12 « Quiconque frappe quelqu’un et cause sa mort sera mis à mort.
u On attribue à Dieu les rencontres fortuites. Ces mots s’appliquent au meurtre non prémédité.
v Dans cette société où la justice d’État n’a pas encore remplacé la vengeance privée, le meurtrier involontaire doit être protégé contre le vengeur du sang, cf. Nb 35.19 ; le lieu d’asile est primitivement le sanctuaire, 1 R 1.50 ; 2.28-34 (mais le droit d’asile ne s’exerce pas pour l’homicide avec préméditation, v. 14). Cette disposition est à l’origine de l’institution des villes de refuge, cf. Jos 20.1.
15 Qui frappe son père ou sa mère sera mis à mort.