« Des choses glorieuses ont été dites sur toi, oh Cité de Dieu » (Psaume 87.3).
« Vous vous êtes approchés de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant » (Hébreux 12.22).
« À Lui soit la gloire dans l’Église et en Christ Jésus, dans toutes les générations, aux siècles des siècles » (Éphésiens 3.21).
Nous avons passé en revue Sion dans ces messages, en prenant en compte quelques-uns des aspects de cette postérité spirituelle céleste qu’est Christ et ce qui Lui appartient.
À présent, nous en venons à ce qui peut se concentrer en un mot : « gloire », la gloire de Christ et de Son peuple. Un simple tour d’horizon du Nouveau Testament avec ce mot de « gloire » en tête, nous fera une impression fantastique – et vous aurez à jeter un coup d’œil sur toutes les colonnes d’une concordance avec ce mot. L’impression fera que cette idée de gloire, ce thème de la gloire, semble dominer tout.
Si vous lisez les Évangiles en considérant la vie du Seigneur Jésus sur terre, vous serez impressionnés par le fait que dans Sa vie la note dominante et la motivation suprême était la gloire de Dieu, cette gloire manifestée en Lui-même et transmise à Ses disciples, Ses adeptes, Son Église. Toute personne familière avec le Nouveau Testament ou les Évangiles, trouvera des passages, des déclarations, jaillir de leurs mémoires d’un coup.
« Nous avons contemplé Sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père, pleine de grâce et de vérité » (Jean 1.14), et c’est une déclaration complète, car, sans aucun doute, Jean, qui avait écrit bien des années après le passage du Seigneur Jésus au ciel et la conclusion de toute Sa vie terrestre, avait pris toute la mesure des choses et des événements.
Peut-être se rappelait-il d’un point particulier lors de Sa transfiguration où Pierre et lui, qui furent témoins, parlaient de contempler Sa gloire, qui couvrait toutes Ses actions depuis le commencement de ses signes à Cana en Galilée, quand Il manifesta Sa gloire (Jean 2.11), qui couvrait toutes Ses œuvres, tous Ses mouvements, tous Ses hauts faits et Son refus de faire, et Ses mouvements et Son refus de se déplacer, en montrant bien que la motivation de toutes choses dans la vie du Seigneur Jésus était la gloire de Dieu, celle manifestée en Lui-même.
Pensez-y. Rappelez-vous ces mots : gloire, glorifier, glorifié. Combien de fois ils apparaissent en relation avec Son temps ici-bas ? Et, bien que la croix paraissait être bien différente que revêtue de gloire, la chose sous-jacente et dominante de la croix et de l’œuvre qu’elle accomplit ici et là, c’est la gloire.
D’un côté, la mise à l’écart de tout ce qui ne pouvait être à la gloire de Dieu, l’homme, le type d’homme, le vieil Adam, le genre humain, le péché et toutes ses conséquences, toute l’œuvre d’expiation, le rejet de ce qui n’aurait jamais pu être à la gloire de Dieu et être glorifié, tout le terrain qui était absolument contre la gloire. De l’autre côté, préparer le terrain pour la gloire, dans le triomphe de la résurrection, la gloire qui domine l’œuvre de la croix.
En deuxième lieu, la gloire est l’idée dominante de tous les apôtres, dans les Actes.
L’esprit de gloire descend dans Actes 2, l’Esprit de Celui qui est glorifié, et Il vient dans la gloire. L’Église fut remplie de gloire, emmenée dans la gloire, parce que Christ avait été glorifié, et c’était le point capital et triomphant de l’Église et de son message. Celui qu’ils avaient crucifié, Dieu l’avait glorifié ; toute l’instruction, toute la réprimande, toute l’exhortation, tout l’avertissement et tout le ministère de consolation dans les lettres des apôtres, ont un rapport avec ce thème de la gloire.
« Nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire » (2 Corinthiens 4.17), c’est la gloire présente dans le ministère de consolation qui explique l’épreuve. S’il s’agit d’un avertissement, c’est qu’il y a un risque de perdre l’appel d’en haut, de perdre la gloire ; et ainsi, la deuxième grande partie du Nouveau Testament est vraiment dominée par cette pensée de la gloire.
Qu’en est-il alors du livre de l’Apocalypse ? Il commence par une présentation du Seigneur glorifié et glorieux, « À Celui qui nous aime, qui nous a lavés de nos péchés par son sang… à Lui soit la gloire » (Apocalypse 1.5).
Et depuis l’introduction, la présentation du Seigneur glorieux se trouve tout au long du livre, le sujet qui domine tout est le thème de la gloire. Tout y est compris, les nations, les forces du mal, parce que Dieu va remplir Son univers de Sa gloire, et tout ce qui n’est pas conforme à la gloire doit être traité et ôté, et à la fin ce livre de l’Apocalypse fait émerger la révélation de la cité glorieuse.
Ce qui est, en d’autres termes, l’Église unie avec Christ – « ayant la gloire de Dieu » (Apocalypse 21.11).
Avons-nous besoin d’autres évidences que le Nouveau Testament est dirigée et inspirée par cette pensée de la gloire ? Ce sujet se divise en trois grandes sections, qui résume tout, même s’il y a beaucoup de détails à voir :
Deux exemples peuvent être cités pour donner une indication suffisante :
Il y a d’autres cas dans la Bible où Dieu initie la gloire ; On pourrait même dire qu’il existe autant d’initiations divines qu’il y a de saints. L’initiation divine marquée par l’incarnation, la venue en chair dans ce monde du Fils de Dieu, le Fils de l’Homme. Il n’est pas vraiment nécessaire de relire Luc chapitre 2.
L’annonce de l’ange, et puis soudain une multitude d’êtres célestes qui chante, qui loue en disant « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre parmi les hommes qu’Il agrée ! » (Luc 2.14). C’était une scène de gloire descendant du ciel sur ce monde.
Quelque chose d’identique spirituellement parlant, s’est passé le jour de la Pentecôte. Nous ne pouvons que déduire que l’ascension du Seigneur Jésus fut une scène merveilleuse dans les cieux, « Portes, élevez vos linteaux ; élevez-vous, portes éternelles ! Que le roi de gloire fasse son entrée ! Qui est ce roi de gloire ? » (Psaume 24.7-8).
Non seulement l’ascension, mais la réception du roi de gloire, est une scène d’extase céleste où s’exprime la joie tumultueuse du ciel, le Saint-Esprit qui descend, la joie céleste s’exprime sur la terre et dans l’Église et elle parle de gloire. Oh, quel jour cela a été lorsque l’Église est née au milieu de la gloire céleste et remplie de cette gloire !
Dans les deux cas, l’initiation divine était accompagnée de gloire. Aucun doute là-dessus, les commencements de Dieu se font toujours dans la gloire.
Et si vous analysez la gloire au travers d’un prisme, elle n’est pas seulement une réflexion de la lumière extérieure, elle est joie étrange, inexplicable parfois ; elle est paix : le conflit s’arrête, la contrainte cesse, il y a une atmosphère merveilleuse de bien-être, de quiétude et de satisfaction. Ils sentent au plus profond de leur être qu’une réponse a été donnée aux problèmes et aux questions essentielles de leur existence.
Quand Dieu agit, vos problèmes et vos questionnements se transforment en satisfaction. Vous êtes heureux de ce que Dieu a réalisé, c’est tout ! Comment Il l’a réalisé,par quels moyens, peu importe… nous pensions qu’il fallait un miracle à déplacer des montagnes et ça s’est déroulé très simplement, très calmement. La satisfaction est entrée dans nos cœurs. Nous ne sommes pas comme Naaman, dans sa vieillesse ; il demande à Dieu des choses extraordinaires, mais Dieu a réalisé les choses simplement dans 2 Rois 5. Il en est souvent ainsi avec Dieu.
