Le repos du sabbat.
Ce repos est plus strict et plus complet qu’on ne s’y attendrait. Déjà Exode 20.10 le donne à entendre, car il y est dit : Tu ne feras aucun ouvrage. Cette formule acquiert une signification encore plus précise quand on constate que d’après la Loi il devait y avoir comme jours de repos religieux, non seulement les sabbats, mais encore le 1er et le 7e des jours des Azymes, celui de Pentecôte, la 7e Néoménie, le Jour des expiations, le 1er et le dernier des jours de la fête des Tabernacles, et que le repos devait être plus complet pour le sabbat hebdomadaire et le grand Jour des expiations que pour tous les autres jours susnommés. Pour ceux-ci, en effet, ce qui était interdit, ce n’était point tout travail, mais seulement tout travail professionnel des jours ouvriers, toute œuvre servile, comme traduisent, après la Vulgate, Luther, Segond, la Version de Lausanne, etc., traduction qui laisse à désirer, bien que fort répandue. Ce repos moins strict n’excluait pas, par exemple, la préparation de la nourriture nécessaire, comme cela est dit expressément Exode 12.16. — Voir pour les sabbats, (outre Exode 20.10), Exode 31.14 ; 35.2 ; Lévitique 23.3 ; Deutéronome 5.14 ; pour le jour des expiations, Lévitique 23.30 ; Nombres 29.7 ; pour les autres jours de repos religieux, Lévitique 23.7, 21, 25, 35 ; Nombres 28.18,25 ; 29.1, 12, 35. Dans Deutéronome 16.8, à la vérité, il est défendu le 7e jour des Azymes, simplement de faire de l’ouvrage ? ; mais s’il n’y a pas d’apposition restrictive au mot מלאכה, il n’y en a pas non plus d’extensive (כּל). Pour être rigoureusement exact, il ne faudrait donc pas traduire avec Segond : tu ne feras aucun ouvrage, mais dans le sens que nous venons d’indiquer.
Cette différence entre le repos du sabbat et du Jour des expiations et celui des autres jours de fête sabbatiques explique comment ce ne sont que les deux premiers jours auxquels est appliquée l’expression complexe et caractéristique de sabbath sabbathôn (שׁבּת שׁבּתון), si imparfaitement rendue par nos versions ordinaires. Comme nous l’avons vu, elle se trouve déjà Exode 16.23, et le mot sabbathôn a le même sens que le mot sabbath, mais à un degré plus intense. La réunion des deux termes vient encore ajouter une nouvelle force. Bunsen et Dillmann traduisent sabbathôn par Ruhefeier, sabbathôn sabbath kodesch le-Jahveh par : eine Ruhefeier, ein heiliger Ruhetag des Herrn. Nous avons traduit : grand jour de repos, sabbat consacré à l’Éternel, et nous traduirions plus volontiers encore : grand subbat, sabbat consacré à l’Éternel. L’expression de sabbath-sabbathôn est appliquée au sabbat Exode 31.15 ; 35.2 ; Lévitique 23.3, outre Exode 16.23, et au Jour des expiations, Lévitique 16.31 ; 23.32. Elle est aussi employée pour désigner le repos de la terre pendant l’Année sabbatique Lévitique 25.4.
Il est contesté que le nom de sabbat soit jamais donné à un jour de fête autre que le sabbat hebdomadaire, malgré l’interprétation traditionnelle de Lévitique 23.11-15 ; mais il est certain que le mot sabbathôn a été aussi employé pour les jours de repos de la 7e Néoménie et de la fête des Tabernacles (Lévitique 23.24, 30), et Œhler estime vraisemblable l’opinion, déjà ancienne, que cela tenait au caractère sabbatique du 7e mois lui-même. Nous avons déjà vu que le repos du Jour des expiations, qui tombait aussi sur ce mois, était identique à celui du sabbat.
