Théologie pastorale

Section première
Culte

Le culte est l’expression la plus immédiate, la forme toute religieuse de la religion. C’est l’acte intérieur ou extérieur de l’adoration, l’adoration en acte. Or, l’adoration n’est autre chose que la reconnaissance directe et solennelle de la divinité de Dieu, et de nos obligations envers lui.

Le culte public, autrement nommé le service ou l’office divin, comprend, dans la pensée ordinaire, tout ce dont est rempli le temps durant lequel une assemblée est réunie au nom de Dieu et à cause de Dieu.

Selon cette notion, le culte comprend donc aussi l’exhortation, ou l’instruction, ou l’explication de la parole de Dieu. Toutefois cet acte est encadré dans le culte plutôt qu’il n’en fait partie intégrante. Ce n’est qu’en généralisant l’idée de culte et en lui faisant embrasser tout ce qui a Dieu pour objet, tout ce que notre intention rapporte à Dieu, que nous pouvons appeler culte la prédication ou l’enseignement des vérités religieuses, mais ni plus ni moins que toute autre bonne œuvre. L’adoration, selon Klopstock cité par Harms, est l’essentiel du culte public ; l’enseignement et l’exhortation du prédicateur, malgré leur grande utilité, n’en sont pas des éléments aussi essentiels. Ajoutons ici que, dans un système religieux où il n’y a plus de prêtre, où un homme n’est pas symboliquement médiateur entre Dieu et l’humanité, le ministre[a] est plutôt le directeur du culte qu’il n’en est l’agent exclusif ; le peuple, dans notre point de vue, peut être actif dans le culte et peut-être jusqu’à un certain point devrait-il l’être[b]. Chose remarquable, que ce soit dans notre culte que domine la passivité, et dans le culte catholique l’activité !

[a] Nous sommes vos serviteurs pour l’amour de Jésus. (2 Corinthiens 4.5)

[b] Autrement, si tu bénis Dieu seulement en esprit, comment celui qui est du simple peuple répondra-t-il Amen à ton action de grâces, puisqu’il n’entend pas ce que tu dis ? (1 Corinthiens 14.16)

Le culte consiste en paroles ou en rites muets, plus souvent dans la combinaison des uns avec les autres.

On ne se représente pas facilement un culte muet ; on ne conçoit guère davantage un culte tout en paroles, sans rites, sans symboles. Il est important de donner un corps aux sentiments et aux idées fondamentales de la religion. La vie ne se passe pas plus de symboles que le langage de métaphores ; le rite est une métaphore en action. — Le culte est une action, c’est même ainsi qu’on l’appelle en allemand. L’action est plus voisine de la vie, ressemble plus à la vie que la parole. — Segnius irritant animos demissa per aurem, etc.[c] [Le culte serait sans doute une action sans rite et même sans parole ; mais quand il s’agit d’avertir les autres et de s’avertir soi-même, il faut quelque chose de plus que ce silence intérieur.]

[c] Ce qui vient par l’oreille atteint moins facilement l’âme. (Horace, Art Poétique, v. 180.) (Editeurs.)

Quel est le caractère de la parole, comparée avec le rite ?

La parole est successive ; l’acte du culte présente simultanément plusieurs idées ou plusieurs rapports. La parole analyse, elle divise ; le rite muet concentre. — Tout l’Evangile a été concentré dans le mémorial de la cène comme dans un foyer. — Un rite ne dit que l’essentiel, mais il le dit avec une force que la parole n’a pas[d].

[d] Le rite est à la doctrine ce que le chant est à la parole : moins distinct, mais plus vivant.

