle). Tout au long de la Parole de Dieu, ces deux choses vont toujours ensemble.
Lors de la reconstruction de la muraille de Jérusalem par Néhémie, il y a côte à côte l’épée et la truelle. Lors de la construction du temple de Salomon, David a dû soumettre tous les ennemis environnants, pour que cette construction soit possible. Tant que la bataille n’avait pas accompli son œuvre, aucune construction n’était possible. Si vous transposez spirituellement ces illustrations de l’Ancien Testament dans le Nouveau Testament, ces choses vont toujours de pair : chaque fois que quelque chose doit être bâti, il y a un combat correspondant…
Dans la première épître aux Corinthiens, l’exemple de cette vérité est évident : la construction même de cette lettre a impliqué une terrible bataille.
Dans l’épître aux Éphésiens, il en est de même : la Maison « habitation de Dieu en esprit », l’Église qui est le Corps de Christ. Il y a beaucoup de choses sur l’édification du Corps, mais l’Ennemi est présent en permanence, des principautés, des puissances, des dominations terrestres dans les lieux de ténèbres. La construction est accompagnée de conflit, de combat (voir le chapitre 4). L’apôtre montre bien que toute la construction du Corps de Christ est accompagnée d’antagonismes, de dangers, de périls et d’une opposition spirituelle.
Toutes les erreurs, toutes ces déviations, ces trahisons, ces vents de doctrine, ces vagues de mensonges et de faussetés, sont tous les éléments des forces d’opposition à l’Église, le Corps de Christ. Ils sont associés au développement, au perfectionnement, à l’accomplissement du plan de Dieu dans l’Église.
Cela implique une progression et une amélioration. Et l’apôtre d’ajouter que les saints soient bien établis, bien fondés dans la plénitude où chacun est un membre responsable, loyal et digne de confiance du Corps de Christ.
Quels sont les buts et les objectifs de ces solides fondations ? Que chaque membre du Corps de Christ soit un membre opérationnel, responsable et efficace, en position d’avoir la capacité de Christ et de se tenir contre les ruses, les manigances et le mensonge du Méchant, contre les vents de doctrine et les vagues d’erreurs. Mais, bien-aimés, il nous faut être conscients de l’absolue nécessité d’être dans cette position. Les conditions dans lesquelles évoluait Paul à cette époque, sont identiques aujourd’hui.
Bien sûr, à l’époque, c’étaient les gnostiques qui étaient à l’origine de tout cela ; ces gens prétendaient détenir la sagesse et posséder toute la connaissance.
Paul disait que les moyens qu’ils utilisaient étaient les ruses, les astuces, l’erreur, la fausse doctrine, un enseignement erroné. On peut dire que le « gnosticisme » est très répandu de nos jours : des vagues d’erreurs balayent la terre, et de manière tellement subtile, que la pensée naturelle ne peut le discerner. Le défaut, l’erreur et la déviation sont tellement déguisés dans des formés bibliques, dans une phraséologie, que les enfants spirituels, dont Paul parle, seraient facilement déstabilisés. C’est bien sûr très positif d’être un enfant de Dieu, un bébé né de nouveau, mais ce qui est négatif et préjudiciable, c’est de rester un enfant quand il faudrait être un homme… et l’apôtre l’exprime très bien.
Dans l’expectative soulignée par la Parole de Dieu que ces choses vont s’accroître, se développer et devenir de plus en plus cachées et subtiles, avec tous les miracles qui vont les accompagner, la nécessité très claire que voyait l’apôtre par l’Esprit en lui, c’est que chaque membre du Corps de Christ devait prendre position contre ces ruses et ces tromperies, établir de solides fondations si profondément enracinées qu’elles ne pouvaient pas être ébranlées.
Le ministère aujourd’hui doit aller dans cette direction ; la Parole de Dieu nous avertit ; si nous ne prenons pas garde à cet avertissement, nous serons rapidement confrontés aux ruses de l’erreur, du faux enseignement et des vents de fausses doctrines. Si nous ne sommes pas enracinés et solidement établis, nous serons secoués, ébranlés, nous perdrons pied et nous serons renversés…
Maintenant, ayant conscience d’une situation et d’un besoin si sérieux, si solennels, cette parole nous est donné par le Seigneur et nous devons bien la garder dans notre cœur. Chaque membre de Christ, sans exception, doit être responsable, faire preuve d’intelligence spirituelle, être opérationnel, et chaque membre est potentiellement en situation périlleuse.
