Vous scrutez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle ; et ce sont elles qui rendent témoignage de moi ; et vous ne voulez point venir à moi pour avoir la vie !
Vous ne lisez pas la Bible ; pourquoi ? – Parce que vous ne la croyez pas véritablement la Parole de Dieu. C’est là votre premier motif ; et soit que vous le reconnaissiez hautement ou que vous le cachiez à vous-mêmes, il n’en est pas moins certain que c’est là le premier obstacle qui vous éloigne de la lecture de ce Livre.
Que vous dirai-je donc ? Vous exposerai-je ces preuves innombrables qui établissent la divine origine de notre code sacré ? – Vous parlerai-je de cette suite de gardiens fidèles qui ont veillé sur lui depuis son origine ? – Vous rappellerai-je cette foule de témoins des premiers siècles, qui, amis ou ennemis du Christianisme, s’accordent tous à reconnaître dans l’Évangile l’œuvre des disciples de Jésus, témoins oculaires des faits qui y sont rapportés ? – Vous peindrai-je le caractère candide et naïf de ces pécheurs-écrivains, qui a toujours frappé le lecteur attentif et impartial ? – Vous dirai-je que ces hommes ont scellé de leur sang la vérité de leur récit ? – Vous citerai-je les aveux des plus fameux philosophes de nos temps modernes, dont l’un s’écrie à la lecture de l’Évangile : « Se peut-il qu’un Livre à la fois si sublime et si simple soit l’ouvrage des hommes ? Mais l’Évangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l’inventeur en serait plus étonnant que le héros. » – Non, pour vous parler de ces preuves, pour vous énumérer seulement celles qui me restent encore, il me faudrait des volumes, et je n’ai que quelques instants. Je veux donc me borner à une seule ; je choisis la plus simple, celle qui, pour être sentie, n’exige ni science ni travail ; celle qui ne réclame de vous que des yeux et du simple bon sens. – Que penseriez-vous d’un écrivain qui, dans la préface de ses œuvres, exprimerait la prétention de voir son livre opérer une révolution complète dans le monde, changer les mœurs de toutes les nations, refaire les lois de tous les peuples, exciter l’admiration des sages de tous les siècles, et qui se flatterait sérieusement lui-même d’être placé par la postérité au rang de la Divinité ? – Vous auriez pitié de ses orgueilleuses et ridicules prétentions, et vous lui répondriez sans doute : Des génies aussi puissants que vous ont traversé cette terre, et leurs livres sont allés s’ensevelir avec eux dans l’oubli. Les plus illustres poètes, les plus sages philosophes se sont élevés un instant dans ce monde comme un éclatant météore à l’horizon, et l’instant d’après a vu leur renommée s’évanouir sans laisser plus de trace après elle que l’étincelle qui brille et disparaît. L’antiquité a eu ses Homère et ses Platon ; leurs ouvrages, lus, il y a deux mille ans, par tout un peuple, le sont à peine, de nos jours, par quelques rares savants. Admirés dans leur langues, à cette époque, ils paraissent froids et insipides aux lecteurs de nos jours. Leurs pensées ont pu, pendant quelques années, fermenter dans quelques têtes sur un coin du globe ; mais ils n’ont pas modifié une seule loi, opéré la plus légère amélioration dans les mœurs de la grande majorité des peuples et des siècles. Êtes-vous donc un génie surhumain pour espérer de les surpasser et d’inscrire votre nom dans les cieux, lorsque pas un d’entre eux n’a pu laisser un souvenir durable sur la terre ? – Voilà sans doute ce que vous répondriez à cet homme présomptueux. – Eh bien, ce projet gigantesque que vous trouveriez souverainement ridicule dans la bouche d’un homme, Jésus l’a accompli ! Ces destinées brillantes qui vous paraissent si élevées au-dessus des succès qu’un livre humain peut atteindre, l’Évangile les a réalisées ! Jésus est venu seul sur la terre, seul, sans puissance, sans gloire. Sorti d’une bourgade obscure d’un