Préparation évangélique

Eusèbe de Césarée

Présentation de l’auteur

Eusèbe de Césarée ou Eusèbe (de) Pamphile (en grec ancien Εὐσέϐιος, en latin Eusebius Pamphili), né vers 265 et mort le 30 mai 339, est un évêque de Césarée en Palestine. Élève de Pamphile de Césarée, il échappa aux persécutions de Dioclétien et est un soutien absolu de l’empereur romain Constantin I^er. Il est l’auteur de nombreuses œuvres historiques, apologétiques, bibliques et exégétiques, dont une importante, l’Histoire ecclésiastique.

Il est considéré comme le « père de l’histoire ecclésiastique » et, bien qu'il ne soit pas reconnu comme un Père de l'Église, ses écrits historiques ont une importance capitale pour la connaissance des trois premiers siècles de l'histoire chrétienne.

Eusèbe entretient des relations favorisées avec l’arianisme, défendant Arius à de nombreuses reprises en demandant sa réintégration et s’excusant envers ses ouailles d’avoir accepté le Concile de Nicée. Sa politique religieuse en la matière suit généralement celle de l’empereur Constantin, qu’il suit fidèlement sur tous les sujets religieux.

Table des matières

♦	Notice sur Eusèbe, évêque de Césarée, et sur ses ouvrages.
LIVRE I
1.	Quel est positivement le sujet de ce traité que nous appelons évangélique.
2.	Quel est le langage ordinaire de ceux qui entreprennent de nous calomnier.
3.	Que ce n’est point sans examen que nous avons embrassé la doctrine du salut.
4.	Que ce n’est point inconsidérément que nous avons embrassé la croyance des vérités les plus salutaires, lorsqu’elles nous ont été présentées.
5.	Que ce n’est point sans avoir fait de sages réflexions que nous avons abjuré l’erreur superstitieuse de nos pères.
6.	De la théologie primitive des Phéniciens et des Égyptiens.
7.	Quel est le système des Grecs sur l’origine du monde ?
8.	Opinions des philosophes sur la formation de l’univers.
9.	Que les hommes de l’antiquité n’ont adoré que les astres, qu’ils n’ont connu ni le Dieu de l’univers, ni l’érection des statues, ni les démons.
10.	Théologie des Phéniciens.
LIVRE II
♦	Préambule.
1.	Abrégé de la théologie égyptienne et son introduction chez les Grecs.
2.	Abrégé de la mythologie des Grecs sur les dieux et les héros.
3.	Abrégé des initiations secrètes et des mystères occultes du polythéisme.
4.	Quelles raisons nous ont déterminés à repousser de semblables doctrines sur la Divinité.
5.	Résumé de ce que nous avant dit jusqu’ici.
6.	Ce que l’on appela les temples des Dieux n’était autre chose que les tombeaux des morts.
7.	Sentiments de Platon sur la théologie des anciens.
8.	Théologie des Romains.
LIVRE III
♦	Préambule.
1.	De la théologie naturelle des Grecs.
2.	Sans titre.
3.	De la théologie allégorique des Égyptiens.
4.	Suite du même sujet, où nous prouvons que ces interprétations métaphoriques ne conduisent pas en résumé au-delà des astres du ciel, ni plus loin que l’eau, le feu et les autres parties du monde visible.
5.	Toutes ces extravagances portent en elles-mêmes le caractère de leur condamnation.
6.	Que nous avons eu raison de préférer l’unique vraie théologie aux explications allégoriques des philosophes sur la nature des dieux.
7.	Quelles explications les philosophes modernes ont ajoutées à la théologie fabuleuse, pour en découvrir les principes.
8.	De la confection des statues et des idoles chez les anciens.
9.	Suite de la théologie allégorique des Égyptiens et des Grecs.
10.	Réfutation de toutes ces allégories forcées.
11.	Réfutation péremptoire des doctrines des Grecs.
12.	De l’idole d’Éléphantis.
13.	Du sacrifice d’un bœuf offert au soleil à Hiéropolis.
14.	Un argument puissant contre les interprétations allégoriques, c’est que leurs auteurs contredisent leur propre doctrine par leur conduite.
