L’exode, le sentier de la vie

LES VÊTEMENTS SACERDOTAUX : 1. Description des vêtements sacrés du Souverain Sacrificateur

Exode 31.10 ; 35.19 ; 39.41
Lévitique 6.3-4, 20 ; 8.7-9
Exode 28.42-43

Aaron, désigné premier Souverain Sacrificateur par L’ÉTERNEL DIEU, était revêtu de vêtements sacrés. Ces vêtements, qui avaient été prescrits par L’ÉTERNEL DIEU à Moïse, avaient tous une signification spirituelle. Il portait des vêtements cérémoniaux dans le Parvis et le Lieu Saint, et des vêtements « d’humilité et pureté » lorsqu’il entrait dans le Lieu Très-Saint. Il changeait souvent certains de ses vêtements en fonction des évènements ou du lieu où il se trouvait. Pour des raisons visuelles, nous présentons leur description dans l’ordre d’habillement du Souverain Sacrificateur :

Exode 28.42-43 ; 39.28
Lévitique 16.4

Le caleçon était en fin lin retors (torsadé) pour couvrir sa nudité ; il couvrait son corps depuis les reins jusqu’aux cuisses.

Exode 28.39 ; 39.27
Lévitique 16.4

La tunique (2) était de fin lin tissé. Elle se portait immédiatement sur le corps, et sur le caleçon pour les parties qu’il couvrait. C’était, d’après l’historiographe juif Flavius Josèphe, une sorte de chemise qui descendait jusqu’aux talons, et les manches étroites couvraient entièrement les bras des Sacrificateurs. Nous supposons que la tunique avait une ouverture en haut pour l’enfiler par la tête. Cette supposition est confirmée par Flavius Josèphe (Antiq. Judaï. 3.7.2.).

Exode 28.40
Lévitique 8.7 ; 16.4

Cette tunique avait une ceinture (ou écharpe) qui la serrait sur le corps. Cette ceinture se portait immédiatement sur la tunique pour la ceindre au niveau de la poitrine, selon Flavius Josèphe. Il dit même que cette ceinture était enroulée plusieurs fois autour du corps avant d’être nouée, et que le reste pendait jusqu’aux talons. Lorsque la robe était enfilée, par-dessus, on ne voyait que les deux bouts de la ceinture qui dépassaient en dessous (Antiq. Judaï. 3.7.2.). En fait, il portait deux types de ceinture pour sa tunique :

Exode 28.39 ; 39.29
  • La première, cachée sous la robe (3), qu’il portait pour le service journalier sacerdotal, était de fin lin retors tissé et brodé de fils teints en bleu, pourpre et cramoisi.
Lévitique 16.2-4
  • La seconde, visible, qu’il portait « le jour annuel des expiations », était de fin lin blanc tissé comme la tunique et la tiare qui étaient tous des vêtements sacrés et consacrés pour cet évènement.
Exode 28.31-35
Exode 39.22-26

La robe (3) était constituée d’une étoffe bleue tissée d’une seule pièce. En haut, elle avait une ouverture pour l’enfiler par la tête comme une cotte de maille, avec un ourlet tissé pour ne pas la déchirer. En bas de la robe, sur sa bordure, étaient suspendues des grenades (5) en fils retors de couleurs bleue, pourpre, et cramoisi. Entre les grenades, des clochettes en or pur (4) étaient suspendues.

Exode 28.6 ; 39.2-3

L’éphod (6) était tissé de fin lin retors blanc, et de fils teints en bleu, pourpre et cramoisi. Il était artistement travaillé et brodé de fils d’or. Car on étendit des lames d’or que l’on coupa en fils pour les entrelacés dans l’étoffe comme une broderie. L’éphod devait être d’une seule pièce du fait qu’il était muni de bretelles ou épaulettes (8), qui permettait de l’enfiler par la tête comme la robe et la tunique.

Exode 28.7, 12-14 ; 39.4-7

Les épaulettes de l’éphod (8) (ou bretelles) faisaient partie de l’éphod (6), avec le même tissu, et damassé aussi avec des fils d’or. Elles devaient être cousues sur le bord avant et arrière de l’éphod, au-dessus de la ceinture, pour permettre à l’éphod d’être suspendu par les épaules. Au niveau des épaules, elles étaient munies de montures (14) qui permettaient d’accrocher les chaînettes de suspension du pectoral (10).

Exode 28.9-12 ; 39.6-7
Exode 28.9-10

Sur chaque bretelle, au niveau de l’épaule, il y avait une pierre d’onyx (9) enchâssée sur un chaton en or fixé sur la bretelle. Sur ces deux pierres d’onyx (9), une sur chaque épaule, étaient gravés les noms des douze fils d’Israël (Jacob), six par pierre, dans l’ordre de leur naissance suivant les instructions de L’ÉTERNEL à Moïse.