obscur royaume, il apparaît sur la scène du monde, laisse tomber son Évangile sur un coin de ce globe, et adresse à l’humanité entière ces étonnantes paroles : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront jamais ! » Il dit, et son Livre se multiplie comme par miracle. Semblable à ce fleuve majestueux qui, débordant de ses rives, fertilise le pays qu’il inonde, l’Évangile traverse l’Asie, se répand en Europe, couvre l’Afrique, et, partout où il passe, déracine le vice, l’ignorance et l’idolâtrie, pour déposer des germes de régénération, de sainteté, de lumière et de vie. Il se trouve bientôt au sein de chaque famille ; il est lu dans les palais de Rome comme dans les chaumières de Bethléem ; dans la famille des Césars comme dans celles des pauvres veuves d’Israël. Partout il est vénéré comme la Parole de Dieu ; partout il devient une loi, et une loi d’autant plus admirable, qu’elle n’a besoin ni de juges, ni de tribunaux, ni de cachots pour se faire obéir ; mais une loi vivante qui parle à la conscience, la bouleverse, l’effraie, la purifie, et la soumet à ses ordres. – Quelques siècles s’écoulent : des hordes de barbares se précipitent avec fureur sur les contrées qui lisent cet Évangile ; elles entraînent tout sur leur passage, massacrent les peuples, rasent les villes, incendient les palais… ; mais elles viennent se briser elles-mêmes contre ce Livre, qui fait tomber de leurs mains leurs armes ensanglantées, apaise leur rage, adoucit leurs mœurs, et les soumet elles-mêmes à ses lois. – De nouveaux siècles s’écoulent encore. Un nouveau monde païen, jusqu’alors inconnu, surgit de l’Océan ; l’Évangile y pénètre avec le premier navire européen, et bientôt cette nouvelle terre lit et vénère d’un pôle à l’autre les pages de ce Livre. – Les vagues séculaires du temps fuient encore. Quelques amis de la Bible se réunissent et forment le projet de porter ce Livre sur tous les points de la terre où il est encore inconnu. A peine quelques années, et l’Évangile est traduit en cent cinquante langues, porté chez autant de peuplades sauvages, lointaines, et des contrées que l’audace des hommes n’avait encore osé explorer voient avec étonnement la Bible apparaître dans leur sein, changer la face de leur sol, épurer les mœurs de leurs peuples, et répandre sur elles les bienfaits de la civilisation. – Jésus avait dit : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront jamais. » – Deux mille ans se sont écoulés ; le ciel et la terre ont vieilli, mais l’Évangile est, toujours là, toujours pur, toujours nouveau, rayonnant de gloire, éternel, immuable, comme Celui qui l’a jeté dans le monde !
Comment expliquer le succès merveilleux de ce Livre ? Cherche-t-il à plaire aux hommes, flatte-t-il leurs passions pour obtenir leur approbation ? – Non ; il les accuse tous avec force de péché ; il les menace tous d’une mort éternelle. Il blâme ce qu’ils aiment ; il leur impose l’amour de ce qu’ils haïssent ; il les arrache à tous les plaisirs de ce monde pour les appeler à la sainteté du ciel ; il veut que leur vie devienne un combat qui ne se terminera qu’à leur mort.
Est-ce à la force des armes que ce Livre doit ses triomphes ? Ses amis, après des victoires sanglantes, l’ont-ils imposé, comme une loi, aux vaincus ? – Non ; c’est ce livre lui-même et ses amis qui ont été persécutés et livrés ensemble à la flamme des bûchers ; et lorsque des défenseurs imprudents de l’Évangile ont voulu lui ouvrir un chemin chez un peuple avec le glaive, alors ce livre a été repoussé et n’a eu aucun succès ; comme si Dieu, son auteur, avait voulu faire sentir aux hommes que ce n’était pas à leur petite protection, mais à la sienne toute-puissante qu’il devait ses triomphes. C’est à l’ombre de la paix, par les armes de la persuasion, sans menace, sans persécution, sans fers, sans cachot, que l’Évangile s’est établi sur la terre.