En fait de prescriptions de détail sur le repos au jour du sabbat, il est dit Exode 23.12 : Le septième jour tu te reposeras, afin que ton bœuf et ton âne aient du repos, afin que le fils de ton esclave et l’étranger aient du relâchea. Il est prescrit Exode 32.21 de se reposer le 7e jour, même au temps du labourage et de la moisson ; Exode 35.3, de ne point allumer de feu dans les demeures. Pour apprécier justement ces deux dernières défenses, n’oublions pas, 1° que la température de la Palestine lors des semailles et de la moisson est tout autrement plus stable que celle de nos climats ; 2° que le sabbat allait du vendredi soir au samedi soir (Lévitique 23.32), de sorte qu’on pouvait faire du feu le vendredi jusqu’à 6 heures du soir et le samedi depuis la même heure. Ailleurs, il était interdit de ramasser du bois le jour du sabbat (Nombres 15.32-36). — Cette dernière prescription et celle de Exode 35.3 se rattachent étroitement à Exode 16.23, 29.
a – Ou mieux avec Renan : puissent reprendre haleine (Hist. du peuple d’Isr., p. 373). — וינּפשׁ.
Il est déjà très fortement exprimé dans le 4e Commandement (Exode 20), en particulier par les mots : pour le sanctifier (v. 8), pour l’Éternel ton Dieu (v. 10), et par tout le v. 11 rappelant l’origine du sabbat. Les trois traits indiqués par là se retrouvent. tous directement ou indirectement dans les lois subséquentes ; en particulier le 23, directement dans Exode 31.15 ; 35.2 ; Lévitique 23.3 ; et le 3e directement dans Exode 31.17. Mais elles en renferment aussi d’autres analogues, dont quelques-uns très significatifs.
1° L’Éternel est représenté Exode 31.12-13 ; Lévitique 19.3, 30 ; 26.2, comme disant : Mes sabbats.
2° Le sabbat est appelé une chose sainte (קדש) Exode 31.14 ; 35.2.
3° Aussi est-il rapproché du Sanctuaire Lévitique 19.30 : Vous observerez mes sabbats et vous révérerez mon sanctuaire. Le Tabernacle est appelé lui-même la chose sainte (הקדש) Exode 28.29, 43. Ailleurs, c’est le Lieu saint qui est ainsi spécialement désigné, tandis que le Lieu très saint est le Saint des saints (Exode 26.33).
4° Si la violation du sabbat est punie de mort (Exode 31.14 ; 35.2 ; Nombres 15.32-36), c’est encore à cause de la sainteté du jour. La même peine menaçait ceux qui entreraient dans le Sanctuaire sans autorisation spéciale ou sans remplir toutes les conditions requises (Exode 28.35, 43 ; Lévitique 16.1-2, 13 etc.).
5° D’après Exode 31.13, l’Éternel dit aux Israélites : Les sabbats seront entre moi et vous et parmi vos descendants un signe auquel on connaîtra que je suis l’Éternel qui vous sanctifie. L’observation du sabbat devait donc être pour les Israélites et pour les nations voisines, un signe visible, attestant, soit de la part de Jéhovah, soit de la part des Israélites, qu’il était spécialement leur Dieu, eux son peuple, et que c’était lui qui les sanctifiait. Il les sanctifiait de bien des manières, mais particulièrement en leur faisant observer le repos religieux du 7e jour, observation qui, pratiquée fidèlement et au milieu de toutes les institutions de l’Ancienne Alliance, devait être pour les Israélites une source de sanctification, dans le sens le plus élevé. « L’Israélite, dit Dillmann, doit, par son repos religieux du 7e jour, aussi bien manifester qu’il appartient à Dieu que se le rappeler toujours à lui-même… A cet égard, la fête du sabbat est, comme tous les autres actes du culte, un symbole, l’expression figurée d’une pensée supérieure, mais c’est le plus spirituel de tous les symboles de cette religion et plus qu’un symbole. En effet, la communauté israélite, en manifestant par là qu’elle appartenait à Dieu, se le mettait au cœur ; elle retirait