Afin de bien saisir le message de Jean, il y a deux choses que nous devons noter. Premièrement, son évangile est le dernier écrit du Nouveau Testament ; deuxièmement, les temps et les conditions dans lesquels il a écrit.
Il est très important de remarquer que l’Évangile selon Jean est le dernier écrit du Nouveau Testament. Si le Nouveau Testament se lisait chronologiquement, l’évangile selon Jean serait placé après l’Apocalypse ; mais le Saint Esprit en décida autrement. Il décida qu’il devait être placé là où il se trouve, et je pense que nous en verrons la sagesse en progressant. Lorsque l’apôtre Jean écrit son évangile, il est très âgé ; et il a obtenu une longue et profonde expérience.
Peut-être y a t-il, en cela, une petite parole d’avertissement pour les plus jeunes. Les jeunes gens ont tendance aujourd’hui a négliger les plus anciens, et a dire : « Oh, ils ont eu leur temps. Maintenant c’est notre tour, ils appartiennent au passé ; nous appartenons à aujourd’hui ». Jeunes gens, si cela est votre attitude, vous devez couper l’évangile selon Jean de vos Bibles, et je suis sur que vous n’êtes pas prêts à faire cela ! Lorsque nous en aurons fini avec ce message, j’espère que vous serez encore moins disposés à le faire.
Quand Jean écrit son évangile, tous les autres apôtres sont partis pour être avec le Seigneur. Toutes les épîtres du Nouveau Testament avaient été écrites, l’Empire Romain avait été totalement évangélisé, et toutes les assemblées du Nouveau Testament avaient été fondées. Les grandes vagues de persécution par Néron et les autres empereurs s’estompaient. Jean lui-même était maintenant revenu de son exile à Patmos. Il n’écrivait pas l’Apocalypse à l’assemblée qui était à Éphèse, mais il écrivait son évangile de l’assemblée à Éphèse. Jérusalem avait été détruite et les juifs étaient dispersés dans le monde entier. Voilà les temps dans lesquels Jean écrivait.
Si nous désirons connaître les conditions qui prévalait alors, il nous suffit de lire les trois premiers chapitres de l’Apocalypse. Nous sommes familiers avec les lettres aux sept assemblées d’Asie Mineure, et dans la majorité des cas, il prévalait une condition de déclin spirituel sérieux. Le Seigneur dût envoyer, par Jean, des messages d’avertissements sévères. Des conditions tragiques de déclin spirituel étaient survenues, et la foi chrétienne était très largement dans un état de confusion. Nous n’avons qu’à lire la première épître de Jean pour nous en rendre compte ! Jean ressentait qu’il devait écrire pour des temps de la fin, et les conditions qui existaient alors étaient des conditions de temps de fin.
Je ne pense pas qu’aujourd’hui, si nous croyons que nous vivons dans les temps de la fin, nous ne faillissions reconnaître des conditions très similaires.
Il est évident que Jean était troublé par les conditions spirituelles, et de ce cour troublé, il écrivit son évangile. La question était et demeure : Quelle la solution à cette situation ? Quelle réponse pour résoudre le problème du déclin spirituel ? Comment solutionner le problème de la confusion spirituelle ? L’évangile selon Jean est la réponse. Dans cet évangile, il nous donne ce dont il est persuadé est nécessaire. Lorsque nous lisons l’évangile selon Jean, souvenons-nous toujours de ces choses.