Ce Livre doit-il ses succès à son accord avec les institutions politiques, avec le caractère moral, avec le climat d’une nation en particulier ? En vénération chez un peuple auquel il convient, ne serait-il pas méprisé chez un autre ? – Non ; par un prodige inouï, ce Livre s’adapte à tous les peuples, à toutes les contrées, à toutes les institutions, à tous les besoins, à tous les caractères ; il a soumis jadis le Romain conquérant et instruit le philosophe grec ; il soumet aujourd’hui l’Indien sauvage, et instruit le Hottentot ignorant. Il a prospéré sous l’empire despotique des Césars ; il prospère de nos jours sous la modeste autorité du président des États-Unis. Ses dogmes profonds, son style simple et sublime, son harmonie mystérieuse avec les besoins du genre humain, ont été admirés d’Athènes, d’Alexandrie et de Rome ; ils sont encore admirés des savants de nos siècles modernes ; l’on a vu nos plus grands génies, les Newton, les Leibnitz, les Pascal, déposer à ses pieds les plus éclatants témoignages, en faire leur règle de foi, le fondement de leur espérance. – Maintenant, je fais une question bien simple : Le livre qui a eu de telles destinées est-il l’œuvre de l’homme ou l’ouvrage de Dieu ? Si je disais à un enfant : « Ce soleil suspendu à la voûte des cieux, qui éclaire le monde, réchauffe la terre, fait mûrir les moissons, vivifie toutes les créatures, est-ce un homme qui l’a créé ? » – Non, c’est Dieu, me dirait-il. – Et à vous, je demande : Cet Évangile, soleil de vérité, cet Évangile qui a changé la face du monde, cet Évangile qui éclaire les esprits et sanctifie les cœurs, cet Évangile qui, depuis deux mille ans, préside à tous les véritables progrès de la civilisation, qui voit prospérer les contrées qui le lisent, et dépérir celles qui l’ignorent, cet Évangile est-il l’œuvre de l’homme ? – Non ! Tout ce qui vient de l’homme est, comme lui, fragile et périssable ; son œuvre est éphémère, comme la durée de sa vie : aujourd’hui elle s’élève majestueuse, et demain elle ne présente plus qu’une ruine. Sa pensée est petite comme son intelligence ; on l’admire sur un point du globe, on la méprise dans l’autre. Sa parole, comme sa voix, s’éteint à quelques pas de lui ; puissante un instant et sur un peuple passionné, elle est faible le lendemain et devant une raison sévère. Non, la Bible n’est pas la parole de l’homme ; la Bible est la Parole de Dieu ! Oui, la Bible est la Parole de Dieu ! Sentez-vous le prix de ces mots : la Bible est la Parole de Dieu ? – Si à l’instant même cet édifice s’entr’ouvrait, et si, au-dessus de vos têtes, l’azur du ciel se partageait pour laisser vos regards pénétrer jusqu’au séjour des bienheureux et au trône de l’Éternel ; qu’un livre fût lancé de ce ciel sur cette terre, à vos pieds, et qu’une voix céleste vous fît entendre ces paroles : « Ce livre est la Parole de Dieu ; » savez-vous quel serait ce livre ? Ce serait cette Bible, telle qu’elle est en nos mains, telle que vous pouvez la lire chaque jour, sans un mot de plus ni un mot de moins ; car la Bible est la Parole de Dieu ! - – Si l’on pouvait réunir en un seul volume toute la science et toute la sagesse des savants et des philosophes de l’antiquité, du siècle présent et des âges à venir, cet amas de sagesse et de science ne vous instruirait pas autant que quelques feuilles de cette Bible ; car la Bible, la Bible est la Parole de Dieu ! – Entassez en un seul lieu tous