« Ce sera une nécessité pour moi, de réformer à ce qu’il semble, d’après ce qui a été dit plus haut, la théogonie et la zoogonie, tellement défigurées par ceux qui nous ont précédés, lorsque nous aurons repris la suite des raisonnements déjà ébauchés contre les impies. »
Dans le second livre de la République, il nous enseigne que c’est avec raison, qu’il repousse la théologie des premiers poètes. Je crois ce passage digue d’être rapporté en entier, pour faire voir en quels termes et avec quels sentiments il combat toutes les anciennes traditions dues aux poètes et aux théologiens, au sujet des dieux de la Grèce.