Si nous respectons l’ordre de L’ÉTERNEL DIEU pour l’inscription des fils de Jacob (Israël), selon la date de leur naissance, nous ne savons pas dans quel sens étaient gravés ces noms : soit perpendiculaires aux épaules, soit parallèles aux épaules. Dans l’option parallèle, ce pouvait être le premier nom sur une épaule, le deuxième sur l’autre épaule, le troisième sur la première épaule, etc.). Ce pouvait être aussi les six premiers noms sur une épaule, et les six derniers sur l’autre épaule. Dans l’option de la perpendiculaire aux épaules, nous ne connaissons pas laquelle était gravée des six premiers noms. Mais nous supposons que les six premiers noms étaient gravés sur l’épaule droite, et les six autres sur l’épaule gauche, en regardant depuis l’arrière du Souverain Sacrificateur, en raison du sens de l’écriture hébraïque de droite à gauche. Si les noms étaient lisibles depuis la face avant du Souverain Sacrificateur, c’est son épaule gauche qui aurait été gravés des six premiers noms.

Genèse 29.31-35  30.1-24 ; 35.16-19
Exode 28.9-10

Malgré la multitude de ces options, certains de nos prédécesseurs ont même représenté les noms des fils de Jacob gravés suivant leurs quatre mères différentes, c’est-à-dire mère par mère : ce qui n’est pas conforme à l’ordre de L’ÉTERNEL DIEU à Moïse. Mais il appartient à chacun d’entre nous de réfléchir à la bonne disposition de ces noms demandée par L’ÉTERNEL DIEU, selon Sa volonté, soit six noms sur une épaule puis six sur l’autre, et sa signification.

Exode 28.8 ; 39.5
Lévitique 8.7

La ceinture de l’éphod (7) était confectionnée avec le même tissu aux quatre couleurs et fils d’or que l’éphod. Elle était fixée sur l’éphod pour le maintenir serré sur le corps du Souverain Sacrificateur. D’après Flavius Josèphe, cette ceinture, après avoir fait un tour du corps du Souverain Sacrificateur, revenait se nouer par-dessus la couture, puis retombait et pendait devant lui. (Antiq. Judaï. 3.7.5.)

Exode 28.15-16, 22-28 ; 39.8-9, 15-21

Le pectoral (10) était tissé, comme l’éphod, de fin lin retors blanc, et de fils teints en bleu, pourpre et cramoisi. Il était artistement travaillé et brodé de fils d’or. Il était de forme carrée d’un empan de côté (0.225 mètre théorique). Il était doublé de haut en bas comme un « porte-dessins ».

Le haut du pectoral était muni de deux anneaux en or placés à chaque coin (13). Depuis ces deux anneaux, le pectoral était suspendu aux deux bretelles (8) (épaulettes) par deux chaînettes (12), ou cordons, en or, torsadées (ou tressées). Au niveau de chaque épaule, ces chaînettes en or (12) étaient fixées (attachées ou accrochées) aux montures (14) des épaulettes. Nous ignorons la nature des fixations, de même que si les montures des épaulettes (14) étaient la même pièce que les chatons des pierres d’onyx (9).

Exode 28.26-28 ; 39.19-21

Le bas du pectoral, comme le haut, était muni de deux anneaux en or placés à chaque coin (15). Deux autres anneaux en or (16) étaient accrochés à la base des deux bretelles (8, épaulettes), juste au-dessus de la ceinture (7) de l’éphod. Depuis ces deux anneaux, un cordon bleu (17) liait le pectoral à la base de chaque bretelle (8, épaulettes), pour le maintenir lié à l’éphod (6).

Exode 28.17-21, 29 ; 39.10-14
Genèse 32.27-28 ; 35.10
Exode 39.14

Les 12 pierres (11)

La face avant du pectoral était garnie de quatre rangées de trois chatons, soit douze chatons, dans lesquels étaient enchâssés douze pierres précieuses différentes (11). Chaque pierre était gravée d’un nom des fils d’Israël (Jacob). Car, L’ÉTERNEL DIEU avait dit à Jacob que son nom ne serait plus Jacob, mais Israël, après la naissance de tous ses enfants. Par conséquent, ses douze enfants et leurs descendants étaient décrits comme les douze tribus d’Israël.

L’ordre d’inscription des fils d’Israël sur le pectoral n’est pas précisé dans les Écritures de la Bible. Mais nous ne pouvons pas imaginer qu’il ait été différent de celui des pierres d’onyx sur les épaulettes. Au contraire, si L’ÉTERNEL DIEU a donné un ordre précis à Moïse pour l’inscription des noms des fils de Jacob sur les pierres d’onyx, IL n’avait pas besoin de le répéter pour le pectoral. Car un ordre de DIEU est un ordre irréversible.

