« Il mettra sa main sur la tête de l’holocauste, qui sera agréé de l’Eternel, pour lui servir d’expiation. »
Aussitôt que celui qui présentait l’holocauste avait placé sa main sur la tête de la victime, celle-ci était agréée. Et dès que nous avons posé sur Christ, notre victime, la main de notre foi, il sera agréé de même à notre place. Si Dieu acceptait un simple animal en expiation du péché, à plus forte raison, regardera-t-il comme une propitiation complète et suffisante, Jésus, la victime sainte et sans tache. « Car si le sang des taureaux et des boucs dont on fait aspersion purifie ceux qui sont souillés, combien plus le sang de Christ… purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes pour servir le Dieu vivant. » Discutez, si vous voulez, sur la doctrine de l’expiation par le sang : pour nous, nous plaçons là notre seul espoir, notre joie, notre gloire, notre tout. Nous voyons en Jésus la victime expiatoire immolée à notre place, et que Dieu agrée.
Mais posons notre main sur le sacrifice complet de Jésus, et, l’acceptant dans son entier, recevons-en le bénéfice complet. Nous qui l’avons accepté déjà, répétons cet acte à nouveau. Vous qui ne l’avez pas fait encore, étendez la main avec foi sans tarder davantage. Appuyez-vous fortement sur lui. Vous êtes « réconciliés avec Dieu ; » vos péchés sont effacés ; vous appartenez à l’Eternel.