Afin de récapituler ce que nous avons dit précédemment, rappelons-nous que tout le Nouveau Testament est occupé avec trois choses — la mission, la signification et le message de Jésus Christ, le Fils de Dieu. Nous avons dit également que chacun des vingt sept livres du Nouveau Testament contiennent des aspects de cette mission, de cette signification et de ce message de Jésus Christ. Ainsi, tout le Nouveau Testament nous présente Jésus Christ de trois façon distingues. Nous avons ensuite commencé à voir quelques uns de ces aspects. Dans l’Évangile selon Matthieu, nous avons vu la fondation de la foi chrétienne qui est l’absolue Souveraineté et Autorité du Seigneur Jésus. Dans Marc, nous avons vu l’activité du Seigneur sous le gouvernement de Son Père. Nous avons vu que tout œuvre pour Dieu doit venir de la soumission à Dieu. Nous en arrivons maintenant à Luc.
Nous devons savoir qui était Luc, car nous ne pouvons arrivé à comprendre son message que si nous ne connaissons l’homme. Nous ne pouvons que trop insister sur le fait que, le principe divin est toujours de révéler le message à travers l’histoire spirituelle du messager. Non pas d’envoyer un homme étudier des livres, mais de faire du messager le livre même. Nous devons être capables de lire le messager et de voir le message de Christ en lui.
Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne Luc. Nous savons qu’il était un compagnon de l’apôtre Paul. Il rejoignit Paul à un certain moment et il devint un compagnon de voyage pendant une grande partie de la vie de l’apôtre ; jusqu’à l’emprisonnement à Rome. De là, Paul écrit : « Luc seul est avec moi » (2 Timothée 4.11). Nous savons aussi, de part la lettre aux Colossiens, que Luc était médecin, car Paul nous parle de lui ainsi « Luc, le médecin bien-aimé » (Colossiens 4.14). Je pense que ces détails sont très significatifs, car ils nous éclairent sur beaucoup plus. Nous savons que l’apôtre Paul est le seul à nous parler de l’Église comme étant « le Corps de Christ », et souvent il compare l’Église à un corps physique. Il parle des membres du Corps, des mains, des pieds, des oreilles et des yeux ; tous les membres étant inter-dépendants, ayant besoin des uns des autres, et constituant un seul Corps. Paul utilise un mot grec que nos amis physiciens apprécieront : « sundesmos ». La syndesmologie est la science des tissus ligamentaires, et c’est par les ligaments que tous les membres fonctionnent conjointement.
Où donc Paul est-il aller chercher cela ? J’imagine Paul et Luc voyageant ensemble et discutant de l’Église pendant leurs longs voyages. Frère Luc dit : « Paul, l’Église ne ressemble t-elle pas beaucoup à un corps humain, avec tous les membres et tous les ligaments et toutes les fonctions faisant un seul corps ? » Et Paul répond : « Merci frère Luc. Je suis sur que l’Esprit Saint m’a appris quelque chose. Un jour, quand j’aurai le temps, j’écrirai à ce sujet. » Et Paul a eu beaucoup de temps alors qu’il était emprisonné, c’est là qu’il a écrit ses lettres aux Éphésiens et aux Colossiens, qui nous parlent du Corps.
Tout cela est fort intéressant, mais je crois qu’il y a un message ici-même. Nous avons plusieurs docteurs ici avec nous, et vous les docteurs devez être particulièrement éclairés sur ce sujet du Corps de Christ et vous devriez utiliser vos connaissances singulières à des fins spirituelles.
Revenons à Luc. Nous savons qu’il a écrit deux livres. Le premier est son évangile, le second étant le livre des Actes. Mais encore, qui était Luc ? Nous avons dit qu’il était physicien, et il était grec, le seul grec des quatre évangélistes. Ensuite il nous dit qu’il a effectué des recherches. Il a dû faire beaucoup de recherche afin de devenir docteur, mais ensuite il s’est détourné des recherches médicales afin d’effectuer des recherches à propos de l’histoire de Jésus. Dans le premier chapitre de son évangile, il nous dit qu’il s’est attaché a bien rechercher tout ce qui concernait Jésus.