Quant à la nature des douze pierres précieuses, les traducteurs ont donné, quelques fois, des noms différents. Dans la traduction biblique du nom de ces pierres, il existe quelque cas pour lesquels nous ne connaissons pas, ou pas exactement, la signification du nom d’une pierre particulière. En plus de cela, certaines pierres précieuses ont des couleurs différentes selon leur lieu d’extraction. Quelques fois, aussi, des pierres différentes ont des couleurs semblables, ou changeantes selon leurs reflets ou leur transparence. A ces difficultés s’ajoute le fait que, depuis l’époque de l’exode, différentes pierres ont reçu d’autres appellations.

C’est la raison pour laquelle il est difficile d’affirmer, avec certitude, que nous avons vraiment trouvé les bonnes pierres, les bonnes couleurs, et les bons reflets, et avec le bon ordre du nom des fils de Jacob, comme nous les présentons en page ci-contre.

Exode 28.9-10
Apocalypse 4.2-3
Genèse 9.12-16

Si nous respectons l’ordre de DIEU pour les pierres d’onyx sur les épaulettes (8), au sujet de l’ordre de naissance des fils de Jacob et dans le sens de l’écriture hébraïque de droite à gauche, avec la traduction majoritaire du nom des pierres précieuses désignées, nous pouvons imaginer la composition du pectoral de haut en bas, de la façon présentée ci-dessous, tout en restant quand même très prudents à ce sujet, en raison de toutes les incertitudes que nous venons d’évoquer. Toutefois, la sardoine et le jaspe symbolisaient déjà la présence de DIEU sur Son trône, et l’émeraude la promesse de Son alliance pour tous.


3
Lévi
une éméraude
2
Siméon
une topaze
1
Ruben
une sardoine
6
Nephtali
un diamant
5
Dan
un saphir
4
Juda
une escarboucle
9
Issacar
une améthyste
8
Aser
une agate
7
Gad
une opale
12
Benjamin
un jaspe
11
Joseph
un onyx
10
Zabulon
une chrysolithe
Exode 28.30 Lévitique 8.8

Les ourîm et les toummîm (dans le pectoral (10)

A l’intérieur du pectoral, il y avait les ourim et les toummim dont on ne connaît pas la nature. Mais leur traduction « lumières » et « perfections », ou « lumières » et « vérités », démontrent l’importance divine qu’ils représentaient.

Deutéronome 33.8
Nombres 27.21
1 Samuel 28.6

Seul le Souverain Sacrificateur se servait des ourim et des toummin pour connaître la volonté de L’ÉTERNEL DIEU, bien que, parfois, seul les ourim sont cités, ou les toummin avant les ourim.

L’ancien testament décrit de nombreuses situations au cours desquelles des rois, ou de simples Israélites demandèrent au Souverain Sacrificateur de consulter L’ÉTERNEL DIEU, au moyen des ourim et des toummim, pour prendre une décision incertaine.

1 Samuel 23.9-12 ; 30.7-8
Exode 28.22, 28

Dans certains cas, les textes bibliques nous informent que L’ÉTERNEL DIEU répondait par l’éphod (6). Ce qui sous-entend par les ourim et les toummim. Car le pectoral (10) était continuellement accroché à l’éphod par les chaînettes (12) et les cordons bleus (17).

Exode 28.30
Nombres 27.21
Juges 1.1 ; 20.18
2 Samuel 2.1 ; 5.19, 23
Esdras 2.62-63

Ainsi, par les ourim et les toummim, L’ÉTERNEL DIEU révélait son jugement, ou des évènements à venir, ou un choix pour une action, même encore, plus tard, pour des problèmes de généalogie des Sacrificateurs. Plus tard encore, ce sont les prophètes qui firent connaître la volonté de L’ÉTERNEL DIEU, par leurs révélations qui remplacèrent les ourim et les toummim.

Beaucoup de suppositions ont été diffusées sur la nature et le fonctionnement des ourim et des toummim. Parmi elles, certains auteurs ont imaginé différentes hypothèses :

  1. Qu’il s’agissait de dés gravés de lettres que le Souverain Sacrificateur jetait pour former un texte d’après un code.
  2. D’autres ont affirmé que les pierres précieuses, enchâssées sur le pectoral, envoyaient des lumières (ou des reflets) qui permettaient, selon un code, d’obtenir la volonté divine.
  3. D’autres, encore, ont affirmé que l’éclat intermittent des pierres précieuses qui éclairaient les lettres gravées des noms des fils de Jacob, permettaient au Souverain Sacrificateur de révéler la réponse divine.
Exode 28.16, 30
Exode 28.30

Pour la 1ère hypothèse, la Bible nous dit que les ourim et les toummim étaient ajoutés ou joints au pectoral, ou dans le pectoral qui était doublé, ou plié en deux, pour les contenir, selon l’ordre de L’ÉTERNEL DIEU. Mais nous ne savons ce qu’ils représentaient matériellement. Et pourtant ils devaient rester constamment sur la poitrine du Souverain Sacrificateur, dont le premier fût Aaron.