15.	Que d’un autre côté les dieux eux-mêmes accréditent les interprétations des philosophes et détruisent les fables par les allégories qu’ils y opposent.
16.	Qu’il faut ranger parmi les choses impossibles, que les parties du monde ou les puissances divines soient soumises à une force magique et rendent des oracles quand on les consulte.
17.	Qu’il ne faut attribuer tous ces oracles qu’à l’artifice des démons.
LIVRE IV
1.	Des oracles établis dans certaines villes, et de ceux en particulier dont les réponses célèbres sont dues à des apparitions extraordinaires des dieux. Quelle est la raison du mépris que nous professons pour eux ?
2.	Combien il est facile de démontrer que toutes ces réponses d’oracles ne sont qu’un tissu de fables et d’impostures, œuvre de la fraude et de la fourberie.
3.	On démontre d’après Diogénien que l’art de la divination est dépourvu de fondements, qu’il n’aboutit le plus souvent qu’à l’erreur, et que les prédictions des oracles sont toujours vaines et inutiles, quelquefois même dangereuses.
4.	Que nous sommes redevables à la doctrine évangélique d’être délivrés de toutes ces misères.
5.	Division de la théologie des Grecs.
6.	Que ce n’est pas chez nous, mais dans les écrits mêmes des Grecs, que nous avons puisé les témoignages sur lesquels nous appuyons nos démonstrations.
7.	Exposition des mystères des oracles d’après les témoignages des Grecs : serment au sujet des oracles, tirés des écrits de Porphyre.
8.	Il faut se garder de divulguer ce qu’en dit le philosophe.
9.	Quels sacrifices il faut offrir aux dieux d’après la doctrine de l’oracle d’Apollon.
10.	Qu’il ne faut point regarder comme des dieux véritables, ceux auxquels on offre des animaux en sacrifice.
11.	Que rien de terrestre ne doit être brûlé et immolé en l’honneur du Dieu suprême.
12.	Que de semblables sacrifices ne doivent point être offerts non plus aux puissances divines.
13.	Nouvelle autorité en faveur de cette assertion, qu’il ne faut immoler ou offrir rien de terrestre au Dieu souverain.
14.	Que les sacrifices d’animaux sont une injustice, une impiété, un crime digne de toutes les imprécations.
15.	Que les Grecs n’offraient pas ces sortes de sacrifices aux dieux, mais aux démons.
16.	Sur les anciens sacrifices humains d’après Porphyre et quelques autres philosophes.
17.	Les anciens sacrifices humains abolis par la doctrine évangélique.
18.	Porphyre défend d’offrir des victimes aux méchants démons.
19.	Il ne faut s’attacher qu’au Dieu souverain.
20.	Apollon ordonnant d’offrir des sacrifices aux méchants démons.
21.	Notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, seul libérateur du genre humain, qu’il a affranchi du joug des démons.
22.	Manière dont les démons opèrent leurs prestiges.
23.	Des méchants démons et de leurs chefs. Ces mauvais esprits prennent la forme de toutes sortes d’animaux pour tromper les hommes.
LIVRE V
1.	Nouvelle preuve de l’action des mauvais démons dans les divinations et les oracles des païens : leur impuissance et leur chute depuis la prédication de l’Évangile de notre Sauveur.
2.	Comment s’exerçait l’action des démons.
3.	Multiplicité et diversité des doctrines superstitieuses des Grecs au sujet de leurs dieux.
4.	Tous les oracles et toutes les prophéties des anciens peuples n’étaient que l’œuvre des mauvais démons.
5.	Tout ce que la fable attribue aux dieux n’est que l’histoire mystérieuse des démons.
6.	On ne peut attendre que la mort, de ceux mêmes qui portent le titre de bons démons.
7.	Les démons sont les honteux esclaves des passions lubriques. Quelle est celle qui domine dans chacun d’eux.
8.	Aveux des dieux, d’où il résulte qu’ils sont soumis malgré eux à une force irrésistible qui les contraint de céder aux enchantements et aux invocations des hommes.
9.	Que les dieux ne sont pas libres de se dégager, quand ils le veulent, de la nécessité qui leur est imposée par les invocations.