Un des Pères de l’Église, Clément de Rome, a dit : « L’évangile selon Jean est l’évangile spirituel », et cette définition est rattachée à cet évangile durant tous les siècles. Jean ne s’est pas mis à écrire un nouveau manuel sur l’ordre dans l’Église, ni sur les traditions de l’Église, ni sur de nouvelles idées et façons de faire les choses. C’est ce qui est aujourd’hui pour essayer de solutionner les problèmes. Beaucoup de livres sont publiés sur la nature de l’Église du Nouveau Testament, et beaucoup de nouvelles idées sont introduites dans la chrétienté. Quelques unes de ces choses sont très farfelues ! Nous ne pouvons même pas les trouver dans le Nouveau Testament ! Mais que nous a donné Jean comme réponse ? Il a écrit sur deux sujets fondamentaux, deux choses qui ne sont pas extérieures, mais qui vont droit aux racines. Pour se servir d’une image médicale, il ne s’occupe pas des symptômes mais des causes. Les deux choses dont il traite sont :
Si nous comprenons ces deux choses, nous avons notre réponse à tous les problèmes spirituels.
Jean débute, à ce propos, en dehors de l’histoire : « Au commencement était la Parole ; et la Parole était auprès de Dieu ; et la Parole était Dieu » (Jean 1.1). Nous ne pouvons donner de date à cela ! Luc est retourné jusqu’à Adam, mais Jean remonte bien au-delà d’Adam et parle de Jésus Christ, le Fils de Dieu, dans Son existence éternelle, avant le temps et avant la création. Avant de terminer son évangile, Jean nous dira que Jésus prie le Père, et dans Sa prière Il dit : « Maintenant glorifie-moi, toi, Père, auprès de toi-même, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût » (Jean 17.5). C’était avant la création — une chose très importante à se rappeler !
Si nous devions lire tout ce que les hommes ont écrit et dit sur Jean, nous nous trouverions certainement dans une grande confusion. Quelques uns ne croient même pas que Jean a écrit cet évangile ! L’homme de la création a amené sa merveilleuse intelligence en supériorité au Christ éternel. Il y a quelques années, il y avait un grand prédicateur qui avait prêché un merveilleux sermon sur la grandeur de Dieu. Il dépeint la magnificence et la gloire de Dieu, et tous ceux qui écoutaient retenaient leur souffle. Ils pouvaient à peine saisir l’émerveillement de à la personne de Dieu qui leur était décrite, puis le prédicateur s’exclama : « Voilà qu’arrive un petit homme de la taille d’un parapluie et qui dit : Mr. Parker, je ne crois pas qu’il puisse y avoir un tel Dieu ! Si, petit homme, et le grand Dieu. »
Voyez-vous, Jean s’attache à nous montrer la grandeur du Fils de Dieu : plus grand que l’homme, plus grand que l’histoire, plus grand que le temps ; plus grand que toutes choses.
Nous ayant présenté la Personne, Jean continue en nous disant que Celui-ci a créé toutes choses : « Toutes choses furent faites par [Lui], et sans [Lui] pas une chose ne fut faite de ce qui a été fait » (Jean 1.3). Il est le Créateur de toutes choses, et ensuite Jean Le présente dans le temps : le grand Dieu de toute éternité, le grand Dieu de toute la création, est maintenant présent en tant qu’homme : « Et la Parole devint chair, et tabernacla au milieu de nous » (Jean 1.14).
Ensuite, Jean dit que Celui-ci est le Créateur de la lumière. Il est la source même et l’incarnation de la lumière. Il est la lumière et c’est Lui qui génère la lumière : « La vie était la lumière des hommes » (Jean 1.5). Plus loin, Jean nous rapporte les paroles de Jésus : « Je suis la lumière du monde » (Jean 8.12).
Et encore, Jean nous dit qu’Il est la source de la vie : « [Il] était la vie, et la vie était la lumière des hommes » (Jean 1.4).
Maintenant, à quoi cela nous amène t-il ? Jean va toujours au-delà des choses pour nous amener à le Personne, et il a un seul but en vue en écrivant cet évangile. Ce but est de transférer toutes choses à Christ, et ainsi l’évangile selon Jean est l’évangile de la grande transition.