Le culte, composé de rites et de paroles, est plus distinct que la contemplation, moins que le discours. La contemplation est une synthèse, le discours est une analyse ; le culte, qui participe de la contemplation et de la parole, unit la synthèse et l’analyse, et ne peut, sans se mutiler, exclure l’une ni l’autre. Il aspire, dans son ensemble, à élever harmonieusement toutes les facultés de l’être jusqu’à la sphère de la vérité (laquelle vérité n’est pas une formule, mais la substance de la formule). — Il a quelque chose du chant ; il a le caractère du chant, qui, aussi, lui est essentiel ; car l’adoration est un état de l’âme que le chant seul peut exprimer. Le culte est la convocation de tous les éléments de notre être dans un acte de religion pure.

Je n’exclus pas du culte les paroles ; mais je les voudrais symboliques, sacramentelles comme le reste. Des paroles à la fois humaines et prescrites ne me semblent pas réaliser l’idéal d’une liturgie. Si la parole humaine devait s’y mêler, je l’aimerais mieux libre et individuelle. — Dans quelques églises réformées, la prière qui précède immédiatement le discours est de la façon du pasteur, et lui reste propre, soit qu’il la maintienne toujours la même, soit qu’il la renouvelle selon les circonstances.

Le culte romain a le tort d’avoir trop donné au rite et, dans le rite, trop aux traditions ; mais au moins sa liturgie ne dogmatise pas, elle chante, et c’est ce qu’il y a de bon ; — et puis, la forme du culte est pour lui de foi et de dogme comme tout le reste.

Notre culte, à nous, est trop une confession de foi, un discours ; tout s’articule, tout se précise, tout s’explique. L’effet de cette tendance est allé jusqu’à déterminer l’idée que nous nous faisons des temples. [Ils sont pour nous des auditoires ; nous y entrons pour entendre parler. Mais] est-ce donc uniquement au dogme de la présence réelle que les temples catholiques doivent d’être de vrais temples[e] ? Le caractère du culte catholique tient-il uniquement à ce qu’il a de théurgique ? Le culte, pour avoir son effet, a-t-il besoin d’être réputé miracle ? — [Comment remédier à ce qui nous manque ? Comme] un excès ne se corrige guère que par un autre excès, [nous dirons qu’il manque à notre liturgie ce qui ailleurs serait un défaut, plus de vague, une fusion des idées religieuses les unes dans les autres ; ce qui devrait se faire sans que ces idées cessassent pour cela d’exprimer la foi et la vie du chrétien.] La prédication s’ajoute au culte et n’est pas le culte. C’est avec raison que Harms propose des heures de culte sans prédication. Ceci ne va point à rabaisser la prédication, mais à relever le culte.

[e] Temples, de contempler.

Autant qu’il m’est possible de juger du culte de la primitive Eglise, il devait tenir le milieu entre ces deux extrêmes. On n’y voit rien de l’exactitude anxieuse d’une confession de foi, rien de la profusion de rites de l’Eglise romaine.

Jésus-Christ et ses apôtres semblent moins préoccupés du soin d’établir un nouveau culte que du soin d’abolir l’ancien ; ou du moins, de détruire l’erreur relative à la valeur intrinsèque de l’exercice corporel, utile à peu de chose. (1 Timothée 4.8) Ils ont directement aboli, et n’ont qu’indirectement et tacitement institué. Les choses sont nées plutôt qu’elles n’ont été établies. Le dogme seul est établi ; et encore à sa manière : il naît dans les esprits.

Voir Jean 4.23, 24 (le culte en esprit et en vérité), — Toute l’Epître aux Hébreux, qui semble substituer une religion à un culte. — Colossiens 2.16 : Que personne ne vous condamne au sujet du manger et du boire, ou pour la distinction d’un jour de fête, ou de nouvelle lune, ou de sabbat.Romains 14.17 : Le royaume de Dieu ne consiste point dans le manger ni dans le boire, mais dans la justice, dans la paix et dans la joie par le Saint-Esprit.

[Avant l’Evangile, la prédication prend sa place, mais elle n’étouffe pas le culte. Notre parole est un prisme qui décompose la lumière ; mais cette décomposition ne doit être qu’une transition.]

