Je voudrais, cédant aux instances de ceux qui m’ont connu, raconter ici les dispensations du Seigneur à mon égard. Si le chrétien ne s’appartient pas, à plus forte raison le serviteur de Jésus-Christ. Et s’il appartient corps et âme à Celui qui l’a racheté, sa vie est en quelque sorte la propriété de l’Église, dont il est un des membres et Jésus la tête.
C’est donc, et ma conscience m’en rend le témoignage, à ce double point de vue que je prends la plume : glorifier mon Dieu et édifier l’Église, c’est-à-dire lui faire du bien.