y « et qui les lisais », restitué d’après Vet. Lat. — L’ange, cf. 5.4, devient ici intercesseur, Raphaël présente devant Dieu le « mémoire » des prières et des bonnes œuvres de Tobit. Le mot évoque un relevé officiel ; il peut évoquer aussi le « mémorial » des sacrifices, Lv 2.2, c’est-à-dire la part des offrandes brûlée sur l’autel « en parfum d’apaisement ». L’ange du centurion Corneille, Ac 10.4, lui dira de même que ses prières et ses aumônes sont montées en « mémorial » devant Dieu.