L’ÉTERNEL donna des instructions à Moïse pour le cas où une épouse se détourne de son mari et lui devient infidèle en couchant avec un autre à l’insu de son époux, sans témoins et sans qu’elle soit prise sur le fait. Car si l’adultère était bien constaté, les deux coupables seraient automatiquement punis de mort. Mais ici, il s’agit de cas où la constatation d’un adultère est impossible. Il se peut aussi que l’époux soupçonne son épouse d’infidélité par jalousie sans pouvoir le prouver. Par contre, le cas inverse de l’épouse qui accuse son mari d’adultère n’est pas stipulé par cette ordonnance. Ceci peut signifier la position sociale inférieure de la femme vis-à-vis de son époux depuis la création, mais aussi à cause de la polygamie pourtant interdite par L’ÉTERNEL mais pratiquée sans gêne par les hommes. Ainsi, en ayant plusieurs femmes, l’homme commettait beaucoup d’adultères que L’ÉTERNEL DIEU a condamné fermement et condamne toujours.

Suite au soupçon d’adultère de son épouse, le mari la présentera au Sacrificateur qui la soumettra au jugement de DIEU après un rituel basé sur l’offrande de jalousie. Puis, le Sacrificateur fera jurer l’épouse avec un serment de malédiction si elle est coupable. Si elle l’est, elle sera imprégnée d’une grave maladie et de stérilité qui servira d’exemple. Mais si elle est innocente, elle pourra concevoir des enfants avec son mari après la réconciliation du couple.

Cette ordonnance concernait l’interdiction des liens charnels impurs qui devaient exister au sein du peuple des Israélites et des étrangers qui vivaient avec eux. En fait, ces façons de vivre avec des liens odieux ou consanguins, provenaient d’Égypte où ils étaient même pratiqués par les Pharaons, avec lesquels ils s’étaient familiarisés pendant des siècles, et qui se pratiquaient aussi dans le pays de Canaan qui était leur destination.

Mais pour vivre avec L’ÉTERNEL DIEU, qui est parfaitement Saint, il faut être un peuple saint. C’est la raison pour laquelle les Israélites devaient complètement abandonner ces liens ignobles de vie qu’ils avaient adoptés en Égypte, et obéir aux ordres de L’ÉTERNEL DIEU par leur mise en pratique.

Ces ordres divins étaient les suivants :

1. Aucun mariage ou rapports sexuels avec une personne de proche parenté :
   1. Que ce soit avec sa mère ou son père.
   2. Que ce soit avec sa belle-mère.
   3. Que ce soit avec sa sœur ou sa demi-sœur.
   4. Que ce soit avec sa petite-fille.
   5. Que ce soit avec la fille de sa belle-mère.
   6. Que ce soit avec sa tante ou son oncle.
   7. Que ce soit avec sa belle-fille.
   8. Que ce soit avec sa belle-sœur.

2. Aucun mariage ou rapports sexuels avec une femme et sa fille, ni la fille de son fils ou de sa fille car c’est une infamie.

3. Aucun rapport sexuel avec une femme pendant la période de son indisposition menstruelle.

4. Aucun mariage ou rapports sexuels avec la femme de son prochain, quel qu’il soit.

5. Aucun mariage ou rapports sexuels entre deux hommes, car c’est une pratique monstrueuse.

6. Aucun rapport sexuel avec un animal. Aucune femme ne soit s’accoupler avec un animal, car c’est une confusion.

7. Interdiction d’offrir ses enfants en sacrifice (par le feu) pour une divinité païenne telle que Molok.

La médecine moderne nous avertit que l’inceste (rapports sexuels entre parents proches) produit une dégénérescence génétique très grave lorsque des consanguins se reproduisent entre eux.

Dans l’ordonnance de L’ÉTERNEL DIEU, même les rapports sexuels entre un homme et une femme parents au second degré, étaient interdits. Et du fait que L’ÉTERNEL ne l’autorisa qu’à partir du 4^ème degré de parenté, prouve qu’IL connaissait parfaitement les conséquences physiques et mentales qui en résulteraient sur leurs descendants, bien avant les découvertes scientifiques des hommes.

La solidité de la famille fondée par L’ÉTERNEL DIEU est aussi évoquée dans Sa Parole par l’interdiction de liaisons sexuelles entre parents de second degré, mais aussi avec les belles-familles. Car elles pouvaient détériorer la pérennité familiale de façon honteuse.