Luc n’étant pas juif il ne connaissait pas l’Ancien Testament, et ainsi la première chose qu’il ai faite était d’obtenir l’Ancien Testament, il le lu entièrement en commençant par le tout début. C’est ce qu’il nous dit dans le chapitre trois. Il saisit Jésus et ensuite il remonte le cours de l’histoire, à travers tout l’Ancien Testament jusqu’à ce qu’il parvienne à Adam. Quelle grande recherche originale ! Luc nous dit qu’il désirait offrir à son ami Théophile le récit le plus fouillé et le plus exact concernant Jésus. Il n’a pas seulement étudié l’Ancien Testament avec attention, mais il alla jusqu’à Nazareth pour y faire une chose délicate ; c’est, je pense, le genre de chose que seul un médecin peut faire. Il est allé questionner Marie à propos de la naissance de Jésus, et c’est ce qu’il écrit. Marie lui a dit les secrets de la naissance de Jésus.
Il paraît évident que Luc fit beaucoup de voyages pour ses recherches. Il semble qu’il soit allé à Bethléem afin de consulté les actes de naissances et de décès pour y trouver les traces des aïeux de Jésus. Est-il besoin de continuer ? Tout est là dans le premier chapitre de son évangile.
Ainsi Luc était un érudit méticuleux et particulier, mais souvenez-vous qu’il désire écrire toutes ces choses pour son ami Théophile. C’est tout ce qu’il avait en tête, mais la perspective du Saint Esprit était bien plus grande. Luc ne savait pas qu’il écrivait une partie de la Bible. Il ne lui vint jamais à l’esprit que vingt siècles plus tard un groupe de croyants se trouveraient dans un village de montagne appelé Aeschi, étudiant ce qu’il a écrit à son ami Théophile, et à travers les siècles, depuis qu’il a écrit cet évangile jusqu’à aujourd’hui des gens ont étudié ses écrits. L’Esprit Saint avait de bien plus grandes pensées que Luc.
Nous ne savons jamais ce que l’Esprit Saint va faire avec ce que nous écrivons. Bien que nous n’écrivons pas la Bible, nous pouvons écrire une lettre, ou une plaquette, et bien des années plus tard nous apprenons que quelqu’un a été béni par cette lettre ou par ce petit livre. Priez à chaque fois que vous écrivez ! Demandez à l’Esprit Saint de faire mieux que vous ne pouvez faire vous-même.
Bien sur tout cela ne sont que des fragments du message, et pas le message lui-même. Mais nous allons y arriver bientôt.
Luc ramène Jésus à Adam, ensuite il l’amène à son enfance et enfin il le décrit allant dans la gloire. Remarquez ce qu’il dit à la fin de son évangile : « Et il les mena dehors jusqu’à Béthanie, et, levant ses mains en haut, il les bénit. Et il arriva qu’en les bénissant, il fut séparé d’eux, et fut élevé dans le ciel » (Luc 24.50-51).
Nous en arrivons maintenant au cœur du message : le fils d’Adam, l’enfant de Bethléem, l’Homme glorifié dans les cieux. Luc prend le fils d’Adam et le fait l’Homme glorifié dans les cieux. Voyez-vous l’immense contexte de l’évangile selon Luc ? Le contexte est la race humaine toute entière, du début à la fin. Adam était le premier de la race humaine, créé par Dieu avec une grande perspective divine. Il est dit le concernant : « Tu l’as fait dominer sur les œuvres de tes mains ; tu as mis toutes choses sous ses pieds » (Psaume 8.6). La pensée de Dieu en Adam pour la race humaine était qu’elle ait la domination. Là est l’intention de Dieu révélée pour la race des hommes, mais nous connaissons la tragédie humaine : la race humaine dans le premier Adam a perdu l’intention divine. Notez bien ce mot « perdu » et nous avons la clef du message de Luc.