Prenez par exemple la grande initiative divine de la naissance de Jésus.
Considérez les circonstances naturelles de cette naissance : aucun palais, aucun confort terrestre, rien de conforme aux conceptions humaines, aucune organisation spéciale ; bien au contraire : dénuement, simplicité, pauvreté, faiblesse, inconfort. Pourtant, c’est glorieux ; il n’y a rien de contraire à la gloire divine, merveille, profondeur, satisfaction. De l’extérieur, les choses ne semblent pas différentes lorsque le Seigneur Jésus opère une nouvelle naissance chez un être humain : le lieu, le contexte, le monde, les circonstances sont les mêmes, mais la gloire intérieure est identique, joie, paix, satisfaction.
Même ceux qui ont été élevés dans un foyer chrétien et qui pensent être entrés naturellement dans la vie chrétienne, ont connu une expérience du Seigneur entrant dans leur vie. Le Seigneur a agi de la même manière : l’oppression, la peur, la honte, l’insatisfaction, le mécontentement, la déception, ont disparu.
Une grande joie, une paix inexprimable, une satisfaction ont pris la place. Nous pourrions tous en parler et même souvent. Les nouveaux commencements de Dieu se passent toujours dans la gloire ; chaque naissance de Son Fils dans une vie et dans un lieu précis, est accompagnée de tous ces signes de gloire.
Mais, quelle est l’essence de cette gloire, celle du jour où Jésus est né à Bethléem ? Ayons une mise au point importante pour éviter toute incompréhension : l’essence de la gloire de la naissance de Jésus à Bethléem, de la même manière que celle de chaque événement et nouveau mouvement de Dieu, fut et est ceci : Dieu Lui-même qui amène à existence ce qui Lui fait plaisir, et le Seigneur Jésus est l’objet de la satisfaction du Père. S’Il n’est pas présent, rien ne peut faire plaisir et satisfaire le Père. Quand Il est là, il y a quelque chose de présent qui fait le plaisir du Père. Le plaisir, la satisfaction et la joie du Père sont focalisés sur Son Fils et là où est Son Fils.
Maintenant, le danger dans lequel tant de personnes sont tombés, est qu’ils ont pris en compte les effets de cela plutôt que la cause. Les effets – oui, joie, paix et satisfaction, et des émotions fortes, gratification et plaisir, et puis, pour en maintenir les effets, les résultats, les sentiments, ils ont essayé de les prolonger. Ils ont eu peur que ces effets disparaissent, ils sont entrés dans un état de crainte – combien de temps cela va-t-il durer ? Vais-je me réveiller demain matin et tout aura disparu ? Ils ont fait des efforts pour maintenir les effets et sont passés à côté de la réalité de base.
La réalité de base est Christ, et Christ est la satisfaction et le plaisir de Dieu ; pas des émotions, des sentiments, mais le fait. Combien essayent de restaurer les émotions, de les maintenir et d’en avoir les effets, pour atteindre une chose abstraite que vous appelez gloire ? Voilà l’erreur. Les faits demeurent, les sentiments peuvent changer ; la deuxième partie de tout ce thème de la gloire ce sont les opérations cachées de la gloire qui touchent à une autre dimension ; nous parlons des initiatives divines.
Mais, lorsque Dieu implique Son Fils, il n’est plus question de toute une palette d’émotions ou de sentiments ; Il est face à une puissante réalité, l’objet même de la gloire divine ; et Christ en vous est l’espérance de la gloire (Colossiens 1.27), ce ne sont pas des émotions, des sentiments, mais la puissante réalité fondamentale. Dieu possède l’objet de Son plaisir ; Son plaisir n’est pas en nous, en ce que nous sommes, quelque soit nos sentiments.