Voici, d’ailleurs, tous les éléments rituels du Nouveau Testament :

[Le jour du Seigneur.] – L’Eglise primitive a un jour consacré ; c’est celui de la résurrection du Sauveur. [Le sabbat est aboli, mais le dimanche est sacré. Il n’a pas été ajouté au christianisme, il en est né. Dieu bénit le septième jour et le sanctifia. C’était bénir son œuvre, la couronner. Le dimanche résume le christianisme, lui donne un moment dans le temps, comme le temple un lieu dans l’espace. La nécessité interne est la vraie loi, la meilleure autorité du dimanche ; elle parle plus haut en nous qu’une ordonnance écrite. Cette nécessité a réglé le mode de célébration du dimanche. Rien ne lie autant que la liberté et la conscience chrétienne ; elle a consacré un jour, il doit donc être saint.]

Les assemblées.

La pâque. Matthieu 26 ; Luc 22 ; 1 Corinthiens 5.7, 8 : Christ, notre pâque, a été immolé pour nous ; c’est pourquoi célébrons la fête, non avec le vieux levain de la malice et de la méchanceté, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité.
1 Corinthiens 11.23-29 : (Règles sur la célébration de la cène.)

Le chant.

Rites qui semblent n’avoir pas fait partie du culte en commun :

Le baptême.

L’onction. Jacques 5.14 : Quelqu’un est-il malade parmi vous ? qu’il appelle les pasteurs de l’Eglise, et qu’ils prient pour lui, et qu’ils l’oignent d’huile au nom du Seigneur. (Conférez Marc 6.13)

L’imposition des mains.

[f] Sur tous ces détails, voir Fleury, Mœurs des premiers chrétiens ; Vulliemin, Les trois premiers siècles de l’Eglise chrétienne, livre II, chapitre I et II.

L’imposition des mains était donc alors plus qu’un symbole : c’était un acte auquel s’attachait une efficace surnaturelle.

Il est à remarquer dans tout ceci qu’on voit plus la commune que son chef. On ne voit pas que, dans ces assemblées, un homme fut tout et fit tout. Abandonnant maintenant toute discussion et tout parallèle, et nous plaçant au point de vue du protestantisme, disons quels doivent être les caractères du culte en esprit et en vérité. La liturgie doit :

  1. Exprimer la religion, toute la religion ; la résumer, non l’abréger. L’abrégé divise, le résumé combine et incorpore les différents éléments d’une idée ou d’un fait. — Dans un sens, la religion n’a pas de parties, on ne saurait la scinder. Toute heure de culte doit présenter tout Jésus-Christ à l’âme du fidèle.
  2. L’exprimer, sous la forme la plus convenable à tous, dans les symboles et les paroles. Tout doit être compris rapidement et vivement saisi : Pour les symboles, Christ nous a donné le modèle dans la simplicité du baptême et de la cène. Pour atteindre ce but, nous voudrions un culte biblique avant tout.
  3. Avoir le caractère le plus propre à avertir l’âme et à l’élever, non à la distraire et à l’amuser. Peu de rites, mais significatifs et simples. Certains caractères d’autres cultes seraient désirables dans notre liturgie. La litanie, par exemple, peut paraître ridicule ; mais, au fond, il y a là quelque chose qui représente l’état normal d’une âme recueillie devant Dieu. Le chrétien doit être enfant, et par conséquent en parler le langage. Plus les moyens sont simples, plus ils sont enfantins, meilleurs ils sont. La litanie a quelque chose d’enfantin ; c’est là son excellence, sa vérité. Toute liturgie devrait avoir quelque chose de lyrique.
  4. Etre calculée, quant à son étendue, sur la portée du plus grand nombre, considérée en relation avec la nature du culte en général, qui est admiration et soutient l’âme au-dessus d’elle-même, à une hauteur inaccoutumée. Immédiatement au delà de cette juste mesure commence la fatigue.

