i Leurs noms sont omis à dessein le Soleil et la Lune, divinisés par tous les peuples voisins, sont ici de simples luminaires qui éclairent la terre et fixent le calendrier. La divinisation des astres était d’autant plus tentante que l’auteur doit encore leur reconnaître un rôle de « puissances », v. 16, pouvant « commander », v. 17, ce qui fait partie aussi des représentations traditionnelles.