a Om. « du Seigneur ». — suppose connue la pratique dont il parle. Dans cette onction faite au nom du Seigneur, accompagnée de prières dites par les « anciens », Ac 11.30, en vue du soulagement de la maladie et de la rémission des péchés, l’Église a vu une forme initiale du sacrement de l’ « Onction des malades ». Cette identification traditionnelle a été définie par le Concile de Trente.
b L’aveu des fautes, associé ici à la prière, devait être recommandé au malade, v. 15, il est aussi demandé à tout chrétien, spécialement dans le cadre de la liturgie. Aucune précision n’est donnée ici sur la confession sacramentelle.
c Vulg. « assidue ».
d La figure d’Élie, très populaire dans la tradition juive, l’a été aussi chez les chrétiens. souligne que cet homme de prière dont l’intercession était si puissante était semblable à nous.
19 Mes frères, si quelqu’un parmi vous s’égare loin de la vérité et qu’un autre l’y ramène,
e Var. « sachez ». — La charité fraternelle et le pardon peuvent ramener les égarés, cf. Mt 18.15, 21-22 ; 1 Th 5.14, et profitera en retour, au temps du jugement, à celui qui l’exerce, 1 P 4.8 ; cf. Dn 12.3 ; Ez 3.19 ; 33.9. L’épître se termine ainsi, dépourvue de toute salutation usuelle.