[1] Denys, en outre des lettres mentionnées de lui, compose encore à cette époque celles qu'on appelle lettres pascales, dans lesquelles il élève le ton en des discours fort éloquents sur la fête de Pâques. Il adresse l'une d'elles à Flavius et l'autre à Dométius et Didyme ; dans celle-ci il établit même un canon pour huit ans et il dit qu'il ne convient pas de célébrer la solennité de Pâques autrement qu'après l'équinoxe du printemps. En outre de ces lettres il en écrit encore une autre à ses confrères d'Alexandrie dans le sacerdoce et tout ensemble à diverses autres personnes, et ceci tandis que la persécution durait encore.