Exode 28.17-21 ; 39.10-14

Pour les 2ème et 3ème hypothèses, le fait que L’ÉTERNEL DIEU ait ordonné d’enchâsser douze pierres précieuses ayant des reflets différents sur le pectoral pour représenter chacune des douze tribus d’Israël, prouve qu’IL voulait les juger et les guider par Sa lumière.

Toutes les trois ont, peut-être, une part de vérité à cause de la signification des ourim et des toummim : lumières et perfections, ou lumières et vérités. Mais, ce ne sont que des hypothèses.

Exode 28.30
Jean 3.16-21 ; 12.31

En conclusion, ce que nous savons avec certitude, c’est que seule la Lumière de L’ÉTERNEL DIEU pouvait apporter la Vérité et la Perfection de Son jugement pour le peuple d’Israël, et, depuis plus de vingt siècles, pour tous les habitants de la terre.

Exode 28.36-38 ; 29.6 ; 39.28, 30-31

La tiare (18), sur la tête du Souverain Sacrificateur était tissée de fin lin blanc. Nous n’avons pas de détails sur la forme de la tiare elle-même. Mais une lame d’or pur, fixée par un ruban bleu azur, était placée sur le devant de la tiare (19). Sur cette lame d’or était gravé un sceau : « Sainteté à L’Eternel » ou « Sainteté au Seigneur ». La version massorétique est traduite par « Consacré au Seigneur ».

Exode 29.29-30 ; 40.15

A la mort d’Aaron, Souverain Sacrificateur, ses vêtements sacerdotaux seront transmis à son fils le plus âgé, qui sera son successeur héréditaire. Pour sa consécration, son fils successeur devra porter ces vêtements pendant sept jours consécutifs sans les quitter.


Signification spirituelle des vêtements sacerdotaux du Souverain Sacrificateur
Exode 28.42-43
Exode 28.2, 4, 39-41
Exode 28.42

Le caleçon

Les caleçons de lin étaient pour la pudeur, alors que les autres vêtements sacrés visibles d’Aaron, et de ses fils, étaient pour « la gloire et la beauté ». Les caleçons d’Aaron et de ses fils étaient de conception identique.

Exode 28.4, 39
Lévitique 16.4
Exode 28.2
Hébreux 5.1-3
Psaumes 24.3-5
Matthieu 5.8

La tunique (2)

La tunique du Souverain Sacrificateur était de fin lin tissé (à mailles). Le blanc immaculé du fin lin symbolisait la pureté sincère de celui qui devait porter l’éphod. Pour faire le service unique du « Jour des expiations », Aaron était revêtu des vêtements de sacrifice, des « vêtements de fin lin », emblème de pureté « la justice des saints », et d’humilité, et non de ses vêtements habituels de « gloire et de beauté ». Car, il n’était pas digne de se présenter avec ses vêtements de « gloire humaine » face au DIEU de Gloire Eternelle sur son Trône (l’Arche), mais avec un « cœur pur ».

Cette tunique de fin lin place devant nous la perfection et la pureté personnelles de JÉSUS-CHRIST homme. Car IL est « Le Juste ». Ce titre de gloire lui est donné sept fois dans le Nouveau Testament.

Jean 19.23-24
Psaume 22.17-19
Jean 1.29
Luc 23.34
Luc 23.44-46

Cette tunique rappelle celle que JÉSUS-CHRIST a portée sur la terre. Elle était sans couture, tissée d’une seule pièce depuis le haut jusqu’en bas. Cette tunique nous rappelle les perfections de JÉSUS-CHRIST, durant toute sa vie et tout sa mission sur la terre, jusqu’à sa mort sur la croix.

Hébreux 7.23-28 ; 12.2
Jean 3.15-17

La divinité et l’humanité de JÉSUS-CHRIST ont été tissées ensemble dans une parfaite unité. Ce mystère est grand, mais il a été accompli pour notre salut éternel.

La ceinture de la tunique : le Souverain Sacrificateur portait deux types de ceinture pour sa tunique :

Exode 28.39, 43 ; 39.29
Exode 28.2, 6, 8
  • la première ceinture, cachée sous la robe (3), était de fin lin retors tissé et brodé avec des fils bleu, pourpre et cramoisi. Elle symbolisait le Souverain Sacrificateur comme serviteur. C’est-à-dire moins puissant que lorsqu’il se ceignait de la ceinture visible de l’éphod (7) qui était, elle, « artistement brodé » avec des fils de même couleur mais qui avait, en plus, des fils d’or qui symbolisent la grandeur, la pureté, la perfection, la royauté, la divinité.
Lévitique 16.4
Esaïe 59.17
Ephésiens 6.14
Esaïe 11.2-5 ; 42.1-4
Matthieu 12.18-21
  • La seconde ceinture qu’il portait « le jour annuel des expiations », était de fin lin blanc tissé, comme l’éphod et la tiare qui étaient tous des vêtements sacrés et consacrés à cette occasion.
    Cette ceinture représentait la justice de DIEU accomplie par JÉSUS-CHRIST, et la vérité pour ceinture de Son serviteur justifié. Elle préfigurait CHRIST comme serviteur fidèle dans la justice de sa personnalité royale et céleste.
Exode 28.31 ; 39.22
Exode 28.6, 8, 15

La robe (3)

Sur la tunique, il y avait la robe (3) de l’éphod (6), entièrement de couleur bleue. Nous voyons, aussi, que le bleu était mélangé avec d’autres couleurs pour l’éphod, sa ceinture, et le pectoral, alors que la robe (3) de l’éphod était entièrement de couleur bleue.