10.	Quels artifices mettent en œuvre les devins pour forcer leurs merveilleuses divinités à se soumettre à eux.
11.	Que ce sont les démons eux-mêmes, ces prétendus dieux, qui ont instruit les hommes des prestiges à employer contre eux.
12.	De quelle manière mystérieuse ils veulent que leurs idoles soient confectionnées.
13.	La forme de ces statues décrite par eux-mêmes.
14.	L’art magique inspiré par les dieux.
15.	Prédilection des dieux pour la matière inanimée.
16.	La chute des oracles prédite par Apollon lui-même.
17.	De la mort des démons que les païens prenaient pour des dieux.
18.	Des plus célèbres oracles connus dans l’ancienne Grèce.
19.	Invectives contre Apollon au sujet de l’obligation imposée par lui aux Athéniens d’envoyer en Crète sept jeunes gens et sept jeunes filles pour y être immolés.
20.	L’ambiguïté des oracles d’Apollon cause de la mort d’un grand nombre de ceux qui le consultaient.
21.	La ruine de l’empire de Crésus causée par la réponse équivoque d’Apollon.
22.	Comment ils se jouent de ceux qui les consultent, et de quelle manière ils les induisent en erreur.
23.	Qu’ils ne savent que cacher leur ignorance sous des termes obscurs et inintelligibles.
24.	Dans leur impuissance à secourir en aucune manière leurs clients dans les dangers de la guerre, ils ont recours à des réponses équivoques pour leur en imposer et les induire en erreur.
25.	Réponse de l’oracle aux Lacédémoniens.
26.	Réponse du même oracle aux habitants de Cnide.
27.	Ils allumaient le feu de la guerre entre les parties qui venaient les consulter.
28.	Que la réponse faite à Lycurgue, législateur des Lacédémoniens, n’est pas digne d’un dieu.
29.	On n’a jamais obtenu des oracles une réponse sur des choses sérieuses et utiles.
30.	Ils ont souvent donné des conseils que le plus simple bon sens dictait de lui-même.
31.	Souvent même ils n’ont donné que des conseils ridicules.
32.	Souvent ils ont pris parti pour les causes injustes.
33.	Ils ont impudemment accordé les mêmes éloges que le vulgaire aux poètes dont les mœurs n’étaient rien moins que pures.
34.	Qu’ils ont fait rendre les honneurs divins à de simples athlètes, vainqueurs à la lutte ou au pugilat.
35.	Que ces dieux aiment à flatter les tyrans.
36.	Qu’ils ont été jusqu’à faire rendre les honneurs divins à la matière inanimée.
LIVRE VI
♦	Préambule de tout le livre
1.	Que c’est uniquement d’après le cours des astres que les démons, conjecturant à la manière des hommes, prédisent les choses futures qu’ils font annoncer par leurs oracles.
2.	Les oracles nous enlèvent notre liberté en prétendant que les mouvements de notre volonté sont soumis au destin.
3.	Que les dieux ne peuvent préserver de la foudre les temples mêmes qui sont consacrés à leur culte.
4.	Les oracles enseignent qu’il faut avoir recours aux artifices de la magie pour se soustraire à l’influence du destin.
5.	Le mensonge se trouve quelquefois dans la bouche des oracles.
6.	Réfutation de la doctrine sur le destin.
7.	Les philosophes grecs eux-mêmes ont combattu, par des raisonnements invincibles, la doctrines des dieux eux-mêmes sur le destin. (Extrait d’Œnomaüs).
8.	Suite du même sujet. Extrait de Diogénien le péripatéticien contre Chrysippe qui, tout en prétendant conserver en nous la cause des divers événements, reconnaissait que tout était soumis au destin : preuve qu’il ne comprenait pas ce qu’Homère dit du destin.
9.	Suite du même sujet. (Extrait d’Alexandre d’Aphrodisée.)
10.	Réfutation de la doctrine du destin par des considérations mathématiques. Extrait des écrits de Bardesanes.
11.	Réfutation de la doctrine du destin, d’après des commentaires et des témoignages des saintes Écritures. Extrait d’un ouvrage d’Origène.