Ne soyez donc pas surpris de constater que ces vents et ces vagues sont en train d’ébranler une multitude de chrétiens. Tôt ou tard, ils seront complètement perdus et ne sauront plus où ils en sont, parce que, malgré qu’ils aient le Nouveau Testament et l’épître aux Éphésiens, ils ne sont ni enseignés, ni instruits, ni établis en Christ, afin de pouvoir comprendre, juger et tenir ferme, en période de danger.
« Dieu a fait des dons aux hommes… Il donna des apôtres des prophètes, des évangélistes, des pasteurs et des docteurs »
Pour que l’Église soit bien en vue, les dons ont été attribués au Corps de Christ par le Seigneur, lors de son ascension. Ces dons sont expressément pour un but : « le perfectionnement des saints pour l’œuvre du ministère, en vue de l’édification du Corps de Christ, jusqu’à ce que nous ayons tous atteints l’unité de la foi » (Éphésiens 4.12-13).
Ici, l’œuvre du ministère n’est pas reliée directement aux apôtres, aux prophètes, aux pasteurs, aux évangélistes et aux docteurs. Non, l’œuvre du ministère est liée aux chrétiens (les saints) qui sont perfectionnés par l’intermédiaire des 5 grands ministères. Le résultat de l’œuvre de ces dons est de faire en sorte que les saints puissent exercer un ministère, être opérationnels et exercer avec assurance. Tous les saints sont appelés à être dans le ministère.
Chaque membre du Corps est un serviteur, un ministre, conformément à la volonté de Dieu. L’Église n’est réellement en sécurité que lorsqu’ils sont en position de servir, d’être qualifiés au ministère.
Les ministères et services peuvent être aussi variés et aussi nombreux qu’il y a de membres dans le Corps de Christ. Le mot « perfectionnement » doit être bien clair. Vous pourriez dire : « Oui, bien sûr, si nous étions parfaits, nous pourrions alors exercer un ministère ! ». Assurément, le chemin est long devant nous, mais il faut y entrer de plein pied et avancer. Le mot « perfectionner » ici a un autre sens : il est souvent utilisé comme terme médical ; la traduction littérale serait « régénération » ou « restauration » des saints. En cas d’accident avec fractures, vous seriez transportés à l’hôpital pour réparation, opération et convalescence, avant d’être restaurés physiquement. Parfois, le mot est utilisé pour l’ameublement d’une maison. Vous n’aimeriez pas vivre dans une maison non meublée ; il nous faudrait y mettre des meubles avant de pouvoir y vivre.
Dans Matthieu, le même mot est utilisé à propos des filets, quand Jésus aperçut des hommes qui réparaient leurs filets. Comme il y avait des trous dans le filet, ils devaient être réparés pour être entiers, utilisables pour la pêche.
Ces filets étaient loin d’être parfaits, mais ils étaient entiers, complets. C’est là-dessus que l’apôtre insiste ici ; il ne s’agit pas de perfection divine en nous, mais d’un état de plénitude en Christ… « pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère… ». La restauration des filets redonnait aux pêcheurs l’espoir d’attraper beaucoup de poissons.
La raison pour laquelle un certain nombre de chrétiens dévie suite aux vagues et vents de doctrine, c’est qu’il existe des failles profondes dans leur approche de Christ, dans leur connaissance de Christ, dans leur compréhension de la vérité, des fossés et des crevasses qui permettent des ouvertures à l’erreur et aux déviations. Ils ont besoin d’être pris en charge et d’être opérés en vue d’une restauration. Et ces dons sont justement accordés pour la restauration des saints, afin d’être en mesure d’accomplir leur ministère.
C’est tellement différent de l’ordre traditionnel auquel nous sommes habitués, que notre tendance est plutôt de s’asseoir sur une chaise à écouter quelqu’un sur une chaire ou une plate-forme ; nous avons fait notre devoir, nous nous sommes placés sous l’influence et l’autorité du ministère. Le ministère n’a rien à voir avec ça. Le ministère est le résultat pratique et concret de tout ce que le pasteur, l’enseignant, l’évangéliste, le prophète nous enseignent. Le ministère est l’exercice émanant du cœur de chaque membre du Corps de Christ : « Seigneur, ce que j’entends doit résonner en moi, être vivant en moi, je vais le faire mien et agir par la force qui s’en dégage… ».