La race humaine a perdu l’héritage divin car elle a perdu sa relation avec Dieu. Cet évangile en son entier est résumé par ce seul verset : « car le fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19.10). Remarquez l’expression « le fils de l’homme est venu chercher et sauver ». Voilà la mission, la signification et le message ! En Adam, la race humaine a perdu la domination universelle. En Abraham, un peuple élu a perdu son héritage ; la semence d’Abraham selon la chair a perdu son héritage. Le Nouveau Testament traite largement de ce sujet. La race élue était appelée par Dieu afin d’accomplir une vocation particulière — une vocation céleste parmi les nations de ce monde. Dieu avait dit à Israël : « l’Éternel te mettra à la tête, et non à la queue » (Deutéronome 28.13). Il était appelé à être l’instrument gouvernemental parmi les nations, mais cette race élue a perdu sa vocation.
« Le fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu ». : perdu par Adam, perdu par Abraham, perdu par Israël, mais sauvé par le Fils de l’Homme.
Tout l’évangile selon Luc se concentre sur un seul chapitre, le chapitre le mieux connu du Nouveau Testament — le chapitre quinze. Chacun connaît le chapitre quinze de Luc ! C’est le chapitre des choses perdues et trouvées. Son contexte est très significatif, car il commence par ces paroles : « Et tous les publicains et les pécheurs s’approchaient de lui pour l’entendre ».. Et l’Israël officiel, représenté par les Pharisiens et les Scribes murmuraient : « Cet homme reçoit les pécheurs ». Et cela représentait une marche funéraire pour les Pharisiens et les Scribes, mais c’était une mélodie aux oreilles des pécheurs ! Ensuite Jésus commence a parler aux Pharisiens et aux Scribes, et Il leur donna trois histoires : la brebis perdue, la drachme perdue, et le fils prodigue.
Israël avait toujours été appelé « le troupeau de Dieu », et Dieu avait toujours été appelé le « Berger d’Israël ». Jésus se sert de cette pensée et dit en substance : « Israël n’est plus le troupeau de Dieu ». En fait, Il laisse entendre qu’Israël, tout comme les quatre vingt dix neuf, s’est perdu dans sa propre justice et dans sa sécurité traditionnelle ainsi que dans son exclusivisme. Ainsi Il élargit cette image et dit : « J’ai d’autres brebis qui ne sont pas de ce troupeau, et ces autres brebis sont ces publicains et pécheurs. » Dans le reste du Nouveau Testament les serviteurs du Seigneur sont appelés bergers. Pierre a dit aux anciens de l’église de « paissez le troupeau de Dieu » (1 Pierre 5.2), et aussi « quand le souverain pasteur sera manifesté » (1 Pierre 5.4). Nous savons que Jésus a dit « Je suis le bon berger » (Jean 10.11), et lorsque Israël est perdu un autre Berger arrive et Il a un autre troupeau. Il refait un troupeau avec Israël et avec les nations. Voilà Luc ! Le nouveau troupeau et le nouveau Berger. De ce qui avait été perdu Il a trouvé un plus grand troupeau que celui qui s’est perdu. Comment ces brebis se sont-elles perdues ? Le prophète Ésaïe crie : « Nous avons tous été errants comme des brebis », (Ésaïe 53.6), et comment se sont-elles égarées ? Comment sommes-nous devenues des brebis perdues ? « Nous nous sommes tournés chacun vers son propre chemin ». Et ceci nous ramène au début de la race humaine quand Adam choisi son propre chemin, et alors la race humaine fut perdue.
Il y a beaucoup d’interprétations de cette paraboles, mais la plus communément acceptée, et je pense la bonne, est la suivante.