Hébreux 7.26-28
Hébreux 8.4-5

Ceci semble indiquer que le caractère officiel de CHRIST, comme Souverain Sacrificateur parfait, sans péchés, est soutenu par cette couleur. Parce qu’IL est personnellement comme le céleste, et IL est même au-dessus des cieux. Et notre attention est attirée sur CHRIST comme « céleste », et non pas comme un Souverain Sacrificateur « terrestre » qui est obligé de présenter des offrandes.

Psaumes 110.4
Hébreux 5.5-6
Jean 14.13-14 ; 16.23
1 Timothée 2.5
Hébreux 9.15
Hébreux 7.24-25

Car, c’est dans le ciel que CHRIST est Souverain Sacrificateur pour toujours. Et c’est l’intercession de JÉSUS-CHRIST dans le ciel comme médiateur qui fait, dans le cœur des chrétiens nés de nouveau (de DIEU), une démonstration des choses célestes. L’Eglise entière tire son caractère de JÉSUS-CHRIST qui est le Souverain Sacrificateur céleste pour l’éternité. C’est pourquoi Son intercession et Son intervention pour nous, devant le DIEU de Majesté, ont une valeur incomparable.

Exode 28.33-35

Les clochettes d’or (4) et les grenades (5)

Les clochettes d’or et les grenades qui se trouvaient en alternance, en bas, sur le bord de la robe du Souverain Sacrificateur, signifiaient que tout vrai témoignage et que tout bon fruit doivent être le résultat de son sacerdoce. Les clochettes d’or retentissaient au fur et à mesure de la marche du Souverain Sacrificateur, depuis son entrée dans le Lieu Saint jusqu’à sa sortie pour avertir ceux qui étaient à l’extérieur qu’il était toujours vivant dans la présence de L’ÉTERNEL.

Le retentissement des clochettes était un appel à l’attention. Dans ce culte sans parole, où le faire excluait le dire, le son des clochettes était comme une prédication invitant les témoins et le Souverain Sacrificateur, lui-même, à l’attention et au recueillement.

Exode 28.35
Jean 1.29
1 Thessaloniciens 4.15-17
Marc 16.15-18
Actes 4.32-33
Actes 2.1-4, 38-42
Actes 5.32
Apocalypse 1.1-8

Au travers du son de ces clochettes, le son de CHRIST doit être entendu pendant qu’Il est caché aux yeux des hommes : le son de tout ce qui se rapporte à Son entrée dans Son sacerdoce divin et un son permanent jusqu’à ce que l’Eglise soit enlevée. Tout cela doit être maintenu comme un témoignage. Dès le début de l’Eglise primitive, les apôtres rendaient témoignage de la résurrection du Seigneur JÉSUS avec une grande puissance, et une grande grâce était sur eux tous. Ceci correspond, semble-t-il, aux clochettes d’or. Elles se firent « entendre », tout d’abord, le jour de la Pentecôte, et depuis elles n’ont pas cessé de rendre leur « son » divin.

Romains 1.16
Matthieu 24.14
Jean 15.16

Quant aux grenades qui sont des fruits remplis de graines, c’est-à-dire remplis de puissance productive, elles symbolisent la fécondité de l’amour de DIEU au travers de Ses enfants qui en témoignent.

Matthieu 5.14-16
Philippiens 2.15
Jean 15.5-8
Galates 5.22
2 Pierre 1.3-8

Ce témoignage, qui doit briller en nous et sur nous, porte du fruit, beaucoup de fruits si nous restons unis à JÉSUS-CHRIST en étant Ses vrais disciples, afin que nous participions à la Sainteté de DIEU avec humilité. Car ce sont Ses fruits que nous devons porter.

Exode 28.33-35
Galates 3.26-28
Romains 6.22-23

Lorsque L’ÉTERNEL DIEU précise qu’Aaron ne mourra pas s’il porte la robe bleue équipée des clochettes et des grenades, signifie que tous ceux qui sont revêtus de CHRIST ne mourront plus éternellement. Car ils ont été revêtus de la grâce de DIEU.