Si nous avions réagi ainsi après chaque message reçu, ne croyez vous pas que l’Église serait solidement établi dans ses fondations ? Une histoire bien différente aurait été écrite pour faire face aux ruses et aux tromperies de l’Ennemi.
Il nous faut examiner nos cœurs et dire, « Quels résultats pratiques et quelle valeur ajoutée dans ma vie en tant que membre de Christ peut-on constater, suite aux dons de Dieu qui m’ont été faits par les 5 ministères ? Où en suis-je ?
Ai-je considéré cela comme le ministère du Saint-Esprit, celui de Christ, ou bien comme leur ministère ? Suis-je bien un serviteur, un ministre de Christ ? ». Voilà une question significative, n’est-ce pas ? Nous avons dramatiquement besoin de cette force, de cette assurance, de cette assise dans l’Église aujourd’hui !
« Pour le perfectionnement des saints, en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du Corps de Christ »
L’œuvre du ministère, qui est l’œuvre de chaque membre de Christ, a pour résultat l’édification du corps de Christ. Combien vous et moi contribuons à l’édification du Corps de Christ ? Comment fonctionnons-nous en vue de ce résultat, l’édification du Corps de Christ ? C’est notre affaire, à chacun de nous.
C’est notre ministère.
Êtes vous préparés à accepter cette responsabilité, pour prendre à cœur, par la grâce de Dieu, l’œuvre, sans rester un simple adhérent, un sympathisant, un suiveur, mais un membre vivant et actif dont la présence dans le Corps de Christ contribue à son édification ? Plus loin, vous verrez que l’apôtre met le doigt sur ce sujet d’une manière spéciale. Il dit :
« C’est de lui et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le Corps bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans l’amour »
Chacune des parties travaillant en mesure résulte de son édification dans l’amour. Il a en tête le Corps physique. Quelle était la connaissance réelle de Paul à propos du corps physique, nous ne savons pas, mais le Saint-Esprit lui connaissait tout là-dessus, et lorsque vous vous figurez les minuscules cellules du corps humain, et combien toute la croissance du corps physique dépend du fonctionnement de chaque cellule, de la manière dont chacune fait son travail, vous avez une merveilleuse illustration, parfaitement vraie, du Corps spirituel de Christ, de sa construction et de sa croissance.
Vous dîtes : « Je ne suis qu’une toute petite cellule, je ne compte pas ! ». Eh bien, essayez de compter les cellules de votre corps sur un centimètre carré de votre corps physique, c’est presque infini. Vous pouvez ne compter pour rien à vos propres yeux, mais vous avez une grande responsabilité pour l’ensemble du corps. Le point n’est pas de connaître votre importance mais de contribuer à votre mesure : c’est votre fonction et votre ministère.
Bien-aimés, qui est vraiment capable de comprendre pleinement le corps physique ? Il y a des mystères sur le corps humain qui n’ont jamais pu être levés… et je doute qu’ils le soient un jour. Nous avons souvent illustré ce mystère du corps humain par le discours de Démosthène qui serait le résultat du petit déjeuner pris par lui. Vous avez lu quelques-uns de ses discours oratoires qui fascinaient les foules au point de leur faire faire ce qu’ils n’avaient pas l’intention de faire, par le pouvoir de la raison et du langage humain. Si l’orateur s’était arrêté de manger, il aurait arrêté de discourir, par conséquent, ses discours furent en quelque sorte le résultat de sa nourriture, mais comment transformer le lard et les œufs en discours, nous ne le savons pas. Mais c’est la réalité !
Vous voyez où nous voulons en venir… et vous et moi, les atomes que nous sommes, les cellules qui sont si petites au point qu’on ne peut les reconnaître, peuvent affecter le Corps de Christ tout entier soit positivement soit négativement, mais c’est comme ça. C’est définitivement et positivement une vérité dans la Parole de Dieu : « Là où un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui; là où un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui ». Si vous et moi n’y contribuons pas à notre mesure, alors tout le Corps est faible et souffrant.
