C’est dans cet article que nous traitons de la gubernatio, que l’ancienne dogmatique décomposait en permissio et impeditio quant au mal, et en directio et determinatio quant au bien. On oubliait ici l’action divine coactive s’exerçant sur le pécheur endurci, et celle qui à l’opposite tire le bien du mal et du bien un plus grand bien.
L’action providentielle dans sa relation avec le mal était définie : Actus providentiæ gubernatricis quo Deus actiones creaturarum pro arbitrio suo constringit, ne effectum dent (Ex. Abimelec, Laban, Balaam) ; — dans sa relation avec le bien : Actus quo Deus creaturarum viribus, actionibus et passionibus certos terminos, intra quos se contineant, cum ratione temporis, tum ratione magnitudinis et gradus constituit.