Ce psaume est presque identique au Psaumes 14.
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| 2 | L’homme insensé dans son cœur dit et croit : « Il n’y a pas de Dieu » Toute sa vie Est corrompue et ses actes dévient ; Non, pas un seul ne marche vraiment droit, Ni toi ni moi. | 
| — 2 — | |
| 3 | Dieu, du haut ciel, a regardé ici Tous les humains en sa pleine science. Voit-il quelquʼun qui ait lʼintelligence, Et dont le cœur ait pour premier souci De plaire à Lui ? | 
| — 3 — | |
| 4 | Au monde entier, il trouve que chacun Sʼest fourvoyé sur des chemins damnables, Que tous se sont rendus abominables ; Faisant le bien, il ne sʼen trouve aucun, Non, pas même un. | 
| — 4 — | |
| 5 | Quels sens ont-ils, tous ces pernicieux Qui font toujours le mal, jamais ne changent ? Mon pauvre peuple est donc le pain quʼils mangent ; Sans conscience, ils sont insoucieux Du Dieu des cieux. | 
| — 5 — | |
| 6 | Ils trembleront à toute occasion, Car Dieu rompra les os des adversaires ; Dieu renversant leurs projets téméraires, Tu les verras pleins de confusion, Sainte Sion. | 
| — 6 — | |
| 7 | Ô quand enfin de Sion sortira Pour Israël la pleine délivrance, Quand Dieu mettra le terme à sa souffrance, Alors la joie en Jacob règnera, Tout fleurira ! |