LIVRE VII
1.	Institutions des anciens Hébreux ; que c’est avec raison que nous avons mis leurs livres sacrés au-dessus des ouvrages que nous ont laissés nos pères.
2.	Récapitulation des divers points de la théologie des autres nations : de combien de maux elle a été la source pour la société.
3.	Parallèle des mœurs des Hébreux : ce qu’ils ont pensé de l’auteur et créateur de l’univers.
4.	Leur sentiment sur l’immortalité de l’âme et la nature des corps.
5.	Comment ils méritèrent par leur amour les apparitions et les révélations divines rapportées dans leurs écritures.
6.	De quel éclat, même avant le judaïsme et la naissance de Moïse, brillait déjà leur piété.
7.	Que ce fut Moïse lui-même qui consigna dans un écrit particulier la vie des Hébreux qui avaient vécu avant lui.
8.	Que nous avons été judicieux et sages de recevoir leur histoire. Exposé rapide des mœurs des hommes religieux qui ont vécu avant le déluge et après, jusqu’à Moïse.
9.	Préceptes dogmatiques des Hébreux.
10.	De la Providence générale, de la création et de l’arrangement du monde.
11.	Sentiment des Hébreux au sujet de Dieu, première cause de toutes choses.
12.	Théologie des Hébreux sur le second principe.
13.	Sentiment de Philon sur le second principe.
14.	Sentiment d’Aristobule sur le même sujet.
15.	De la formation des créatures raisonnables.
16.	Des puissances contraires.
17.	De la nature de l’homme.
18.	Sentiment de Philon sur l’âme.
19.	Que la matière n’est pas incréée.
20.	Sur le même sujet. Extrait des Commentaires d’Origène sur la Genèse.
21.	Extrait de Philon sur le même sujet.
22.	Que la matière n’est point incréée : qu’elle n’est point la source du mal.
LIVRE VIII
1.	Exorde de la république théocratique de Moïse.
2.	Portrait d’Aristée sur la traduction des écritures des Juifs.
3.	Lettre de Démétrius de Phalère au roi égyptien Ptolémée.
4.	Lettre du roi Ptolémée à Éléazar, grand-prêtre des Juifs.
5.	Lettre du grand-prêtre Éléazar au roi Ptolémée.
6.	De Philon sur la sortie des Juifs de l’Égypte.
7.	Le même sur la constitution théocratique donnée par Moïse.
8.	De Josèphe, sur la civilisation introduite par Moïse.
9.	Hypotypose du grand-prêtre Éléazar, du sens caché dans les saintes lois tiré du livre d’Aristée.
10.	Tiré d’Aristobule sur ce qu’on nomme les membres de Dieu.
11.	De la vertu pratique des anciens philosophes parmi les Hébreux.
12.	De même sur les mêmes.
13.	De Philon sur Dieu et sur ce que l’univers a dû être créé.
14.	Du même, sur ce que le monde est gouverné par la providence divine.
LIVRE IX
1.	Quels sont les historiens parmi les Grecs qui ont fait mention de la nation juive.
2.	De Théophraste concernant les Juifs, tiré du second livre de Porphyre sur l’abstinence de la chair des animaux.
3.	De Porphyre sur la philosophie qui a brillé chez les Juifs dès les temps les plus anciens.
4.	Tiré d’Hécatée sur les Juifs.
5.	Cléarque sur les mêmes, tiré du premier livre des songes.
6.	Tiré du premier livre des Stromates de Clément d’Alexandrie sur la mention faite de la nation des Juifs.
7.	De Numénius, philosophe pythagoricien sur les Juifs, tiré du premier livre du traité du bien.
8.	Du même sur Moïse et en même temps sur les Juifs, tiré du troisième livre du même ouvrage.
9.	Du poète Chœrilé sur les Juifs.
10.	Tiré de Porphyre, notre contemporain. Oracles d’Apollon concernant les Hébreux.
11.	Des Antiquités de Josèphe. Quels sont les historiens du dehors qui ont fait mention du déluge de Moïse.
12.	De l’histoire d’Abydène concernant le déluge.
13.	Tiré des Antiquités de Josèphe pour prouver que la longévité des premiers hommes est un fait mentionné par de nombreux écrivains.