les trésors des rois et des Crésus de ce monde ; ajoutez-y les mines d’or et d’argent que recèlent encore les entrailles, de la terre ; joignez-y les richesses que couvre l’Océan, tout cela ne vaudra pas pour vous, chrétiens, une seule ligne de la Bible : la Bible est la Parole de Dieu ! – Le Dieu qui d’un mot a créé le ciel et la terre ; le Dieu qui vous a donné l’existence, et qui, d’un souffle, peut vous l’ôter ; le Dieu qui tient en ses mains vos destinées futures, ce Dieu a choisi quelques hommes, les a animés de son Esprit, a dirigé leurs plumes, recueilli leurs écrits et formé un Volume sacré ; ce Volume, il l’a préservé du naufrage du temps, qui engloutit chaque jour les hommes et les choses ; il l’a mis dans vos mains ; et, l’ouvrant sous vos yeux, il vous y fait lire ces mots : « Sondez les Écritures, » Et vous, vous refermeriez ce livre ! vous refuseriez de lire cette Bible, ou bien vous n’en liriez que quelques lambeaux, à de longs intervalles, dans vos moments désoccupés, avec distraction, comme par acquit de conscience ! Oh ! je n’ai qu’un mot à vous dire : la Bible, la Bible est la Parole de Dieu !
Et que dit-elle, cette Parole de Dieu ? que vient-elle nous apprendre ? – O homme ! homme ! c’est ici que se montre dans toute son étendue ta coupable folie. Dévoré du désir de connaître la vérité, entouré de toutes parts de ténèbres qui la dérobent à tes yeux, lorsque tu marches au hasard, au risque de rencontrer a chaque pas un précipice, demandant ta route à des guides qui t’égarent, alors Dieu lui-même vient mettre le flambeau de sa Parole entre tes mains pour te conduire ; et toi, tu le repousserais, tu l’éteindrais pour suivre les faibles lueurs de la sagesse humaine ! Altéré d’une soif ardente de bonheur, que jusqu’à ce jour rien n’a pu satisfaire ; lorsque tu ne trouves dans le passé que souvenirs pénibles, dans le présent que travail et souffrance ; lorsque chaque désir satisfait n’est plus pour toi qu’une illusion déçue ; lorsque la félicité n’est encore pour ton cœur qu’une espérance, alors ton Dieu t’ouvre le trésor de sa Parole, source féconde d’un bonheur véritable, éternel et céleste ; et toi, tu le refuserais et le laisserais là pour aller demander ce bonheur à un monde aussi misérable que toi ! O folie ! folie humaine ! Tout ce qui est erreur et mensonge aurait-il donc seul le privilège d’enflammer ton imagination, tandis que la vérité te trouvera toujours froid et glacé ! Si la voix d’un génie humain s’élève sur la terre, tu t’agites, prêtes l’oreille et admires. Dieu a parlé ; et à sa voix tu resterais calme ; pour elle tu n’aurais ni attention ni louange ! – Mais jusqu’à ce jour, la parole du monde t’a trompé en te promettant la vérité et le bonheur ; ne voudras-tu pas tenter au moins de les demander à la Parole de Dieu, à qui tu ne saurais encore reprocher un mensonge ? Que de philosophes qui, à leur première page, t’ont pompeusement promis la vérité, et qui, à la dernière, ne t’avaient encore donné que doute, incertitude et erreur ! Que de livres frivoles t’ont fait espérer le plaisir, et qui, au dernier volume, ne t’ont laissé que mollesse dans le cœur, lassitude de la vie et dégoût pour la réalité ! Si dans la sagesse humaine que tu as dévorée jusqu’à ce jour avec tant d’ardeur et de persévérance tu n’as encore trouvé qu’erreur, orgueil et mensonge, dans la page qui t’en reste à lire trouveras-tu donc la vérité ? N’es-tu pas encore