Jean 15.1-4, 8
Jean 14.23
Hébreux 10.14

S’il n’y avait ni clochettes d’or, ni fruits, ce serait comme si CHRIST ressuscité mourrait par rapport au témoignage. Mais L’ÉTERNEL DIEU n’a pas permis qu’il en soit ainsi. Car CHRIST habite dans le cœur de tous les enfants de DIEU qu’IL sanctifie pour l’éternité.

L’éphod (6)

L’éphod, qui était le vêtement officiel et caractéristique du Souverain Sacrificateur, se portait par-dessus la robe (3).

Hébreux 7.24
Apocalypse 17.14 ; 19.13-16
Luc 9.29 ; 22.20
1 Jean 1.7
Apocalypse 7.9-14
Hébreux 7.24 ; 10.21

Les quatre couleurs de l’éphod identifient JÉSUS-CHRIST comme le Souverain Sacrificateur dont le sacerdoce est intransmissible. Car IL est le Roi des rois (pourpre), qui, par Sa pureté (blanc), a versé Son Sang (cramoisi) pour nous purifier (blanc) de tous nos péchés. La gloire de la personne de CHRIST caractérise chaque couleur, dont IL est marqué comme Grand Souverain Sacrificateur établi sur la maison de DIEU.

Hébreux 1.2-4 ; 8.1 ; 12.2
Hébreux 2.7-10
1 Corinthiens 15.20-23

Et maintenant, IL est assis à la droite de DIEU dans les cieux (bleu) où IL est revêtu de la divinité (pourpre) éternellement. Quant à l’or, il symbolise la perfection de la divinité au travers du sacrifice de JÉSUS-CHRIST sur la croix et de la puissance de Sa résurrection.

Hébreux 7.23-25
Hébreux 9.24-28

Par Son sacrifice sur la croix, IL a été revêtu définitivement « d’un éphod éternel avec épaulettes » qui n’est pas transmissible, pour porter dans les cieux, sur « Ses épaules », tous les enfants de DIEU rachetés.

Hébreux 3.1 ; 7.24-25
1 Timothée 2.5-6

En tant que frères et sœurs sanctifiés, participants à l’appel céleste, nous sommes exhortés à considérer JÉSUS-CHRIST en Le confessant comme Souverain Sacrificateur éternel, parce qu’IL nous représente tous devant DIEU.

Le pectoral et les douze pierres (10) (11)

Les chaînettes, en ouvrage de torsade d’or pur (Exode 28.22), les anneaux et le cordon de bleu (Exode 28.28) montrent que le pectoral était totalement lié à l’éphod.

Exode 28.30

Aaron, Souverain Sacrificateur portait le jugement des enfants d’Israël continuellement sur son cœur devant L’ÉTERNEL DIEU, selon Son ordre. Ainsi, le pectoral était lié à l’éphod, comme le jugement est lié aux fils d’Israël à travers le Messie.

Hébreux 7.23-27
Matthieu 28.18-20

Aaron, en tant que Souverain Sacrificateur, préfigurait CHRIST comme Souverain Sacrificateur depuis sa nomination au-dessus de Ses semblables terrestres.

Exode 28.17-21, 30
Matthieu 5.14-16
Philippiens 2.15

Les noms des rachetés d’Israël étaient gravés d’une manière indélébile sur des pierres précieuses, selon leur variété voulue par L’ÉTERNEL DIEU. C’est l’image de tous les enfants de DIEU rachetés par CHRIST qui ressortent d’une manière merveilleuse au milieu des ténèbres du monde.

Romains 8.37-39
Jean 15.4-5
Apoc.3.20

Les rachetés en CHRIST ne peuvent jamais être séparés du grand amour de DIEU au travers du Grand Souverain Sacrificateur qu’est JÉSUS-CHRIST. IL n’abandonne jamais l’intérêt vivant qu’IL prend en nous, et nous sommes attachés à Son cœur continuellement.

1 Jean 2.1-2
Romains 8.37
Ephésiens 5.2
Exode 28.12, 30

JÉSUS-CHRIST, Souverain Sacrificateur perpétuel, porte tous les saints qu’IL a rachetés par Son sacrifice, à la fois par Son « cœur aimant » et sur Ses « puissantes épaules », qui sont symbolisés par le pectoral et les épaulettes dont se revêtait Aaron.

Jean 3.16
Jean 10.18
Romains 10.9-11
Jean 19.30

Le fait que l’auteur divin de la Bible ait laissé le doute, pour l’humanité, au sujet de la nature et de l’origine exactes des pierres précieuses, est un signe spirituel nous rappelant que nous n’avons pas à nous attacher à toute sorte d’imagination et d’idolâtrie de ce monde, ni aux richesses terrestres qui nous attirent si facilement par leur apparence, mais à notre DIEU Tout Puissant qui est le Créateur de l’univers, et qui S’est révélé à nous par la mort de Son FILS JÉSUS-CHRIST sur la croix du calvaire, et par Sa résurrection. Ainsi, IL a accompli le jugement de DIEU pour tous.

