« Et vous, mon peuple, vous saurez que je suis l’Eternel, quand j’aurai ouvert vos sépulcres, et que je vous aurai tirés hors de vos sépulcres. »
Ceux d’entre les morts qui reçoivent la vie reconnaissent certainement la main de l’Eternel dans une semblable résurrection. C’est là le plus grand et le plus remarquable changement qu’un homme puisse subir, que d’être tiré de la fosse de la mort spirituelle, pour être amené à la lumière de la vie et de la liberté. Nul autre que le Dieu vivant ne peut opérer une œuvre semblable : l’ETERNEL est celui qui donne la vie. Pour moi, je me souviens comment j’étais couché dans cette vallée des os secs, aussi sec moi-même qu’aucun de ces os. Béni soit le jour où la libre et souveraine grâce a envoyé le Fils de Dieu pour prophétiser sur moi. Gloire à Dieu pour le réveil qu’a produit parmi ces os secs cette parole de foi. Béni soit encore davantage ce souffle céleste des quatre vents qui m’a donné la vie. Je connais maintenant l’esprit vivifiant de ce Dieu qui vit éternellement, car il m’a donné la vie.
Certainement l’Eternel est le Dieu vivant. Ma vie nouvelle, même avec ses peines et ses chagrins, est la preuve éclatante que le Seigneur est celui qui fait mourir et celui qui fait vivre. Seul il est Dieu. En lui, le seul Grand, le seul Miséricordieux, le seul Glorieux, mon âme vivifiée adore le grand JE SUIS. Toute gloire soit à son saint Nom. Je le louerai tant que je vivrai.