du tourbillon des affaires son esprit pour le rapprocher de sa source primitive ; et, en renouvelant régulièrement cette manifestation, elle se rappelait continuellement sa destination d’appartenir complètement à Dieu. Le sabbat était donc très justement un signe de la pensée fondamentale de l’Alliance mosaïque. » — Cette pensée, Dillmann la résume admirablement à propos de Lévitique 19.2 : Soyez saints, car je suis saint, moi l’Éternel votre Dieu. « Cette introduction, dit-il, formule le principe suprême, duquel découlent toutes les prescriptions suivantes (en premier lieu, sur le sabbat, v. 3) : les Israélites doivent être saints, parce que Jéhovah est leur Dieu. Mais ce n’est pas là, comme on l’a prétendu, le fruit le plus mûr de la civilisation hébraïque ; c’est, au contraire, de prime abord le fondement et le but du mosaïsme. Aussi est-il également mis en avant dans les différentes parties de la Loi : Exode 19.6 ; 22.30 ; Lévitique 11.44 ; 20.7, 26 ; Deutéronome 7.6 ; 14.2, 21 ; 26.19 ; 28.9. »
Il est dit, Exode 31.16-17 : Les enfants d’Israël observeront le sabbat en le célébrant, eux et leurs descendants, comme une alliance perpétuelle. Ce sera entre moi et les enfants d’Israël un signe qui devra durer à perpétuité … Le sabbat était donc un signe de l’Alliance conclue entre l’Éternel et Israëlb, et soit cette alliance, soit ce signe devaient durer à perpétuité. Ce caractère du sabbat rappelle naturellement deux autres alliances de l’Éternel et leurs signes : d’un côté, celle qui avait été conclue avec Abraham et sa postérité, et dont le signe était la circoncision (Genèse 17.1-21) ; de l’autre, l’alliance conclue plus anciennement encore avec Noé et sa postérité, et que l’arc-en-ciel devait commémorer (Genèse 9.1-17). Le sabbat mosaïque vient donc s’ajouter aux deux signes de l’arc-en-ciel et de la circoncision, comme un signe spécial de l’alliance, nouvelle en son temps, octroyée par l’Éternel aux enfants de Jacob par le moyen de Moïse. — Bien que le sabbat mosaïque fût loin d’être une institution toute nouvelle et se reliât essentiellement au sabbat primitif, il pouvait cependant être envisagé comme un signe spécial de l’alliance du Sinaï. Non seulement l’institution du sabbat primitif s’était singulièrement perdue ou altérée parmi les nations païennes, mais encore elle s’était beaucoup modifiée en devenant le sabbat mosaïque, et celui-ci devait toujours rappeler la délivrance de la servitude d’Egypte (Deutéronome 5.15). On comprend donc qu’il apparût parfois comme datant du Sinaï. Ainsi, dans un jeûne solennel du temps d’Esdras et de Néhémie, les Lévites pouvaient dire à Dieu devant les enfants d’Israël (Néhémie 9.14) : Tu leur fis connaître ton saint sabbat, et tu leur prescrivis par Moïse, ton serviteur, des commandements, des préceptes et une loi. On ne saurait, non plus, être surpris que les Romains, malgré toutes leurs relations cosmopolites, aient été extrêmement étonnés par les sabbats des Juifs et parfois aient désigné ceux-ci comme hommes du sabbat ou sabbatariens 2. — D’autre part, cependant, Ewald semble aller trop loin quand il considère le sabbat mosaïque comme le signe par excellence de l’alliance mosaïque. Elle comptait encore d’autres signes spéciaux ; l’institution de la Pâque, y compris la fête des Azymes, devait même constituer pour les Israélites un signe plus caractéristique que le sabbat mosaïque (voir Exode 12.14 ; 13.8-9). En fait, si celui-ci se continue dans le dimanche, la circoncision et le souper de la Pâque juive correspondent aux sacrements du baptême et de la Cène.
b – Voir Genèse 9.12-17 ; 17.11, où les deux mots de signe et d’alliance sont étroitement réunis.