La tiare (18)

Traditionnellement, le mot « tiare » fait référence à une couronne de forme haute, souvent de forme cylindrique, rétrécie vers son sommet, faite de tissu ou de cuir, et richement ornementée.

Exode 28.39 ; 39.28
Colossiens 1.17-18

Toutefois, si la forme de la tiare d’Aaron Souverain Sacrificateur est inconnue, nous savons qu’elle était de fin lin tissé semblable à la tunique. Le blanc immaculé du fin lin symbolisait la pureté sincère de celui qui devait la porter. La tiare était posée sur la tête d’Aaron. Elle représentait la sainteté absolue de CHRIST (portée sur sa tête).

Exode 28.36-37

Sur le devant de cette tiare brillait une lame d’or pur (19). Sur la lame étaient gravés ces mots : « Sainteté à L’Eternel » ou « Sainteté au Seigneur » ou « Consacré au Seigneur ».

Exode 28.36-38

Cette lame d’or pur devait être constamment attachée et posée sur le front d’Aaron pour que L’ÉTERNEL DIEU soit bienveillant à l’égard de Son peuple. Si cette lame d’or est mentionnée avant la tiare, dans les Écritures, pour l’honorer sur le front d’Aron, c’est parce qu’elle était évidemment la pièce essentielle.

Exode 28.36-38

Cette inscription sublime, « Consacré au Seigneur », exprimait le principe fondamental que ce peuple appartenait à L’ÉTERNEL DIEU et qu’il avait pour destination suprême de Le servir. Tout devait donc porter le caractère de la sainteté, qui était le sceau de cette destination. C’est la raison pour laquelle le représentant de ce peuple, Aaron, au moment où il s’approchait du DIEU d’Israël, devait porter sur son front l’expression symbolique de cette destination idéale qui devait se réaliser dans tous les détails de sa propre vie, et de celle du peuple qu’il représentait :

Lévitique 19.2

« Soyez saints, car Je suis saint, moi, l’Eternel, votre Dieu »

Exode 28.36
Exode 28.38

Cette inscription sublime, « Consacré au Seigneur », était aussi l’emblème d’une sainteté parfaite. Une fois placée sur le front du Souverain Sacrificateur, qui représentait le peuple, elle couvrait les iniquités commises par les Israélites envers L’ÉTERNEL DIEU, lorsqu’ils présentaient toutes leurs saintes offrandes.

D’ailleurs par cet ordre transmis à Moïse pour Aaron, L’ÉTERNEL DIEU rappelle clairement qu'il peut se trouver de l'iniquité même dans nos actes les plus sacrés. Ainsi, les enfants d'Israël représentaient en quelque sorte les enfants de DIEU, quels qu’ils soient, tels qu'ils sont actuellement sur la terre, avec des mesures variées d'accroissement et d'intelligence spirituelle.

Exode 28.38

Les enfants d’Israël, peuple de DIEU, étaient indignes de la sainteté, en eux-mêmes, à cause de leurs péchés, comme nous tous. Mais L’ÉTERNEL DIEU voyait constamment cette lame d’or avec son inscription sublime. Et ainsi les enfants d’Israël étaient sanctifiés. Aujourd’hui, le peuple de DIEU n’est sanctifié, et agréable devant LUI, que par le Seigneur JÉSUS-CHRIST qui est notre Grand Souverain Sacrificateur à tous.

Hébreux 2.9
Apocalypse 14.14

Ainsi, cette tiare et cette lame d'or pur préfiguraient la couronne d’or de gloire dont CHRIST est revêtu dans les cieux, en vertu de Son œuvre accomplie pour nous tous.

Hébreux 10.19-24
Apocalypse 5.6 ; 7.15-17 ; 22.3

Notre salut est en JÉSUS-CHRIST qui s’est offert à DIEU, pour nous tous, par Son sacrifice parfait. Il est notre Souverain Sacrificateur permanent dans Son Église. Et IL se tient devant DIEU dans Sa sainteté, pour l’éternité.


Les symboles de la pureté pour être trouvé digne d’accéder au trône de DIEU (l’Arche)
Hébreux 10.14
Jean 1.29
Esaïe 53.7-10
Lévitique 16.4

Cette offrande parfaite de JÉSUS-CHRIST, l’agneau de DIEU sans défaut et sans tâche, était symbolisée par les vêtements spécifiques dont se revêtait le Souverain Sacrificateur pour l’expiation annuelle des péchés du peuple d’Israël (Yom Kippour). Car, pour cette célébration, le Souverain Sacrificateur consacré se purifiait entièrement le corps en se lavant dans la cuve qui était installée devant le Tabernacle. Puis, il entrait dans le Tabernacle pour s’habiller entièrement de vêtements de lin blanc pour être digne d’entrer dans le Lieu Très-Saint. Le caleçon, la tunique, sa ceinture, et la tiare de lin, sont tous cités dans les Saintes Écritures, à cette occasion.