Ici nous voyons la sagesse de l’Esprit Saint en plaçant cet évangile là où il se trouve. Matthieu est l’évangile de l’absolue souveraineté de Jésus Christ, montrant que toute autorité est investit en Lui. Marc est le message du ministère sous l’autorité de Christ. Luc est le message concernant la nouvelle humanité de Dieu. Allons de l’évangile selon Luc au livre des Actes, ce livre qui va au-delà de ces trois évangiles et nous amène sur la base de la résurrection. Jean, lui, vient entre ces trois et le livre des Actes ; il est le lien entre ces deux étapes. Il est ce pont par lequel les trois évangiles passent pour arriver à la nouvelle dispensation. Et ainsi, Jean est l’évangile de la grande transition. Quelle est cette transition ? Elle a trois aspects.
Premièrement, elle est la transition entre toutes les différentes parties à une seule chose complète. Je pourrai dédier toute une conférence à ce sujet ! Si nous lisons l’évangile selon Jean avec attention, nous le verrons, à l’arrière plan, l’histoire du peuple d’Israël. Je ne peux pas insister sur tous les détails de cela ; mais Israël était-il dans le désert ayant besoin de pain ? Il dit aux juifs : « Vos pères ont mangé la manne au désert, et sont morts ; c’est ici le pain qui descend du ciel, afin que quelqu’un en mange et ne meure pas » (Jean 6.49-50). A travers tout son récit, Jean a en pensée quelque chose de l’histoire d’Israël. Je vous demanderai de le relire à cette lumière ! Ce sont toutes les différentes parties de l’Ancien Testament, et maintenant Jean les réunis toutes et les rend complète en une Personne. Jésus est la totalité de toutes les périodes de l’histoire.
Deuxièmement, c’est la transition de ce qui est historique à ce qui est éternel. Jean démontre l’éternelle signification de ce qui est historique. Il nous montre la signification de toutes ces choses dans l’histoire.
Ensuite il s’agit de la transition de ce qui est temporel, de ce qui est matériel, à ce qui est spirituel.
Et quatrièmement, c’est la transition de ce qui est terrestre à ce qui est céleste.
Vous souvenez-vous de la phrase souvent répétée par le Seigneur Jésus dans l’évangile selon Jean : « En vérité, en vérité, je vous dit… » Comme Il utilise cette phrase souvent ! « Véritablement, avec insistance, je vous dit… » Et quelle était le lien avec cette double exclamation ? « En vérité, en vérité,… je suis ». « Moi, je suis le vrai cep » (Jean 15.1). Israël était appelé le « cep de Dieu », mais failli de Lui donner le fruit qu’Il recherchait. Israël était un faux cep, mais Jésus s’approprie cela et dit avec insistance : « Moi, je suis le vrai cep ». Israël était le troupeau de Dieu, et Il était leur berger. Jésus dit : « En vérité, en vérité… Moi, je suis le bon berger ». La manne dans le désert ne pouvait préserver Israël pour toujours.
Maintenant nous approchons vraiment du message. Tout ce que Jean a écrit avait pour but une seule chose : il affirmait le plus clairement possible que cette dispensation qui venait de commencer, était une dispensation spirituelle. Jérusalem avait été le centre de gouvernement de l’ancien Israël. Maintenant Jérusalem avait passée, mais les hommes étaient-ils laissés sans centre de gouvernement ? N’avons-nous pas de siège de gouvernement ? Pourquoi Jean rapporte t-il avec insistance que Jésus disait : « Je retourne au Père. » Pour cette chose même ! Le siège, le centre de gouvernement du peuple de Dieu est maintenant dans les cieux. Ce n’est ni à Jérusalem, ni à Rome. Le peuple du Seigneur pas de quartier général sur cette terre. Vous pouvez essayer tout ce que vous voulez afin d’avoir un gouvernement pour l’Église sur cette terre, mais vous contredisez cette vérité fondamentale. Paul dit que Jérusalem est en haut, et nous devons obtenir toute notre direction d’en haut. Il en était ainsi dans le livre des Actes — le quartier général n’était plus à Jérusalem. Où était le centre de commandement de l’Église du Nouveau Testament ? Quelques-uns ont dit Antioche, mais je ne peux être d’accord. Même à Antioche, ils en référaient au siège dans les cieux. C’était là que l’Esprit Saint dit : « Mettez-moi à part Barnabas et Saül » (Actes 13.2). Jean transfert la cité de la terre aux cieux, et il démontre que tout ce que Jérusalem était sous l’ancienne dispensation, cela est vrai du Seigneur Jésus sous la nouvelle.