Il est digne de remarque que, dans Exode 31.17, la raison donnée pour la perpétuité du sabbat comme signe entre l’Éternel et les Israélites, soit précisément l’origine primordiale du repos du 7e jour. Ce sera entre moi et les enfants d’Israël un signe qui devra durer à perpétuité, car (כּי) en six jours l’Éternel a fait les cieux et la terre, et le septième jour il a cessé son œuvre et il a repris haleine. Le sabbat mosaïque devait un jour se transformer en dimanche, mais celui-ci n’en a pas moins de profondes racines dans l’institution même du sabbat primitif et dans celle de la semaine, qui en est la conséquence. Sabbat primitif, sabbat mosaïque et dimanche sont essentiellement une seule et même institution, qui, sous la double influence de la chute et de la Rédemption, a dû deux fois se transformer.
Sans doute, comme le dit Exode 31.13, le sabbat mosaïque devait être un signe entre l’Éternel et les Israélites, auquel on devait reconnaître que l’Éternel était celui qui les sanctifiait ou, comme s’exprime Dillmann, que l’Éternel était leur Dieu et qu’ils lui appartenaient. Cependant, cette explication est fort sommaire et ne saurait être exclusive. Le sabbat mosaïque, selon ses origines et particulièrement d’après Genèse 2.1-2 ; Exode 31.17, d’un côté, et Deutéronome 5.15, de l’autre, devait aussi commémorer soit la création de l’univers, soit la délivrance de la servitude d’Egypte. Non seulement il n’y a pas superfétation ou incompatibilité entre ces divers points de vue, mais il y a profonde harmonie et indissoluble union. La présupposition du caractère général et spirituel du sabbat d’après Exode 31.13 est précisément la double commémoration qui est à sa base. Si l’Éternel était le Dieu des Israélites et s’ils devaient spécialement lui appartenir, c’était proprement à cause de la délivrance octroyée sur les bords du Nil, et, si le Dieu d’Israël était bien le seul et vrai Dieu, c’est qu’il est aussi le créateur des cieux et de la terre. Israël appartenait et devait toujours plus appartenir à son Dieu, parce que son Dieu était à la fois son Rédempteur et le Maître de l’univers.
6° Le sabbat était un jour de sainte convocation (מקרא קדשׁ) ou de sainte assemblée devant le Sanctuaire : Lévitique 23.3. Tout le chapitre est consacré aux jours de fête marqués de ce caractère et pour lesquels un repos plus ou moins strict était imposé. Mais qu’était cette sainte convocation ? On le comprend bien d’après Nombres 10.1-10, où le séjour au désert a laissé une si forte empreinte :
« L’Éternel parla à Moïse, disant : Fais-toi deux trompettes d’argent, tu les feras d’argent battu. Elles te serviront pour la convocation de l’assemblée et pour le départ des camps. Quand on sonnera, toute l’assemblée se réunira auprès de toi, à l’entrée de la Tente d’assignation. Si l’on ne sonne que d’une trompette, les princes, les chefs des milliers d’Israël se réuniront auprès de toi. Quand vous sonnerez avec éclat, ceux qui campent à l’orient, partiront ; quand vous sonnerez avec éclat pour la seconde fois, ceux qui campent au midi partiront… Vous sonnerez aussi pour convoquer l’assemblée, mais vous ne sonnerez pas avec éclat. Les fils d’Aaron, les prêtres sonneront des trompettes. Ce sera une loi perpétuelle… Dans vos jours de joie, dans vos fêtes et à vos nouvelles lunes, vous sonnerez des trompettes, en offrant vos holocaustes et vos sacrifices d’actions de grâces, et elles vous mettront en souvenir devant votre Dieu… »
[Trompettes : חצ.ֻצרת, une onomatopée, comme le latin taratantara (Gesen.). En fait de trompettes israélites, il faut distinguer l’haçocera, la trompette droite en métal, telle qu’on la trouve représentée sur l’arc de triomphe de Titus, et le Schophar, la trompette recourbée, faite en corne et qui est aussi désignée par les noms de Kéren (corne) et de Jobel (jubilation, retentissement).]