14.	Tiré de l’histoire d’Abydène sur la construction de la tour.
15.	Comment beaucoup d’autres auteurs ont fait mention du même fait tiré des Antiquités de Josèphe.
16.	Du patriarche des Hébreux. Abraham. Tiré du même.
17.	D’Eupolémus touchant Abraham, d’après Alexandre Polyhistor dans le traité sur les Juifs.
18.	D’Artapan, tiré du même ouvrage de Polyhistor.
19.	Tiré du même auteur, extrait de Molon.
20.	De Philon sur Abraham.
21.	De Démétrius sur Jacob.
22.	De Théodote sur le même sujet.
23.	Tiré d’Artapan sur Joseph.
24.	De Philon sur le même.
25.	D’Aristée sur Job.
26.	D’Eupolémus sur Moïse.
27.	D’Artapan sur le même.
28.	Tiré d’Ézéchiel sur le même sujet.
29.	De Démétrius sur le même.
30.	Ézéchiel sur le même.
31.	Tiré d’Eupolèmus, concernant David, Salomon et Jérusalem.
32.	Salomon au roi d’Égypte Vaphrès, son ami par succession paternelle, salut.
33.	Le roi Vaphrès au grand roi Salomon, salut.
34.	Le roi Salomon, à Souron roi de Tyr, de Sidon et de la Phénicie, son ami et celui de son père.
35.	Souron au grand roi Salomon, salut.
36.	Théophile sur Salomon.
37.	Eupolémus sur Salomon.
38.	Tiré de Timocharès, concernant Jérusalem dans son histoire d'Antiochus.
39.	Tiré du Schœnomètre de Syrie sur la même ville.
40.	De Philon sur les eaux qui sont dans Jérusalem.
41.	Tiré d’Aristée sur le même sujet.
42.	Tiré d’Eupolémus sur le prophète Jérémie.
43.	De Bérose sur la captivité des Juifs, sous Nabuchodonosor ; sur les rois de Babylone depuis Nabopolassar jusqu’à la ruine de cet empire par Cyrus, tiré de Josèphe Contre Apion.
44.	D’Anydène, dans son écrit sur Nabuchodonosor.
45.	Du même sur la fondation de Babylone.
46.	Du premier livre de Josèphe sur l’Antiquité des Juifs.
LIVRE X
1.	Que les Grecs doivent au barbares les plus estimables de leurs sciences et de l’antiquité des Hébreux.
2.	De Clément sur le plagiat des écrivains Grecs.
3.	De Porphyre, sur ce que les Grecs étaient plagiaires, tiré du premier livre de l’enseignement philologique.
4.	Que ce n’est pas sans motif que nous avons préféré la théologie des Hébreux à la philosophie des Grecs.
5.	Que les Grecs ont tiré en toutes choses de grands secours des barbares.
6.	Sur le même sujet tiré de Clément.
7.	De Josèphe sur le même sujet.
8.	De Diodore sur le même sujet.
9.	De l’ancienneté de Moïse et des Prophètes chez les Hébreux.
10.	Tiré du troisième livre des Chronographies d’Africanus.
11.	De Tatien contre les Grecs sur le même sujet.
12.	Du premier livre des Stromates de Clément sur le même sujet.
13.	Du premier livre de Flavius Josèphe sur les Antiquités des Juifs.
14.	Que le temps des philosophes de la Grèce est infiniment postérieur à l’histoire des Hébreux.
LIVRE XI
♦	Exorde de cette division de l’ouvrage.