Quant à la sodomie et l’homosexualité condamnées totalement par L’ÉTERNEL DIEU depuis toujours, elles représentaient une immoralité monstrueuse qu’IL a confirmé, quinze siècles plus tard, par le châtiment dont seront l’objet tous ceux qui pratiquent ces abominations, et ceux qui les approuvent  : c’est la mort éternelle.

Si L’ÉTERNEL DIEU a condamné fermement ces agissements parfois déguisés, qui sont visibles aujourd’hui par les vêtements et la coiffure qui représentent la désobéissance, c’est parce qu’ils sont opposés à la volonté morale et physique divine. Car DIEU a créé l’homme et la femme avec un sexe différent afin que par leur union ils deviennent une seule chair pour se reproduire : c’est l’unique fondement de la famille qu’IL a ainsi créée.

Finalement, cette confusion des relations sexuelles indignes est le reflet de la confusion du bien et du mal qui a entraîné l’humanité à la mort, depuis le jardin d’Éden. Aujourd’hui, cette confusion du bien et du mal s’est encore accentuée pour l’humanité qui s’est éloignée de DIEU, et par un athéisme et une idolâtrie plus ou moins affirmés, qui effacent ensemble toute référence morale. Plus encore, sous prétexte de laïcité et de liberté, c’est la rébellion contre L’ÉTERNEL DIEU qui gagne du terrain sur l’obéissance à Ses commandements.

En réponse à ce rejet de l’existence de L’ÉTERNEL DIEU, et par le refus d’obéir à Ses commandements, IL a abandonné ces hommes et ces femmes à l’impureté sexuelle par laquelle ils déshonorent leur propre corps.

Ainsi, depuis le jardin d’Éden, Satan a voulu installer un « voile invisible » (la tentation, le péché) entre le royaume de DIEU et la terre pour empêcher la communion des êtres humains avec le Créateur de l’univers, afin qu’ils soient tous entraînés à ignorer l’existence du DIEU Tout-puissant, et Son Grand Amour pour tous.

Mais ce voile a été déchiré par la mort de JÉSUS-CHRIST sur la croix de Golgotha pour donner, aux êtres humains, un libre accès au trône de gloire de L’ÉTERNEL DIEU établi dans les lieux célestes.

Ainsi, pour les chrétiens nés de nouveau (de DIEU), la Parole de DIEU (La Bible) reste la référence immuable pour leur obéissance et leur fidélité. La Parole de DIEU leur révèle toujours ce qui est mal à Ses yeux. Et elle les conduit toujours à faire le bien en LUI obéissant, afin d’avoir une vie sainte. Même au milieu du monde immoral dans lequel ils vivent, les vrais chrétiens, nés de nouveau, doivent suivre le chemin de pureté que DIEU leur a tracé par Son FILS JÉSUS, homme parfait et Sauveur pour les préserver du mal, de la confusion et de la colère de DIEU qui s’étend sur le monde.

En fait rien à changé en ce qui concerne l’adultère, la sodomie et l’homosexualité, entre les ordonnances de la loi transmises depuis trente-cinq siècles et les ordonnances de la nouvelle alliance en JÉSUS-CHRIST révélées depuis vingt siècles. Les humains sont toujours pécheurs et certains d’entre eux commettent toujours ces infamies. La seule différence c’est que la loi donnait une condamnation mortelle terrestre à tous ceux qui commettaient ces infamies, et que la nouvelle alliance révèle en plus une condamnation éternelle pour tous ceux qui les pratiquent et aussi pour ceux qui les approuvent.

Enfin, en ce qui concerne les sacrifices des enfants en offrande pour Molok, qui était une divinité cananéenne, comme le faisaient les habitants de cette région du monde, L’ÉTERNEL DIEU les interdisait formellement. IL interdisait ces sacrifices d’enfants pour l’idolâtrie, à cause de l’obéissance à Ses commandements :

« Je suis l’ÉTERNEL, ton DIEU, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras point d’autres dieux devant Ma face. »

« Tu aimeras le Seigneur, ton DIEU, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta force (de toute ta pensée) »

Car L’ÉTERNEL DIEU savait, à l’avance, que le peuple d’Israël pourrait s’attacher et s’attachera à ce genre d’action odieuse en pratiquant cette idolâtrie qui existait déjà en Terre promise.

