s « Et du tiers » Vet. Lat., Vet. Syr. ; « et en échange du tiers » grec. — Les « droits sur le sel » (Littéralement « le prix du sel ») sont la contrevaleur du sel de la mer Morte dû au roi, cf. 11.35. Les « couronnes » (« palmes » ou « rameaux d’oliviers », 13.37 ; 2 M 14.4) sont des présents offerts au souverain, faits en réalité d’espèces sonnantes. — Ces lourdes taxes qui, depuis 165, avaient remplacé le tribut, cf. 3.36, s’expliquent par la prétention que les Séleucides avaient, comme les Ptolémées d’Égypte, d’être les propriétaires de toutes les terres, qu’ils affermaient en quelque sorte aux indigènes. Mais le tribut semble bien être rétabli il faudrait suppléer dans le texte « en échange de 300 talents », cf. 11.28.
t Les districts conquis par Judas, que les Juifs considéraient comme leurs et que Bacchidès avait d’ailleurs inclus dans la Judée, cf. 9.50.
38 Quant aux trois nomes ajoutés à la Judée aux dépens de la province de Samarie, qu’ils soient annexés à la Judée et considérés comme relevant d’un seul homme, n’obéissant à nulle autre autorité qu’à celle du grand prêtre.
n Le montant traditionnel du tribut annuel dû par le grand prêtre, cf. 2 M 4.8. Jonathan demande au roi de remplacer l’impôt foncier par le tribut, ce qu’avait déjà accordé son père, cf. 10.30. Démétrius II y consentira, semble-t-il, mais exclura les trois nomes de cette faveur, vv. 34s.