Nous avons dit plus haut que beaucoup de tamis doivent être mis en mouvement pour assurer leur fonction.
Et surtout quand nous utilisons le tamis envers les autres.
Nous regardons ensuite ce qu’il faut rejeter alors que nous devrions garder ce qui est bon.
Que nous utilisions notre tamis pour nous-mêmes ou pour les autres, il va faire ressortir le mauvais pour nous accuser, nous décourager, nous enfoncer, ou détruire et enfoncer les autres.
Avez-vous remarqué que les défauts des gens nous sautent davantage aux yeux que leurs qualités ?
Vous savez comment le diable se sert du pouvoir de mort de la langue. C’est la suite du tamisage lorsque c’est lui qui remue le tamis.
Il veut que nous paraissions comme super spirituels et au lieu de condamner le péché et celui qui l’inspire (c’est-à-dire lui) il nous fait condamner le pécheur ou le frère ou la sœur ou le prophète ou le pasteur.
Nous examinons toutes choses et nous retenons ce qui est bon.