La sanction prononcée par L’ÉTERNEL DIEU, pour ceux qui commettraient au moins une seule de toutes ces abominations, était l‘exclusion immédiate du peuple d’Israël, que ce soit pour les Israélites, ou pour les étrangers qui vivaient au sein du peuple. Nous pensons, d’ailleurs, que cette sanction « d’exclusion du peuple » signifie aussi « l’exclusion de la mémoire du peuple », c’est-à-dire l’oubli total de ces personnes coupables. Car dans le livre du Lévitique, au chapitre 20, la condamnation à mort est prononcée automatiquement pour tous ceux qui pratiqueraient certaines de ces mêmes abominations décrites au chapitre 18 et qui pourtant devaient être seulement exclus du peuple. Mais L’ÉTERNEL DIEU dit aussi que pour ceux qui feront mourir leurs enfants en offrande à Molok, et que « si » le peuple ne donne pas la mort par lapidation à ces coupables idolâtres, ils seront automatiquement retranchés du peuple d’Israël avec leurs familles.

Comme pour l’adultère, la sodomie et l’homosexualité, les ordonnances de la nouvelle alliance sont fermes au sujet de l’idolâtre : il s’agit aussi d’une condamnation à la mort éternelle.

Le jugement de DIEU était impitoyable pour tous ceux qui commettraient une seule de ces abominations.

La mort pour :

• Tout homme qui commettra un adultère avec la femme de son père. Tous les deux seront mis à mort par lapidation.

• Tout homme qui commettra un adultère avec sa belle-fille. Tous les deux seront mis à mort par lapidation.

• Tout homme qui aura des rapports sexuels avec une femme et sa fille. Tous les trois seront brûlés vifs.

• Tout homme qui commettra un adultère avec la femme de son prochain. Tous les deux seront mis à mort par lapidation.

• Tout homme qui aura des rapports sexuels avec un autre homme. Tous les deux seront mis à mort par lapidation.

• Tout homme qui aura des rapports sexuels avec un animal. L’homme sera lapidé et l’animal tué. Si c’est une femme qui s’accouple avec un animal, les deux seront tués.

• Toute personne qui livrera un de ses enfants en sacrifice à Molok ou à toute autre idole sera tuée. Si le peuple n’exécutait pas la sentence par lapidation, L’ÉTERNEL se chargera de faire disparaître cette personne ainsi que toute sa famille.

• Toute personne qui se livrera à la magie en invoquant les morts, ou les esprits pour prédire l’avenir, sera mise à mort par lapidation, et son nom sera retranché de la mémoire du peuple.

• Toute personne qui maudira son père ou sa mère. Cette personne sera mise à mort.

Si certaines de ces sentences de mise à mort devaient être exécutées par lapidation, la méthode utilisée pour d’autres est incertaine.

Autres sanctions pour :

• Tout homme qui commettra un adultère avec sa sœur, ou sa demi-sœur, ils seront exclus du peuple.

• Tout homme qui aura des rapports sexuels avec sa tante. Il ne leur sera pas permit d’avoir des enfants car ils porteront le poids de leur péché.

• Tout homme qui aura des rapports sexuels avec sa belle-sœur. Il ne leur sera pas permit d’avoir des enfants, car l’homme aura déshonoré son frère.

• Tout homme qui a un rapport sexuel avec une femme pendant sa période d’indisposition menstruelle. Ils seront tous les deux exclus du peuple.

La volonté de L’ÉTERNEL DIEU était d’avoir un peuple Saint comme LUI, en LUI obéissant. C’est la raison pour laquelle les ordonnances et les sanctions qu’IL imposait étaient très dissuasives, afin que le peuple d’Israël soit « armé » d’obéissance pour affronter les peuples idolâtres et pervers qu’il allait bientôt combattre.

Quelle belle leçon d’obéissance adressée aux vrais chrétiens qui sont guidés par L’ESPRIT-SAINT, mais qui est complètement rejetée par les incrédules du monde pervers pour leur permettre de se livrer à des actes indignes.

Les dimensions de sainteté que désirait L’ÉTERNEL DIEU comprenait l’attitude quotidienne que devait observer toute la communauté du peuple d’Israël.

