Les Pseavmes

Psaume 133.

Oh qu’il est doux, oh qu’il est agréable
(Théodore de Bèze)

Il n'y a rien de plus précieux que la paix, la véritable concorde, quand elle est faite au nom de Dieu.

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— 1 —
1 Oh qu’il est doux, oh qu’il est agréable
De voir ici dans l’amour véritable
Des frères qui sont réunis !
Je pense alors à l’huile de grand prix
Que l’on répand sur le prêtre Aaron,
Sur sa tête en sainte onction.
— 2 —
2 Lʼhuile qui coule et qui va se répandre
Jusquʼà la barbe, et dʼelle va descendre
Sur les bords de son vêtement.
3 Ainsi lʼon voit la rosée, en tombant
Depuis lʼHermon jusquʼà Sion, couvrir
Tout le pays et le nourrir.
— 3 —
 Dieu nous bénit ! Cette assemblée heureuse
Ressent ici sa faveur plantureuse.
Et ne pourra jamais mourir.

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