Je vous demande : s’il en était ainsi aujourd’hui, ceci ne résoudrait-il pas beaucoup de problèmes ? Ceci n’éliminerait-il pas beaucoup de confusion dans la chrétienté ? La réunion de prière, et non « l’assemblée générale », est la voie du gouvernement de l’Église. Les églises sont-elles en déclin, comme c’était le cas au temps de Jean ? Que dit Jean à ce propos ? Il nous enseigne que l’Église et les églises ne sont pas plus que la mesure de Christ dans Son peuple. Assez tôt dans son évangile, le Seigneur Jésus dira à la femme samaritaine : « L’heure vient que vous n’adorerez le Père, ni sur cette montagne, ni à Jérusalem. Ni dans le grand temple à Jérusalem, ni dans celui de Samarie, mais Dieu est Esprit et ceux qui l’adorent, doivent l’adorer en Esprit.» (Jean 4.21-24).
Qu’est-ce donc que l’Église ? Elle n’est pas un lieu, ni un édifice, ni une congrégation, ni autant d’hommes et de femmes réunis ensembles. Elle est simplement la mesure de Christ présente dans ces personnes. Si ce n’est que deux ou trois « en Christ », là est la représentation de l’Église. Christ est l’Église, et ce n’est que la mesure de Christ dans les personnes qui constitue l’Église. L’Église est plus ou moins représentée selon la mesure de Christ. Confusion, oui, déclin spirituel, oui ; mais impliquez Christ dans ces choses et elles seront résolues. Si nous demeurions sur la base de Christ, la plupart de nos problèmes ne seront plus. Jésus est-Il allé au Père ? Oui, en effet, mais l’Esprit Saint est venu à Sa place. Voyez-vous nous restons très proche de l’évangile selon Jean.
Voilà donc la nature de cette dispensation. C’est une dispensation entièrement spirituelle. Mais Jean ne se limite pas à nous dire cela quand à sa nature, mais il nous dit aussi que cette dispensation est supérieure à toutes les autres dispensations. Combien plus supérieure est cette dispensation à celle qui prévalait lorsque Jésus était ici sur cette terre ! Je me demande si vous croyez cela. Nous avons un chant pour enfants et, bien entendu, nous aimons le chanter avec eux :
« Je repense lorsque je relis cette douce histoire du passé.
Quand Jésus était ici parmi les hommes,
Comment Il appelait les petits enfants comme des agneaux dans Son troupeau :
J’aurai aimé être avec eux alors ».
Comme cela est sentimental ! Et c’est très beau. Et beaucoup de gens vont encore en Israël pour voir les lieux où était Jésus. En étant là-bas, ils vivent comme il y a vingt siècles ! Préfériez-vous être là-bas avec Jésus sur terre plutôt que d’être ici aujourd’hui ? Pensez bien à ceci ! Si c’est ainsi que vous pensez, vous avez laissé passer le message de Jean. Jean nous dit que nous sommes aujourd’hui à une époque bien plus supérieure à celle qui était au temps de Jésus alors qu’Il était sur terre.
Il y avait une expression que Jésus aimait beaucoup utilisée : « plus grand ». Vous souvenez-vous de Jacob et de son échelle — de son rêve lorsqu’il vit une échelle de la terre aux cieux, avec les anges de Dieu qui montaient et descendaient, et l’Éternel au-dessus. Ceci était vraiment merveilleux, et de ce rêve vint les douze tribus d’Israël. Mais Il dit à Nathanaël : « Tu verras de plus grandes choses que celles-ci. » « Désormais vous verrez le ciel ouvert, et les anges de Dieu montant et descendant sur le fils de l’homme » ; et ceci amènera un bien plus grand Israël que l’Israël terrestre.