Lorsqu’une jeune femme était fiancée et mariée en Israël, le mari lui donnait des pièces d’argent attachées ensemble. Je suppose que vous avez vu de telles jeunes femmes. Vous portez vos colliers autour du cou, elles les portaient autour de la tête. Vous portez un alliance lorsque vous êtes mariées. Votre mari vous l’a donné à votre mariage en disant ou en voulant dire : « Je te donne cette alliance comme gage de mariage. Je t’ai prise pour être à moi, cette alliance, ou ce collier de pièces d’argent autour de ta tête, est le gage que tu m’as accepté comme maître, comme seigneur et comme mari. »
Il y avait aussi une superstition rattachée a ce collier de pièces d’argent. Si une femme le perdait, ou bien même une seule pièce, tout le monde disait : « Cela veut dire qu’elle a été infidèle à son mari ! Elle n’est pas fidèle envers ses engagements matrimoniaux. »
Voyez-vous la signification de cette histoire ? Israël était l’épouse perdue — le prophète Jérémie dit que l’Éternel a épousé Israël, mais qu’il a rejeté son honneur en tant qu’épouse de l’Éternel. Israël a perdu la merveilleuse relation d’épouse à son mari, et le cri de tous les prophètes était qu’Israël était une épouse infidèle. Voyez-vous ce que dit Jésus aux Pharisiens et aux Scribes ? « Vous avez été infidèle dans vos engagements matrimoniaux envers Jéhovah ! Vous avez perdu la plus précieuse des relations que quelqu’un puisse avoir. » Il n’est pas étonnant de voir cette femme allumer une lampe en cherchant dans chaque recoin de sa maison jusqu’à ce qu’elle trouve sa pièce d’argent perdue ! Jésus amplifie l’idée de l’épouse perdue. Il y en aura d’Israël qui seront trouvés parmi l’Épouse de l’Agneau à la fin, mais cette épouse est bien plus grande qu’Israël. Il forme Son épouse avec des Publicains et des pécheurs.
Je ne vous parlerai pas de la fin du Nouveau Testament pour vous montrer la nouvelle Jérusalem descendant du ciel d’auprès de Dieu « préparée comme une épouse ornée pour son mari » (Apocalypse 21.2). Ni du banquet des noces de l’Agneau, mais par ces allusions, nous voyons que quelque chose avait été perdu, et ce qui a été sauvé est bien plus grand que ce qui avait été perdu. La race humaine a perdue son honneur car elle a perdu son Seigneur, mais la révélation du le Nouveau Testament est celle d’une épouse « n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable » présentée à l’Époux.
Israël était autrefois appelé « le fils de Dieu » : « Et tu diras au Pharaon : Ainsi a dit l’Éternel : Israël est mon fils, mon premier-né. Et je te dis : Laisse aller mon fils pour qu’il me serve ; et si tu refuses de le laisser aller, voici, je tuerai ton fils, ton premier-né » (Exode 4.22-23). Israël occupait la plus merveilleuse position qu’il soit possible d’occuper. Il n’y a rien de plus merveilleux que d’être des fils de Dieu, d’être ceux que Dieu Lui-même a engendré, d’être ceux nés d’en haut, d’être ceux qui portent le Nom de Dieu, d’être ceux que Dieu amène avec Lui-même et qu’Il honore en les faisant Ses représentant. Tout ceci, et bien plus encore, est la signification d’être fils.
