« Que personne n’essaye de déplacer les limites de la terre, ni celles d’un concitoyen son voisin, ni d’un habitant quelconque, dont la propriété est limitrophe de la sienne, fût-il étranger, et à la frontière, pourvu qu’il soit au nombre de ses voisins ; en étant sincèrement persuadé de la vérité de cette maxime, qu’on ne doit pas remuer ce qui est immuable. »
A la suite, il ajoute :
« Quiconque laboure la terre de son voisin, en dépassant les limites, qu’il en paye le dommage ; puis ensuite, pour guérir son impudence et sa grossièreté, qu’il paye encore le double de la valeur du dommage à celui qui en a souffert. »