s Luc ne donne pas le nom de « diacres » aux sept élus, mais le mot « service » (diakonia) est répété, cf. Ph 1.1 ; Tt 1.5. — Tous les élus portent un nom grec ; le dernier est un prosélyte, cf. 2.11. Ainsi, le groupe des chrétiens hellénistes reçoit une organisation à part du groupe hébreu. Il est possible que derrière le différend signalé au v. 1 se cache un désaccord plus profond entre hébreux et hellénistes, peut-être au sujet de la politique missionnaire.