L’élément de l’antiquité, qui ajoute de la gravité même à une liturgie composée d’éléments sacrés, en ajoute bien davantage à une liturgie dont la composition est essentiellement humaine. Elle ne doit donc être retouchée qu’à de longs intervalles et avec une grande circonspection par l’Eglise ; et ces intervalles pourront d’autant mieux se prolonger si la liturgie a été conçue comme une vraie liturgie, et non comme un traité de dogmatique. — Elle doit certainement exprimer la foi de l’Eglise, mais à l’état, si je puis dire ainsi, contemplatif. — A plus forte raison faut-il que le prédicateur s’abstienne, à moins de nécessité réelle (événements publics, calamités, etc.), d’y faire des changements de son chef. — Le ministre est lié à la liturgie, qui ne lui appartient pas, qui est la voix même du troupeau, et à laquelle il ne fait que prêter sa voix individuelle. Il faut craindre, et non pas désirer, de voir le peuple s’enchaîner à des formes dont le sens lui échappe ; mais il est utile néanmoins qu’il reste dans le culte quelque chose de fixe et d’immuable. Que le peuple soit jusqu’à un certain point kirchlich[g], c’est-à-dire attaché aux formes de son culte, cela ne paraît pas entraîner nécessairement le formalisme[h].

[g] Adjectif allemand, formé du mot Kirche, église, auquel ne correspond pas le dérivé ecclésiastique dans l’usage qu’on en fait en français. (Editeurs)

[h] Vin figé sur ses lies.

Costume. — Harms donne une singulière explication du costume, destiné, selon lui, à cacher ou les trop grands avantages ou les trop grandes imperfections corporelles. L’idée du costume, selon nous, est d’effacer (de couvrir) l’individu et l’homme du siècle. A mesure que la spiritualité augmente dans un troupeau, le costume devient moins nécessaire ; il répugne même. — Je crois qu’il faut suivre à cet égard les règles de l’Eglise à laquelle on a bien voulu appartenir, et qu’il faut les suivre franchement.

Célébration des rites. — [Le ministre doit bien se garder d’accomplir certains rites, tels que le baptême et le mariage, d’une manière légère et trop commune. Ce qui est un acte journalier pour nous est toujours un acte solennel pour les autres.] Tout cela est mieux accentué dans certaines liturgies que dans la nôtre, [qui est pauvre à cet égard.] Plus le texte et la forme de la liturgie laissent à désirer, plus il faut y mettre du sien, donner de l’accent, du rythme à toutes choses, animer tous les rites par une disposition intérieure qui y corresponde[i]. — Bengel recommande dans ces cas une grande accuratesse, [les auditeurs inférant facilement de l’inconstance dans ces actes extérieurs à celle des doctrines.] Ce soin s’accorde avec la liberté et la familiarité. — Quelques-uns, en haine de l’affectation ou d’une gravité empesée, ont affecté à leur tour une familiarité indécente. Ils ne veulent pas que Dieu soit harangué comme un roi de la terre, et ils viennent causer avec lui. Prier est le milieu. [Il le faut faire]

[i] Animer ces solennités, dit Bossuet.

Avec la liberté d’un fils devant son père,
Et le saint tremblement d’un pécheur devant Dieu.
[j]

[j] Cantique de M. Adolphe Monod.

Réception des catéchumènes. — Les Ordonnances[k] permettent de les recevoir en particulier, pourvu que ce soit en présence des collègues du pasteur, s’il en a, et des assesseurs du consistoire.

[k] Ordonnances ecclésiastiques pour le pays de Vaud. Berne, 1773. Page 18.

Cène. — Je prends notre Eglise telle qu’elle est, identique (sauf la volonté individuelle de chacun) au peuple politique. — La discipline, dans cette position, se réduit à l’avertissement collectif adressé de la chaire même aux pécheurs scandaleux, — et à l’avertissement individuel que doit le pasteur à ceux qui lui sont connus et qu’il s’attend à voir s’approcher de la table.