Sur la base des commandements de L’ÉTERNEL DIEU, mis en pratique continuellement, les Israélites et les étrangers vivants au milieu d’eux devaient se conformer aux comportements suivants qui correspondent aux dix commandements :

• Respecter son père et sa mère. (5^ème commandement)

• Observer le repos le jour du sabbat. (4^ème commandement)

• Ne pas vénérer des idoles avec interdiction d’en fabriquer. (2^ème commandement)

• Manger les sacrifices d’action de grâces (l’accomplissement d’un vœu ou une offrande volontaire), le jour où ils étaient offerts, ou le lendemain. Mais ce qui en resterait à partir du surlendemain ne devait pas être mangé, mais être consumé sur le feu. C’est à ces conditions qu’un sacrifice d’action de grâce pouvait être agréé par L’ÉTERNEL DIEU. Celui qui ne respecterait pas cet ordre, serait exclu du peuple. (1^er commandement)

• Ne pas moissonner les angles des champs, ni ramasser ce qui resterait ou tomberait au sol après la moisson. Car tout ce qui restera sera réservé aux pauvres et aux étrangers. Les produits des champs et de la vigne sont donnés en exemple. (10^ème commandement)

• Ne pas voler, ni tromper, ni mentir à son prochain. (8^ème et 9^ème commandements)

• Ne pas jurer faussement par le nom de DIEU. (3^ème commandement)

• Ne pas opprimer son prochain, ni l’escroquer en lui retenant son salaire par exemple. (8^ème, 9^ème et 10^ème commandements)

• Ne pas maudire un sourd et ne pas outrager un handicapé, mais les respecter. (9^ème et 10^ème commandements)

• Ne montrer aucune partialité et ne commettre aucune injustice dans les jugements. (9^ème commandement)

• Ne pas calomnier son prochain, ni comploter contre lui ou apporter contre lui un faux témoignage qui le fasse condamner à mort. (9^ème commandement)

• Ne point haïr son frère (frère de sang, frère de la communauté ou du peuple, prochain), mais d’en prendre soin en le réprimandant sans détour, mais avec sagesse, afin que la rancune intérieure ne provoque pas la vengeance. Tout cela dans le but d’aimer son prochain comme soit même. (5^ème au 10^ème commandement)

• Ne pas accoupler deux animaux d’espèces différentes, ne pas ensemencer deux semences différentes dans le même champ et ne pas porter sur soi un vêtement tissé avec des fils de nature différente. Cette ordonnance signifiait que l’homme ne doit pas mélanger ce que L’ÉTERNEL a créé d’une nature différente, comme il ne doit séparer ce qu’IL a uni comme IL le fit encore pour l’arche de Noé entre les animaux purs ou impurs. Aujourd’hui, le résultat des mutations ou mélanges écologiques sont désastreux pour la faune et la flore, lorsque les hommes déplacent des éléments de la création pour les mélangés ou les accoupler malgré le fait que L’ÉTERNEL les avait séparés. (10^ème commandement)

Mais l’accouplement le plus grave, dont souffre l’humanité, c’est le bien avec le mal, l’obéissance avec la désobéissance, le pur avec l’impur, et tout cela par l’acceptation de doctrines immorales pernicieuses et confuses qui éloignent les humains de L’ÉTERNEL DIEU Créateur de l’univers et Son Fils JÉSUS notre Sauveur qui est Sa Parole. (1^er et 2^ème commandements)

• Lorsqu’un homme Israélite aura des rapports sexuels avec une femme esclave, alors qu’elle est déjà fiancée à un autre homme, mais qu’elle n’est ni rachetée, ni affranchie, l’Israélite et cette femme esclave seront pénalisés mais non punis de mort parce que cette femme n’a pas été affranchie (pas libérée de l’esclavage physique par paiement). Par contre, l’homme coupable devra offrir un bélier en sacrifice de culpabilité. Le Sacrificateur fera pour lui l’expiation devant L’ÉTERNEL, pour le péché qu’il a commis, et il lui sera pardonné. (7^ème et 10^ème commandements)

• Lorsque les Israélites seront entrés en Terre promise, ils y planteront des arbres fruitiers dont ils ne cueilleront pas les fruits avant la quatrième année. Car tous les fruits qui pourront être cueillis les trois premières années, seront considérés comme impurs, ou « incirconcis » ou provenant d’une « excroissance », selon les traductions. Mais tous les fruits qu’ils auront récoltés la quatrième année seront tous offerts à L’ÉTERNEL DIEU, c’est-à-dire à Aaron, ses descendants et sa famille, comme une dîme, car ils étaient Ses serviteurs. Ainsi, c’est à partir de la cinquième année que le peuple mangera les fruits de ses propres arbres.

Mais si L’ÉTERNEL DIEU ne donna encore aucune consigne sur l’autorisation ou non de manger les fruits des arbres existants que les explorateurs israélites trouveront quelques mois plus tard en abondance, et dont le peuple refusera en quelque sorte de se nourrir, nous savons que les Israélites les mangeront bien 39 années plus tard, pendant les quatre premières années de la présence de tout le peuple d’Israël en Terre sainte. C’est à partir de cette période qu’ils mangeront à volonté tous les produits plantés et cultivés par les peuples que L’ÉTERNEL DIEU aura chassés avant eux. D’ailleurs, IL l’approuvera du fait que la manne céleste cessera dès leur entrée en Canaan.