1.	De l’accord entre la philosophie de Platon et celle des Hébreux, dans les points essentiels.
2.	Tiré d’Atticus sur la triple division de la philosophie suivant Platon.
3.	D’Aristoclès sur la philosophie de Platon.
4.	Des dogmes moraux chez les Hébreux.
5.	De la logique pratique chez les Hébreux.
6.	De la rectitude dans l’imposition des noms chez les Hébreux.
7.	De la philosophie naturelle chez les Hébreux.
8.	De la physique appliquée aux choses de l’entendement.
9.	De l'être par excellence suivant Moïse et Platon.
10.	Du second tome de l’ouvrage de Numénius le pythagoricien, intitulé Du Bien.
11.	Extrait du traité de Plutarque, intitulé de εἰ, inscrit à Delphes.
12.	Que la divinité n’a point de terme qui l’explique.
13.	Qu’il n’y a qu’un seul Dieu.
14.	De la cause seconde, suivant les Hébreux et Platon.
15.	De Philon sur la deuxième cause.
16.	De Platon sur la seconde cause.
17.	De Plotin sur la seconde cause.
18.	De Numénius sur le même sujet.
19.	D’Amélius sur la théologie de notre évangéliste Jean.
20.	Des trois hypostases archiques.
21.	De la nature essentielle du bien.
22.	De Numénius. Du Bien.
23.	Des idées d’après Platon.
24.	Tiré de Philon concernant les idées d’après Moïse.
25.	De Clément sur les idées.
26.	Des Hébreux et de Platon sur les puissances contraires.
27.	De l’immortalité de l’âme suivant les Hébreux et Platon.
28.	De Porphyre sur le même sujet.
29.	Que le monde a eu un commencement.
30.	Des flambeaux célestes.
31.	Que toutes les œuvres de Dieu sont bonnes.
32.	De l’altération et des changements de l’univers.
33.	De la résurrection des morts d’après Platon.
34.	De la destruction de l’univers.
35.	Que Platon parle de la résurrection des morts en termes semblables à ceux des Hébreux.
36.	De Plutarque sur le même sujet.
37.	Que la manière dont Platon parle d’une terre céleste est tout à fait conforme à ce qu’en disent les Hébreux.
38.	Que Platon est dans une croyance semblable à celle des Hébreux, sur le jugement qui doit succéder à la mort.
LIVRE XII
1.	Tiré du premier livre des lois de Platon pour prouver que les enfants des Hébreux avaient raison d’enseigner une foi exemple de toutes les recherches des sciences à ceux qu’ils instruisaient (dans leur religion), à cause de l'imperfection de ces mêmes sciences.
2.	La foi, d’après Platon, est la plus belle de toutes les vertus.
3.	Nous devons ajouter foi à ce qui nous est enseigné au sujet de l’âme et aux autres dogmes du même genre.
4.	Qu’il conviendra de donner les premières instructions aux enfants, sous la forme de fables.
5.	Qu’on ne doit point communiquer aux enfants des fables pernicieuses, mais seulement celles qui peuvent leur être utiles.
6.	Que Platon ne borne pas la foi à la simple profession, mais qu’il déclare que notre foi et notre conviction doivent se manifester par toute sorte de manière, en quoi nous sommes d’accord avec lui.
7.	Que l’on ne doit pas communiquer à toute espèce de personnes les dogmes les plus essentiels de la vérité.
8.	Comment Platon veut que soient les magistrats que l’on s'impose, que ce ne doivent pas et à des hommes du commun et illettrés, à moins qu’ils ne fassent preuve d’un grand caractère. Tiré du troisième livre des lois.
9.	Que l’on doit fuir les emplois publics.
10.	De l’homme juste suivant Platon.
11.	Du paradis d’après Moïse.
12.	Comment on dit que la femme a été tirée de l’homme.
13.	De la première manière de vivre des hommes.
14.	Que les hommes étaient en société avec les animaux raisonnables.
15.	Comment il a fait mention du déluge.
16.	Que la véritable instruction commence par traiter les choses divines, afin d’en venir aux choses humaines.
17.	Qu’il est bon de former aux actes de la piété les enfants, dès l’âge le plus tendre.
18.	Qu’on ne doit considérer comme éducation que ce qui porte à la vertu, et non ce qui a pour objet d'augmenter la richesse ou de favoriser les commodités de la vie.
19.	Que d’accord avec les Hébreux, Platon déclare que les choses d’ici bas ne sont que l’image des choses plus divines.
20.	Qu’on doit former les jeune gens en leur faisant apprendre des hymnes et des odes qui respirent la vertu.
21.	Quels sont les sentiments que les odes doivent exprimer.
22.	Qu’il n’est pas donné à tout le monde de composer d’excellentes odes et de bon poèmes, mais à Dieu et aux hommes qui participent à la divinité.