La loi nouvelle se tait sur la forme. Les anciennes ordonnances disent que les pasteurs, en présentant le pain et le vin, emploieront les paroles de notre Seigneur. Ce sont assurément les paroles de l’institution. Les Ordonnances ajoutent que tous les communiants recevront sans distinction le pain et le vin de la même manière, c’est-à-dire, je le pense, avec les mêmes paroles. Notre usage actuel n’est pas conforme à cette règle, qui nous paraît très bonne. Il y a plus d’un inconvénient à dire à chaque personne un passage différent. La répétition d’une parole sacramentelle est grave, imposante, et n’use pas cette parole.[l]

[l] Dans l’Eglise de Bâle, les paroles suivantes sont adressées à chaque communiant : Le sang de notre Seigneur Jésus-Christ vous fortifie et vous soutienne en la vie éternelle.

Il est légitime et parfaitement légal de donner la cène aux malades, chez eux ; mais que ce soit avec solennité, et qu’il y ait communion, c’est-à-dire, non seulement des assistants, mais des personnes qui prennent la cène avec le malade.

Quant au baptême, sans prétendre qu’on doive absolument se refuser à l’administrer dans la maison des parents, je crois qu’il ne faut s’y prêter que le moins possible, ne fût-ce que pour préserver le troupeau d’une erreur trop répandue au sujet du baptême.

[Le pasteur doit veiller à ce que tout, dans l’église, soit décent, à ce que tout se passe en bon ordre, soit à l’entrée et à la sortie, soit pendant l’action. Il ferait bien de ne pas faire circuler la bourse. C’est un faux ton, et puis cela force les gens à donner, ce qui est mauvais et contraire à la liberté. Il vaut mieux mettre un tronc à chaque porte. Il n’importe que la collecte en souffre, comme cela est probable,] pourvu que la bonne volonté y soit. (2 Corinthiens 8.12.) D’ailleurs, dit saint Paul, que votre libéralité soit prête, comme une libéralité (don libre) et non comme un fruit de l’avarice. (2 Corinthiens 9.5) Dieu aime celui qui donne gaiement. (2 Corinthiens 9.7)]

Le chant est plus essentiel au culte qu’on ne le croit ordinairement. [C’est un langage que Dieu a donné à l’homme pour exprimer des pensées que ne peut exprimer le langage ordinaire.] Outre ce que nous en avons dit (en affirmant que le culte dans son ensemble doit avoir le caractère du chant), c’est l’acte qui réunit sensiblement la communauté, qui donne aux fidèles une part active dans le culte, et dans lequel leur liberté est plus entière.

La matière du chant en général nous est prescrite ; mais nous devons nous prévaloir de la loi pour choisir le chant.

On chante trop ou trop peu ; on pourrait chanter peu et plus souvent, trois fois peut-être. Il serait bon de placer un chant immédiatement après le discours [plutôt qu’après la prière qui le suit. Cela repose le pasteur et les auditeurs et aide au recueillement.]

Les funérailles sont la seule partie du culte qui ait lieu hors de l’enceinte du temple, puisque la cène et le baptême ne se célèbrent en dehors que par exception. — On ne peut admettre que la religion s’absente visiblement des funérailles ; ce serait être moins pieux que les païens. Or c’est le pasteur qui rend la religion visible ; et, à voir la marche que prennent les esprits, si le pasteur y manque, quelqu’un prendra sa place et rendra son absence plus visible, au grand dommage de son caractère. Je voudrais que le ministre n’y manquât jamais, ni dans la maison du mort, ni au cimetière. [Dans beaucoup de maisons, avant de sortir, le pasteur fait une prière ; mais cela ne suffit pas : il faudrait qu’il fût au convoi, et qu’il y eût encore un autre service, ou près de la tombe ouverte ou à l’église. Quelques paroles bibliques et une prière suffisent d’ailleurs dans tous les cas.]

chapitre précédent retour à la page d'index chapitre suivant