Je ne crois pas que le Seigneur soit plus satisfait de nous lorsque nous sommes dans l’extase que lorsque nous nous sentons misérables. Ce ne sont que les variations de notre propre vie psychique. Nous pouvons vivre des bas comme des hauts ; le plaisir et la satisfaction de Dieu sont centrés sur Son Fils et il veut que notre foi soit basée sur cette réalité et non sur les variations de nos réactions. Il s’agit de la Vérité de Christ et non pas en priorité tous les effets de Christ.
Oh, les effets sont là, loué soit Dieu, mais vous savez si souvent que les effets sont l’aspect élémentaire des choses, qui correspond à la période de l’enfance ; vous entrez dans la maturité, et dans la maturité il nous faut apprendre à vivre sur Christ, pas sur nos sentiments.
Deuxièmement, Dieu ayant obtenu ce qui Lui fait plaisir, Ses initiatives, Ses commencements sont Ses modèles, et Sa base pour toute opération future.
Après cela, tout sera conforme avec ce commencement, cette initiative. Je ne dis pas qu’il y aura toujours cette extase consciente, ce sens de la gloire ; mais je veux dire que Dieu fait de cette satisfaction le siège et le centre de Sa gloire. Et Il œuvrera toujours de telle sorte pour que ce qui est vrai en Son Fils soit aussi vrai en nous, afin que nous soyons, en conformité à Son Fils, en chemin vers la gloire nous-même, une gloire progressive par laquelle ce qui satisfait Dieu est placé en nous pour se répandre et se saisir de nous, et nous nous approchons de plus en plus près de ce que la Parole décrit : « Dieu… nous appelle à sa gloire éternelle » (1 Pierre 5.10).
Les commencements divins guident la fin, qui doit correspondre au commencement, mais dans une mesure plus grande. En effet, les commencements semblent insignifiants, en comparaison. Dans un sens, Bethléem est petit, Christ y est limité ; et pourtant toute la plénitude de la gloire s’ouvre dans cette petitesse. À la fin, la gloire ne sera pas additionnée. Ce sera cette gloire qui se répand et remplit l’univers. Donc, les commencements de Dieu sont la base de toutes les activités divines. Il en sera ainsi à la fin : la gloire dans l’Église en Christ-Jésus, de génération en génération, aux siècles des siècles (Éphésiens 3.21).
Ceci est pratique. Si le Seigneur a fait quelque chose, a introduit quelque chose de lui-même, de Son Christ, en nous personnellement et individuellement sur cette terre, comme Son œuvre, ce commencement a été celui de Dieu, accompagné de manifestations de profondes joie et gratification, en ayant l’assurance que cela vient de Dieu et non de l’homme. Et lorsque Dieu réalise cela dans une vie, cet individu peut dire « Je ne l’ai pas choisi, c’est Lui qui m’a choisi, de sa propre initiative. Ce n’est pas mon œuvre, c’est la sienne ; si cela n’avait pas été l’initiative du Seigneur, je n’aurais jamais été là aujourd’hui ».
Beaucoup peuvent dire que ce qu’il a commencé à faire, Il l’a continué. J’ai erré, chuté même, mais je suis ici aujourd’hui parce que Dieu a tout commencé et ça va continuer parce que cela a démarré dans la gloire et la gloire n’est pas dépendante de ma nature variable. C’est son Fils, Il a planté Son Fils, Il a œuvré et œuvre encore tout au long de ma vie sur la base de Christ, pas du tout sur ma base à moi.
Quand à la fin, j’en arrive à la plénitude de Sa gloire à laquelle Il m’a appelé, je dirai : Il l’a fait, ce fut l’œuvre du Seigneur, pas la mienne ; Il l’a accompli !
Dieu travaille sur la base de Son initiation, c’est une des grandes vérités du Nouveau Testament. Dieu a pris l’initiative et Il agit à partir de cette initiative :
« Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de Son Fils… » (Romains 8.29).