désabusé ? Ne vois-tu pas que, s’il t’a menti jusqu’à ce jour, il te mentira encore ? Laisse-le donc là pour un instant, et jette un coup d’œil sur ce Livre qui te dit renfermer la sagesse de Dieu ; ouvre, lis et médite la Bible. Si tu ne peux le faire d’abord avec faveur pour elle, fais-le, du moins, avec impartialité ; si tu ne veux lui donner tes longues veilles, donne-lui quelques minutes du jour ; si tu ne veux lui accorder toutes tes forces de méditation, accorde-lui au moins l’attention que tu donnes à la feuille éphémère que tu parcours. Peut-être, ce seul Livre qui te reste à connaître te donnera-t-il la vérité que tu cherches, le bonheur que tu désires. Lis, lis toujours ; peut-être…. Mais que fais- je ? C’est à genoux que je vous demande de lire cette Bible… Je me relève, et vous dis avec l’assurance que me donne la vérité chrétienne : Vous devez lire cette Bible : cette Bible est la Parole de Dieu ! Si votre foi n’est pas entièrement éteinte, vous devez lire cette Bible pour chercher le salut ; – si vous doutez encore, vous devez la lire pour éclaircir vos doutes ; – fussiez-vous sans croyance et sans Dieu, vous devriez lire la Bible, comme dernière tentative pour découvrir la vérité. Qui pourrait vous retenir encore ? Parce que ce Livre est délaissé par la foule qui vous entoure, n’aurez-vous pas le courage d’en secouer la poussière et de le lire ? L’incrédulité du monde est-elle donc à vos yeux une preuve irréfragable contre cette Bible ? Parce que, sur un point du globe, votre patrie, à une heure donnée, celle de votre vie, le monde ne croit pas, cela change-t-il la vérité ? D’autres contrées, d’autres siècles n’ont-ils pas cru ? Quelle folie ! Un nuage traverse les airs, et dérobe aux yeux la clarté du jour ; l’insensé crie : « Il n’y a plus de soleil ; le soleil est éteint. » Et le sage lui dit : « Encore un instant, et le nuage se dissipera ; et l’astre qui depuis tant d’années éclaire le monde lui renverra ses rayons. Ce qu’il a fait depuis le début de la Création, il le fera jusqu’à la fin des siècles ; le passé m’est garant de l’avenir. » – De même, l’incrédulité de nos jours couvre de ses ombres la lumière de la Bible au milieu de nous, et l’insensé s’écrie : « Il n’y a plus de Bible ; le Christianisme est éteint. » Et le chrétien vous dit : « Encore un instant, et l’incrédulité se dissipera, et la vérité de la Bible dardera sur la terre ses rayons plus brillants que jamais ; le passé m’est garant de l’avenir. » Aux cris moqueurs de notre siècle qui repoussent ce Livre j’oppose les cris de vingt siècles de Christianisme qui, de tous les points de la terre, vous répètent avec force et conviction : La Bible est la Parole de Dieu ! Déjà, j’aperçois les rayons du soleil de vérité s’échapper des bords du nuage ; et, tandis qu’il laisse notre point encore dans l’ombre, je le vois projeter sa lumière sur une vaste partie du globe. A la faible voix de notre patrie incrédule j’oppose les voix puissantes de cette Germanie studieuse, de ces Iles florissantes, de ce Nouveau-Monde chrétien, qui vous crient ces mots qui ne sauraient vieillir, qui retentiront dans les siècles à venir : La Bible, la Bible est la Parole de Dieu !
Mais, Seigneur, que sont les témoignages des nations pour convaincre les cœurs ? C’est celui de ton Esprit qui seul peut toucher nos âmes ; éclaire-nous donc toi-même, et alors nous croirons vraiment que la Bible est la Parole de Dieu.