Ce qui prouve que les Israélites se nourrirent, pendant les quatre premières années après leur entrée en Canaan, des fruits des arbres qu’ils n’avaient pas plantés. Mais nous supposons, aussi, qu’ils détruisirent les anciens arbres, une fois que les nouveaux arbres furent capables de donner des fruits provenant de la Terre sainte qui sera ainsi nettoyée des « maladies parasitaires » symbolisées par l’idolâtrie des peuples qui y résidaient.

• Ne rien mangez avec du sang, ni se livrer à des pratiques occultes, magie, sorcellerie. (1^er et 2^ème commandements) Car des sacrifices étaient pratiqués devant des faux-dieux « homme-bouc » en Égypte, et encore présents dans la pensée d’Israélites, ou au sein du « ramassis » qui vivait au milieu du peuple dans le désert. Cette pratique représentait l’adoration de faux-dieux, comme ils l’avaient fait pour l’érection d’un veau de métal dans le campement, que L’ÉTERNEL leur avait formellement interdit de pratiquer. (1^er commandement)

• Ne pas couper sa chevelure, ni tailler les bords de sa barbe, ni de se faire des incisions dans la chair pour un deuil, ni d’imprimer de tatouage sur son corps (par piqûres et impression de figures ou autres créatures sur le corps) dans le but de coutumes idolâtres comme les pratiquaient souvent les peuples païens alentours (voir 1^er et 2^ème commandements). Car le corps de l’être humain doit ressembler à DIEU comme Son représentant du fait qu’IL l’a créé à Son image afin qu’il reflète Sa gloire. Ainsi, son corps appartient à DIEU Son créateur. Et tous Ses enfants rachetés par JÉSUS-CHRIST doivent LUI rendre gloire dans leur corps qui ne leur appartient plus, parce que L’ESPRIT-SAINT y demeure.

• Ne pas livrer sa fille à la prostitution qui est une infamie. Il ne s’agit pas là de la prostitution ordinaire et volontaire de la personne pour un gain privé, mais de la prostitution sacrée, comme la pratiquait certains peuples païens dans les temples d’Astartés. C’est la raison pour laquelle L’ÉTERNEL DIEU l’interdit dans le même cadre que la prostitution à l’idolâtrie citée dans les versets 26, 27, 28 et 31. (1^er et 2^ème commandements)

• Respecter le Sanctuaire de L’ÉTERNEL DIEU avec crainte et honneur. (4^ème commandement)

• Ne pas avoir recours aux êtres humains qui se livrent à la magie, en invoquant les morts pour prédire l’avenir. (2^ème commandement)

• Respecter une personne âgée en se levant devant elle pour l’honorer. (5^ème commandement)

• Respecter avec dignité un étranger qui viendra s’installer dans le pays du peuple d’Israël, en le traitant comme un Israélite et en l’aimant comme son prochain. Il ne fallait jamais oublier que les Israélites avaient été eux-mêmes des étrangers en Égypte et qu’ils devaient agir comme ils auraient voulu que les Égyptiens agissent envers eux, c’est-à-dire en les respectant avec amour. Ce qui signifie : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

• Ne pas commettre d’injustice, de fraude, de vol dans le domaine des mesures, des poids et des capacités, en utilisant toujours des mesures de longueurs justes, des balances justes et des mesures de récipients justes. (8^ème commandement)

Tout le peuple était invité à observer scrupuleusement toutes ces ordonnances en les mettant constamment en pratique, comme pour les dix commandements.

Car les commandements de L’ÉTERNEL DIEU n’étaient pas au-dessus de leurs forces mais leurs permettaient de vivre par eux.

Presque rien n’a changé aujourd’hui pour les êtres humains du monde entier, pour tous ceux, quels qu’ils soient, juifs ou non-juifs, qui mettent en pratique tous les commandements de DIEU. Mais c’est au nom du Seigneur JÉSUS-CHRIST que nous devons et pouvons les mettre en pratique sincèrement pour qu’ils soient agréables à DIEU. Car c’est uniquement par l’intercession de Son FILS que nous pouvons tous avoir accès à LUI.

« Celui qui garde Ses commandements demeure en DIEU, et DIEU en lui ; et nous connaissons qu’IL demeure en nous par L’ESPRIT qu’IL nous a donné. »