Voici l’’appel et le défi qui nous sont lancés : chaque membre de Christ devrait être responsable de fonctionner et un membre intelligent, qui remplit son ministère. Oui, mais il y a plus : « … jusqu’à ce que nous atteignons l’unité de la foi… ». Nous mettons le doigt sur un point capital et vital. Nous sommes très concernés par l’unité. Nous prions pour elle, nous agonisons à cause du manque d’unité, nous y aspirons. Comment y arriver ? Quel est le principe qui permette d’atteindre l’unité de la foi ? Chaque membre qui accomplit son ministère est un membre opérationnel. Quelle est la cause de discorde et de division ?
Revenons à notre première lettre aux Corinthiens, « Frères, je n’ai pu vous parler comme à des hommes spirituels, mais comme à des hommes charnels, à des bébés en Christ…
car vous êtes encore charnels ; il y a au milieu de vous de la jalousie et des disputes, n’êtes vous pas charnels et ne vivez vous pas à la manière des hommes ? Car lorsqu’un dit, Je suis de Paul, l’autre dit, Je suis d’Apollos ? ».
Il y a des divisions au milieu de vous résultant de votre nature charnelle qui signifie immaturité spirituelle et non unité de la foi. Lorsque chacun entre pleinement dans sa fonction, c’est un puissant facteur d’unité de la foi. L’Ennemi fait tout son possible pour diviser le Corps de Christ en une multitude de fragments. Comme peut-il le faire ? Très souvent à cause de l’ignorance du peuple de Dieu, à cause du retard pris dans leur développement spirituel, à cause de leur état spirituel passif au lieu d’être actif. L’unité de la foi vient du bon fonctionnement de chaque membre qui contribue de manière vivante à l’ensemble.
Un jour, quelques hommes sont venus voir Moïse en se plaignant que certains dans le camp prophétisaient en pensant qu’il s’agissait d’un mouvement de division et de sectarisme ou quelque chose de ce genre, et Moïse leur a dit : « Plaise à Dieu que tout le peuple de Dieu soit des prophètes ! ». Le côté positif est toujours le meilleur. Quand certains remplissent leur ministère et les autres pas, il est presque impossible d’être dans l’unité de la foi ! Il nous faut tous y entrer :
L’erreur va toujours faire dévier le croyant de sa position en Christ ; c’est l’effet de l’erreur sur le long terme. Ces croyants ont été déviés de leur position par ruse et ils ont perdu leur ressource spirituelle par quelque chose qu’ils pensent être à leur avantage « … dans la séduction », ce qui veut dire littéralement, tromperie habile. Chacune de leurs œuvres renferme une subtile ruse, la tromperie du diable dans sa fausse doctrine. La chose paraît si juste, si bonne, si bienfaisante, conforme à la Parole, mais il y a quelque chose de caché, une ruse de serpent.
Le peuple de Dieu doit bien en avoir conscience et ce n’est que lorsqu’on est bien réveillé, actif, positif dans notre position spirituelle, que nous en arrivons au point où nos sens sont si bien exercés que nous pouvons discerner le bien du mal, la tromperie et la ruse.
Ce serait formidable si chaque enfant de Dieu, prenant la bonne position en Christ, était capable de voir dans ces tromperies, dans ces vents et ces vagues de faussetés, une erreur là où elle est, et prévenir ceux qui ne sont pas encore entrés dans la maturité spirituelle, veiller sur eux. Ces fondations sont très importantes.
Nous avons besoin de développer considérablement notre discernement, nos sens spirituels, entrer dans la maturité, afin que, quelque soient ces ruses, ces vents, ces vagues qui balayent le terrain comme un ouragan, ou même comme une gentille petite brise, nous ne sommes jamais ébranlés, jamais déstabilisés et nous tenons ferme. Nous sommes dans une bataille. La construction est dans un combat.
Il n’existe aucun autre domaine où la bataille est plus réelle, plus furieuse, plus capitale, que dans celui du perfectionnement des saints, l’édification du Corps de Christ. C’est pourquoi, cette lettre rassemble les deux choses :
L’Ennemi est là pour séduire les saints, pour détruire l’Église, et leur seul moyen de s’en défaire est que vous et moi soient élargis dans la plénitude de Christ, pour devenir actifs, ne nous satisfaisant pas de notre salut, mais de donner à tous cette plénitude qui est possible en Christ. Avec tous les saints en communion jusqu’à ce que nous entrions dans la mesure de la stature parfaite de Christ.
Que le Seigneur imprime cette Parole dans nos cœurs !