Lévitique 16.5-22

Ensuite, Aaron exécutait ses fonctions sacerdotales des expiations en pénétrant seul par trois fois devant l’Arche, pour y faire les fumigations avec l’encensoir, puis pour faire sept fois l’aspersion du sang du taureau, et enfin pour faire de même avec le sang du bouc expiatoire.

Lévitique 16.23-26

Et quand tout était accompli, Aaron entrait dans le Lieu Saint, ôtait ses vêtements de lin blanc, les déposait là parce qu’ils étaient saints, se lavait, puis remettait ses vêtements sacerdotaux cérémoniaux (de gloire et de beauté), et enfin sortait du Tabernacle pour offrir des holocaustes.

Lévitique 16.4, 23
Lévitique 6.3-4

Le jour des Expiations est le seul jour pour lequel le Souverain Sacrificateur était en service dans le Tabernacle revêtu de ses vêtements de lin blanc. Par contre, nous ne savons pas si ces mêmes vêtements en lin étaient à nouveau utilisés l’année suivante pour le jour des expiations et s’ils étaient gardés et portés avec les choses saintes. Car, pour l’offrande des holocaustes sur l’autel d’airain, les Sacrificateurs avaient à leur disposition des vêtements de rechange identiques qu’ils se revêtaient pour sortir hors du camp.

Lévitique 16.4, 32-33
Lévitique 16.17, 32-34
Nombres 4.15, 19-20
1 Samuel 6.19-20
Exode 28.35

Mais les vêtements consacrés d’Aaron pour le Lieu Très-Saint, dans la présence de L’ÉTERNEL, ne pouvaient pas être utilisés à une autre occasion, ni même être approchés ou touchés par une autre personne que lui-même, à cause de la sainteté de DIEU inaccessible pour tous, au travers de l’Arche. Le Souverain Sacrificateur ne portait pas sur lui la robe avec ses clochettes le jour annuel où il accédait dans le Lieu Très-Saint. Car il était autorisé à porter ce vêtement sacré uniquement pour son service journalier dans le Lieu Saint et peut-être aussi depuis l’autel des sacrifices.

Exode 28.42-43
Lévitique 6.2-4
Lévitique 16.4, 32
Exode 29.4-7 ; 40.12-13

Toutefois, il se peut que le Souverain Sacrificateur gardait sur lui son caleçon de lin pour sa pudeur. Car ce vêtement ne pouvait pas être en contact avec les autres personnes lorsqu’il sortait du Tabernacle, du fait qu’il avait remis, par-dessus, ses vêtements « de gloire et de beauté » avant de sortir. Mais le fait du caleçon de lin conservé sur lui ne reste qu’une hypothèse. Car le doute existe encore pour Aaron, comme pour ses fils Sacrificateurs, lorsqu’ils nettoyaient les cendres de l’holocauste sur l’autel, le matin. Car les vêtements de lin blanc faisaient partie des vêtements sacrés que le Souverain Sacrificateur portait, ou porterait le jour des expiations, et qui avaient été oints pour sa consécration.

Ezéchiel 42.14 ; 44.16-19
Apocalypse 15.6

Dans sa vision du Temple de la nouvelle Jérusalem, le prophète Ézéchiel dit que le Souverain Sacrificateur et les Sacrificateurs déposeront leurs vêtements de lin sacrés dans les « chambres saintes » une fois qu'ils auront terminé leur service, afin de ne pas sanctifier le peuple par leurs vêtements sacrés. Ces vêtements de lin étaient le symbole de la pureté. Car le mot « lin » est utilisé comme un emblème de la pureté morale. C’est le symbole des vêtements de lin que portait spécialement le Souverain Sacrificateur pour accéder à l’Arche qui représentait le trône de L’ÉTERNEL.

Apocalypse 1.14 ; 15.6
Luc 9.29
Daniel 10.5
Apocalypse 3.5 ,18 ; 7.9-10
Apocalypse 19.8, 11-16
Apocalypse 19.7-9
Apocalypse 3.5, 18 ; 6.11
Apocalypse 7.9-10, 13-14
Ephésiens 3.20-21

Le lin blanc symbolise la pureté de DIEU, la pureté de CHRIST. Comme il symbolise la pureté de CHRIST, il symbolise aussi la pureté des enfants de DIEU, parfaits et justes, qui formeront Son armée derrière CHRIST vainqueur pour l’éternité. Le lin fin, c’est la justice des saints. Pour avoir part aux noces de l’Agneau (JÉSUS-CHRIST), devant le trône de DIEU, nous devrons être revêtus de vêtements de fin lin blanc, sans taches et sans plis, en étant justes et obéissants. Car nous avons été blanchis dans le sang de l’Agneau de DIEU. À DIEU soit la gloire en JÉSUS-CHRIST, pour l’éternité.


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