« Ce que vous dites est éminemment politique et législatif ; mais peut-être y découvrirait-on encore quelques imperfections. Ce qui est relatif à la musique est vrai et digne qu’on y fasse attention ; savoir, qu’il serait possible de donner une législation invariable au moyen de ces choses, en osant publier des poèmes qui respireraient une justice essentielle. Mais cela ne peut venir que de Dieu ou d’un homme inspiré par lui. »
C’était donc, une mesure de sagesse que celle qui, chez les Hébreux, avait dicté la loi, par laquelle on interdisait, dans les écoles de théologie, d’autres hymnes ou d’autres odes que celles composées par les prophètes et les hommes de Dieu, inspirés par l’esprit divin. Les odes inspirées par la même pensée devaient être, chantées sur le même ton.