23.	Des juges en état de discerner quels sont les chants composés dans l’Esprit de Dieu.
24.	Que même dans les festins on doit faire un choix des chants à y faire entendre d’après certaines lois somptuaires.
25.	Que l’on ne doit pas permettre indistinctement de faire usage du vin comme boisson.
26.	Que Platon n’ignorait pas que les lois qu’il proposait avaient déjà été mises en pratiques dans certaines institutions politiques de peuples barbares.
27.	Qu’il existe une lutte de nous contre nous-mêmes et contre nos passions.
28.	Que ce n’est pas le corps mais que c’est l’âme qui est cause de toutes nos mauvaises actions.
29.	Du pur philosophe tiré du téætète.
30.	De l’art sophistique parmi les hommes.
31.	Que l’on doit quelquefois faire usage du mensonge comme d’un remède pour l’avantage de ceux qui en ont besoin.
32.	Que ce ne sont pas les hommes seuls, mais aussi les femmes et toutes les classes de l’humanité qui doivent être utiles à l’éducation que nous venons d'indiquer.
33.	Que l’on ne doit pas calomnier toute notre population, à cause de quelques individus qui ne vivent pas suivant la règle.
34.	Comment Platon a transporté dans le plus pur hellénisme les oracles contenus dans nos proverbes.
35.	Sur la richesse et la pauvreté.
36.	Du respect filial.
37.	De la possession ou acquisition des esclaves.
38.	Comment Platon a traduit le passage de Moïse : ne déplacez pas les limites éternelles que vos pères ont fixées.
39.	Passage semblable à celui qui dit : transportez aux enfants de ceux qui me haïssent, jusqu’à la 3^e et 4^e génération, la faute de leurs pères.
40.	Des voleurs.
41.	Du voleur assassiné.
42.	Des bêtes de somme.
43.	Que Platon a fait usage des mêmes exemples que nous trouvons allégués dans l’Écriture des Hébreux.
44.	Sur d’autres comparaisons semblables entre elles.
45.	Sur le même sujet.
46.	Toujours sur le même sujet.
47.	Que Platon, dans les Lois, divise les citoyens en douze tribus, à l’instar de la nation hébraïque.
48.	Platon ordonne par ses lois de construire la cité dans le voisinage d’un fleuve ; il en donne une description à la contrée ou est située Jérusalem.
49.	Comment Platon repousse, à cause des dangers qu’elle présente, la première éducation des Grecs.
50.	Tiré du dixième livre des Lois. De l’opinion des athées.
51.	Comment Platon dispose son raisonnement sur Dieu.
52.	Comment il définit Dieu par la providence qui préside à l’univers. Tiré du dixième des Lois.
LIVRE XIII
♦	Introduction.
1.	Comment Platon démontrait l’absurdité de la théologie grecque.
2.	Sur le même sujet.
3.	Tiré du deuxième livre de la République, sur le même sujet et sur ce que Dieu n’est pas cause de mal.
4.	Les récits concernant les dieux de la Grèce ne renferment que des fables honteuses auxquelles Socrate ayant refusé de croire, il eut mis à mort par les Athéniens.
5.	Tiré de Numénius dans l’écrit des mystères contenus dans Platon, sur le même sujet.
6.	Que l’on ne doit pas adhérer aux opinions de la multitude, ni se départir de sa propre façon de penser, même par la crainte de la mort.
7.	Qu’on ne doit pas attaquer ceux qui se préparent à des actes injustes envers nous.
8.	Qu’on ne doit pas condamner ce que l’on a une fois jugé équitable, quand même la mort en serait la conséquence, ce qui nous guidera dans la conduite envers ceux qui dans le temps de persécution ont été parjures à leur foi.
9.	Dans quelle disposition d’esprit doit être l’homme qui, par la crainte de la mort, devient parjure à sa première résolution.
10.	Qu’on doit braver la mort pour la défense de la vertu.
11.	Qu’on doit honorer la mort de ceux qui ont quitté glorieusement la vie.
12.	Comment avant nous Aristobule le péripatéticien a signalé les emprunts faits par les Grecs à la philosophie des Hébreux. Tiré de l’ouvrage d’Aristobule, dédié au roi Ptolémée.