Tous nos efforts, notre détermination, seraient futiles si Dieu n’avait pas commencé cette chose Lui-même et établi une fondation pour elle. Si notre obéissance, notre conformité, notre réponse, notre détermination de cœur pour marcher avec Dieu, si tout cela n’était pas basé sur ce que Dieu a établi, ce serait totalement vain ; il s’agit simplement de venir au Roc.
Loué soit Dieu, le Roc est là, ce Roc est Christ. Il l’a fait, et à cause de nos déviations, nous revenons vers Lui ; à cause de nos échecs, nous nous relevons.
Nous sommes honteux, nous sommes peinés, nous subissons la discipline, mais nous ne sommes pas rejetés. Dieu a démarré ceci dans la gloire ; la gloire de Sa grâce. Dieu part sur la base de ses commencements pour développer ses activités futures jusqu’au bout, et parce que Christ est le commencement de tout, la fin sera Christ, et la fin est Christ parce qu’il fut au commencement.
Dieu a commencé avec nous dans la gloire.
Combien d’entre nous peuvent dire « Oui, je sais bien cela. Je sais qu’à un certain point au début, quelque chose s’est passé et les conséquences en furent une grande joie, une grande paix, une grande satisfaction ». C’était tout simplement la gloire. J’ai commis souvent cette terrible erreur d’en perpétuer les effets, les belles émotions que j’avais à ce moment-là, et j’ai oublié le fait-même de Christ, mais je connais quelque chose de la gloire, et chaque fois que Dieu essaye d’amener plus de la présence de Son Fils dans nos vies, cela se reproduit.
Peut-être qu’à ce niveau, une controverse existe entre le Seigneur et nous, à cause de question sans réponse. Il y a comme une dispute entre le Saint-Esprit et nous. Nous temporisons, nous désobéissons, nous sommes lents, nous ne nous préparons pas à la bataille. Nous n’avons ni paix ni repos, ni satisfaction, nos vies sont déviées, la gloire quitte notre visage et notre témoignage. Et puis, le jour vient où, sous la contrainte insistante du Saint-Esprit, nous disons : je vais tenir ferme ! Nous entrons et fermons la porte, en disant : c’est fini, quelque chose d’autre doit se passer. Nous nous plaçons devant le Seigneur et il y a une bataille, dure parfois, mais on est vainqueur. Nous donnons sa vraie place au Seigneur, nous mettons de côté nos volontés, nos désirs, etc. Nous saisissons la main du Seigneur en disant : c’en est fini, maintenant Seigneur, Ta volonté, Ton chemin. La gloire est de retour, oui, gloire, paix, satisfaction.
Toute nouvelle et plus grande plénitude du Seigneur Jésus dans un domaine s’accompagne de gloire. Combien nous passons à côté de la gloire en laissant le combat se prolonger, lorsque nous ne prenons pas la situation à bras le corps !
Nous nous faisons voler la gloire. Nous sommes lents à apprendre.
De Son Fils et de la place prise par Son Fils, dépend la gloire qui demeure.
S’Il pouvait avoir toute la place, la mesure de gloire dans nos cœurs serait immense. Les circonstances ne changeront peut-être pas du tout. La dureté des situations, les difficultés sur notre chemin seront toujours là. Les choses, les gens, le travail ne changent pas, mais l’état intérieur est différent. Dieu ne fera peut-être même rien à l’extérieur tant qu’Il ne prendra pas sa position à l’intérieur ; ce délai d’attente vient peut-être du fait que nous ne nous glorifions pas encore de nos infirmités. Nous voulons la gloire en étant délivrés de ces choses, mais nous n’acceptons de nous glorifier en elles.
Le Seigneur nous amène dans la gloire et amène la gloire dans notre être intérieur, la gloire est Christ.
« Des choses glorieuses sont dites sur Toi, Cité de Dieu ».
« Nous montons sur le Mont Sion, vers la cité du Dieu vivant ».
« À Lui soit la gloire dans l’Église et en Christ Jésus dans toutes les générations pour l’éternité ».