Pour nous servir des expressions mêmes de Dillmann, il y avait ainsi, chaque sabbat, une assemblée de culte ou un culte solennel de sacrifices rendu par la communauté. Cette assemblée devait naturellement avoir lieu dans le parvis du Tabernacle, et nous allons voir quels sacrifices étaient alors requis. Les trompettes qui la convoquaient, étaient donc comparables aux cloches de nos églises.
7° D’après Nombres 28.2-10, au sabbat, l’holocauste était doublé : on immolait quatre agneaux d’un an, deux le matin, deux le soir, chacun de ces sacrifices devant être accompagné de l’offrande d’un dixième d’épha de farine pétrie dans le quart d’un hin d’huile d’olives concassées, et d’une libation dans le Lieu saint. « Le sacrifice du sabbat suivait le sacrifice quotidien, et dans celui-ci le grand prêtre avait coutume, le jour du sabbat, de présenter lui-même le gâteau de farine. Si le sabbat était aussi un jour de grande fête, le sacrifice de la fête suivait celui du sabbat » (Handw. p. 1310).
8° Enfin c’était au sabbat que les douze pains de la Table de proposition devaient être renouvelés dans le Lieu saint (Lévitique 24.8. Cp. 1 Chroniques 9.32). « D’après la tradition, ce renouvellement se faisait déjà le soir, au commencement du sabbat » (Handw. p. 1310).
Elle devait consister avant tout dans l’influence sanctifiante du sabbat, dans les grâces spirituelles qui en découlaient pour l’édification, le bonheur, la consolation, l’encouragement du fidèle. Mais ce n’est pas dans la Loi que se trouve l’expression de ce point de vue ; c’est bien plus tard que l’Israélite devait apparaître comme devant faire ses délices du sabbat (Ésaïe 58.13). La bénédiction du sabbat mise en relief dans la Loi est celle qu’il devait apporter spécialement aux petits et aux faibles, c’est-à-dire à l’épouse, aux enfants, aux serviteurs et aux servantes, même aux animaux domestiques. L’étranger résidant en Israël n’était point non plus oublié, et comment ne pas se rappeler alors, particulièrement à son égard, les souffrances d’Egypte (Exode 23.12 ; Deutéronome 5.14) ? — Exode 23.12 complète heureusement Exode 20.8-11, où il n’est directement question ni de l’âne, c’est-à-dire de la bête de somme, ni du fils de l’esclave. Mais c’est le texte du 4e Commandement d’après Deutéronome 5.12-15, qui offre la formule la plus complète pour les animaux domestiques, puisqu’il y est interdit à l’Israélite de faire travailler son bœuf, son âne, aucune de ses bêtes, au jour du sabbat. Sous ces divers rapports, le sabbat mosaïque apparaît bien comme pénétré de miséricorde et d’amour.
Nous nous étions proposé de parler encore dans un § 3 du rayonnement si remarquable de la loi sabbatique dans la législation mosaïque. Rien peut-être ne montre mieux l’importance et l’antiquité de cette loi, même en s’en tenant au rayonnement le plus direct, à savoir dans l’ensemble des époques solennelles : sabbat des semaines ou jour de Pentecôte ; mois sabbatique caractérisé par une célébration toute exceptionnelle de la Néoménie, par le Jour des expiations et la fête des Tabernacles ; Année sabbatique ; et sabbat des années sabbatiques, ou année du Jubilé ; d’autre part, les 7 jours de la fête de Pâques et de celle des Tabernacles, et les 7 jours annuels de sainte convocation. Mais si intéressant que soit ce sujet, nous avons préféré le traiter dans le premier de nos Appendices.