Mais la parole vers laquelle je tends pour finir, est dans le chapitre 14 et au verset 12. Jésus vient de parler des œuvres qu’Il a accomplies, et ensuite Il dit : « En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui croit en moi fera, lui aussi, les œuvres que moi je fais, et il en fera de plus grandes que celles-ci ; parce que moi, je m’en vais au père ». Dans la dispensation qui suit la vie du Seigneur Jésus ici-bas, de plus grandes œuvres vont être accomplies que celles faites par Lui quand Il était ici-bas. Quelles sont les œuvres qu’Il a accomplies ?
Au réservoir de Béthesda, Il a relevé un pauvre homme impotent et l’a fait marcher. Cet homme avait trente-huit ans. Ils ne vivaient pas vieux à cette époque là, et je me demande si vous réalisez que même l’apôtre Paul n’avait qu’un peu plus de soixante ans lorsqu’il mourut. Ce pauvre homme, au réservoir de Béthesda, n’avait tout au plus que quelques années à vivre, puis il mourut et fut enseveli. « De plus grandes œuvres que celles-ci. » Quelles sont ces plus grandes œuvres ? Dans ce contexte, il est une bien plus grande chose de mettre un homme ou une femme sur leurs pieds spirituels que sur leurs pieds physiques ! Il est merveilleux de voir comment nous sommes préservés par la puissance de Dieu, car tout au long de la vie chrétienne, il y a bien des moments où nous pouvons chuter. Combien de fois avons-nous ressenti : « Je ne peux plus continuer ! », mais néanmoins après maintes fois, nous continuons toujours. Le spirituel est l’œuvre bien plus grande que le physique. Oh le miracle de la puissance qui fait marcher de l’Esprit Saint ! La même chose est vraie de toutes les autres œuvre s de Jésus. A t-Il ouvert les yeux des aveugles ? Il est bien plus grand d’avoir nos yeux spirituels ouverts ! La connaissance et l’intelligence spirituelles sont bien plus supérieures aux naturelles. A t-Il accompli le miracle de nourrir les multitudes dans le désert ? Eh bien, ne préfériez-vous pas avoir de la nourriture spirituelle ce matin plutôt que votre petit déjeuner ? Nous allons dans ce désert qui est le monde, et le monde ne peut pas nous procurer de nourriture. Il est bien plus grand de pourvoir de la nourriture spirituelle que du pain naturel. Quelle est la plus grande œuvre que Jésus ai accomplie ? Après toutes ces œuvres, Il les couronne avec la résurrection de Lazare. Je suppose que cela serait estimé comme merveilleux si nous ressuscitions des morts physiquement. Mais n’est-il pas plus merveilleux de ressusciter ceux qui sont morts spirituellement ? « De plus grandes œuvres que celles-ci, vous ferez ». Cette dispensation est bien plus grande que celle du temps où Jésus était ici-bas.
Là est le message de Jean : la transition de ce qui est terrestre à ce qui est céleste, de ce qui est naturel à ce qui est spirituel, et ceci résoudra les problèmes et répondra aux questions.
Mais lorsque nous avons dit tout cela, Jean savait une chose en écrivant son évangile. Il appelle toutes les œuvres de Jésus des « signes », et il suggère que le grand besoin de cette dispensation c’est d’avoir l’intelligence spirituelle. N’importe quelle personne ordinaire peut voir ce qui est fait. Les juifs ont vu les choses que Jésus faisait, mais ils ne furent pas sauvé pour autant, car ils n’avaient pas l’intelligence spirituelle d’en saisir la signification profonde. Le grand besoin est l’intelligence spirituelle. L’Esprit Saint est venu pour être cette intelligence spirituelle. Qu’Il nous donne cette capacité spirituelle afin que nous comprenions la véritable nature de la dispensation dans laquelle nous nous trouvons !