L’union dans la prière | Jonathan Edwards (1748) |
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En 1823 paraissait une traduction française d’un livret de Jonathan Edwards publié en 1748, appelant tous les chrétiens à une prière hebdomadaire universelle, pour la propagation de l’Évangile. En réalité la traduction ne reproduisait que moins de la moitié de l’original, et passait sous silence le vrai objet d’une telle entreprise d’union dans la prière : l’inauguration du Millénium, l’âge d’or de l’humanité prévu par les prophètes de l’Ancien Testament et par l’Apocalypse. Jonathan Edwards, qui vivait à l’époque du Grand Réveil, pensait que ce Millénium débuterait en Amérique, d’où son enthousiasme pour la proposition d’un groupe de pasteurs écossais de prier jusqu’à l’accomplissement des prophéties annonçant la venue du Royaume de Dieu. Complétée dans ses parties importantes, notre réédition sera l’occasion de se pencher sur l’eschatologie du célèbre puritain, et de réfléchir au rôle éventuel que pourraient jouer les États-Unis dans les événements de la fin.
Table des matières
♦ | Introduction | ||
1. | L’eschatologie de Jonathan Edwards | ||
2. | La traduction de 1823 | ||
3. | Traduction de la troisième partie : Réponses aux objections | ||
3.1 | Qu’il y a de la superstition dans cet accord sur la prière | ||
3.2 | Qu’un tel accord est fantaisiste, ou bien pharisaïque | ||
3.3 | Qu’un tel accord est prématuré | ||
3.4 | Que la chute de l’Antéchrist est encore bien loin | ||
3.5 | L’accusation de nouveauté | ||
4. | La place de l’Amérique dans la fin des temps |