v Chaque grand discours apostolique se termine par un appel au repentir (cf. Mt 3.2), pour obtenir le pardon des péchés : 3.19, 26 ; 5.31 ; 10.43 ; 13.38 ; cf. 17.30 ; 26.20 ; Lc 1.77 ; 3.8 ; 5.32 ; 13.3.
w Le baptême est donné « au nom de Jésus Christ » (cf. 1.5), on le reçoit « en invoquant le nom du Seigneur Jésus » (cf. 2.21 ; 3.16) 8.16 ; 10.48 ; 19.5 ; 22.16 ; 1 Co 1.13, 15 ; 6.11 ; 10.2 ; Ga 3.27 ; Rm 6.3, cf. Jc 2.7. Cette manière de parler ne vise peut-être pas tant la formule rituelle du baptême, cf. Mt 28.19, que la signification du rite lui-même profession de foi au Christ, prise de possession par le Christ de ceux qui désormais lui seront consacrés.
g L’expression correspond à « Prince de la vie », 3.15 ; elle correspond également à « Chef et Rédempteur », dit de Moïse comme figure du Christ, 7.35 (cf. 7.25). Voir également He 2.10 ; 12.2. Il y a un parallélisme latent entre Jésus et Moïse.
38 « Sachez-le donc, frères, c’est par lui que la rémission des péchés vous est annoncée. L’entière justification que vous n’avez pu obtenir par la Loi de Moïse,
g La mission de Paul est ici décrite à l’aide de traits bibliques relatifs aux grandes missions prophétiques Jérémie et le Serviteur de Yahvé.
h En 9.17-18, c’est Paul qui passe des ténèbres à la lumière en recouvrant la vue. En 22.16 (cf. 9.18), c’est Paul qui doit se purifier de ses péchés en recevant le baptême. Ainsi ce qu’il a éprouvé lui-même devient un symbole de sa mission à l’égard des autres.