Aussi lorsque le Seigneur Jésus vit ce qu’Israël avait perdu, Il vint afin de chercher et de sauver cette pensée de Dieu ; afin de recouvrer ce concept d’être fils de Dieu. Être fils de Dieu est une conception particulièrement divine, et c’est la chose la plus chère à Dieu. Aussi c’est la chose la plus merveilleuse qui puisse arrivée à l’homme, et c’est ce principe qui est au cœur de cette parabole que nous appelons « Le Fils Prodigue ». Tous les merveilleux privilèges et honneurs d’être fils ont été rejetés par ce fils prodigue. Toute cette conception divine a été écartée, et il va dans le monde, rejetant son droit de filiation. Bien sur, à la fin, il reconnaît ce qu’il a fait. Jésus s’en tient au principe, et Il fait dire à ce fils prodigue : « j’ai péché contre le ciel et devant toi ; je ne suis plus digne d’être appelé ton fils » (Luc 15.21). Il a des principes dans chacune de ces phrases. Israël rejeta cette haute position d’honneur. C’est le principe de filiation qui est le facteur suprême gouvernant ici !
Pourquoi donc le fils a t-il quitté son père et sa maison ? Le prince de ce monde l’a trompé et lui a dit qu’il pouvait obtenir quelque chose de meilleur dans le monde. Oh, c’est ce que le grand imposteur fait toujours ! Il trompa Adam de cette façon. Il a trompé la race humaine toute entière de cette façon. Il a trompé Israël de cette façon : « Vous pouvez avoir quelque chose de meilleur dans ce monde. » Jésus dit qu’il a été un menteur dès le commencement, et les hommes découvrent aujourd’hui combien ce monde est un mensonge.
Ayant dit tout cela, je n’en vient au message que maintenant. Quel est donc le message de Luc ? Le Fils de l’Homme est venu pour s’approprier une nouvelle humanité rachetée. Paul appelle Jésus : « le dernier Adam, le second homme » (1 Corinthiens 15.45, 47). Des juifs et des nations, Jésus rachète une nouvelle humanité. Écoutez attentivement ! Le message de cet évangile, et du Nouveau Testament est celui-ci : Dieu n’est pas particulièrement intéressé par les juifs, ni par les nations, ni par les Protestants, ni par les Catholiques, ni par les Baptistes, ni par les Méthodistes, ni par les Réformés etc.… Dieu n’est pas intéressé du tout par aucune de ces choses ! Il est intéressé par les hommes. L’intérêt de Dieu est dans l’homme, que l’homme soit anglais, suisse, allemand ou français, ou n’importe quelle autre nationalité, qu’il soit blanc, noir, jaune ou métis. Cela n’a pas d’importance pour Dieu, car Son seul intérêt c’est l’homme. Êtes-vous un homme — et Dieu appelle et l’homme et la femme « un seul homme » — appartenez-vous à la race humaine ? Dieu a un intérêt en vous en tant qu’humain, Il désire tiré des nations et des dénominations un peuple pour Son Nom. Êtes-vous un « serviteur » ? Dieu n’est pas particulièrement intéressé en vous en tant que « serviteur », mais Il s’intéresse à vous en tant qu’homme ; et cela est vrai de toute autre catégorie. Vous ne pensez pas que parce qu’un homme est un « pasteur », un serviteur de Dieu, que Dieu ne le tient pas pour responsable lorsque les choses vont mal ? Dieu ne dit pas : « Il est Mon serviteur, aussi je ne porterai pas attention à ses fautes. » Et Il ne dit pas non plus : « Il ou elle est Mon enfant, aussi Je ne ferai pas attention à ce qui ne va pas. » Non, la préoccupation de Dieu avec nous est en tant que Son peuple. Le Fils de l’Homme est venu pour chercher et sauver une humanité perdue, afin de devenir le Berger de cette humanité, de former une épouse de cette humanité, et d’avoir Ses fils de cette humanité rachetée.
Où nous arrêtons-nous ? Là où s’arrête Luc, avec le Fils de l’Homme, le représentant d’une nouvelle humanité, glorifiée dans les cieux.
J’espère ne pas vous avoir fatigué. Cela est bien trop grand et merveilleux ! Je ne peux que vous donner un petit aperçu afin que vous puissiez voir un nouveau monde, mais souvenez-vous qu’à travers toutes les activités divines envers nous, Dieu recherche à S’approprier une nouvelle humanité.