13.	Clément prouve également par des exemples que ce qu’il y a eu de mieux dit par les Grecs est tout-à-fait en harmonie avec les dogmes hébreux.
14.	Que tout ce qu’a dit Platon n’a pas été heureusement dit, c’est pourquoi nous avons adopté, de préférence à la philosophie de ce grand homme, les oracles des Hébreux.
15.	Que Platon n’a pas toujours suivi la droite ligne sur la question des substances intellectuelles, comme l’ont fait les Hébreux.
16.	Platon n’a pas toujours eu des idées très saines ni conformes à celles des Hébreux, sur la nature de l’âme.
17.	Que la nature de l'âme n’est pas formée de l’union d’une substance impassible et d’une autre passible. Tiré du Traité de l'âme de Sévère le platonicien.
18.	Du ciel, des flambeaux célestes et de l’opinion erronée que Platon en avait conçue en général. Tiré de l’Épinomide du Timée du deuxième livre des Lois ; puis de la défense que Moïse avait faite de rendre un culte aux astres et de la manière dont Philon le Juif l’interprète.
19.	Quels sont les lois et dans la république les règlements concernant les femmes que Platon a eu tort d’y introduire et que la loi des Hébreux interdit.
20.	Ce que Platon a réglé dans Le Phèdre sur l’amour contre nature, est en opposition avec la législation de Moïse.
21.	Que les lois pénales prononcées par Platon sont indignes des nobles conceptions de ce philosophe, et ne peuvent être mises en parallèle avec celles de Moïse.
LIVRE XIV
1.	Préambule des sujets traités dans ce livre.
2.	Du dissentiment et de la lutte qui existe entre les différentes sectes de philosophes.
3.	De l’accord qui règne dans les doctrines des Hébreux.
4.	Comment Platon les a attaqués dans le Théætète.
5.	De la première succession de l’école de Platon. Tiré de Numénius le pythagoricien.
6.	D’Arcésilas fondateur de la seconde académie. Tiré du même.
7.	Quelle était la manière de vivre de ces philosophes. De Lacyde successeur d’Arcésilas. Tiré du même auteur.
8.	De Carnéade fondateur de la troisième académie. Tiré du même auteur.
9.	De Philon successeur de Clitomaque, qui lui-même avait remplacé Carnéade. Tiré du même auteur.
10.	Qu’il y a dans les philosophes grecs que conjectures, disputes de mots et incertitude infinie. Tiré de la lettre de Porphyre à Anebon, de sa réponse au traité de l’âme de Boethus ; et tiré aussi de son livre de la philosophie par les oracles.
11.	De la géométrie, de l’astronomie et du calcul. Tiré des Apomnemoneumata de Xénophon.
12.	De ceux qui se targuent d’être physiologistes. Tiré de la lettre du même à Eschine.
13.	De la gymnastique et de la musique d’après Platon dans la République.
14.	Doctrines des philosophes sur les éléments. Tiré de Plutarque dans son Traité des sentiments des philosophes sur les doctrines naturelles.
15.	De la doctrine d’Anaxagore d’après Socrate dans le Traité de l’âme de Platon.
16.	Opinions des philosophes sur les dieux. Tiré de Plutarque.
17.	Contre Xénophane et Parménide qui anéantissaient le témoignage des sens. Tiré du huitième livre de l’Histoire de la philosophie par Aristoclès.
18.	Contre les sceptiques suivant Pyrrhon, ou ceux qu’on nomme éphectiques, c’est-à-dire refusant leur assentiment, parce qu’ils soutiennent que rien n’est compréhensible. Tiré du même.
19.	Contre les philosophes de l’école d’Aristippe qui soutiennent qu’il n’y a pas d’autres conceptions vraies que celles qui tiennent au plaisir ou à la douleur : que toutes les autres choses sont incompréhensibles. Tiré du même auteur.
20.	Contre Métrodore et Portagore qui disent qu’on ne doit accorder de confiance qu’aux sens. Tiré du même.
21.	Contre les épicuriens qui établissent comme la fin que nous devons nous proposer, la volupté. Tiré du même.
22.	Contre ceux qui définissent le souverain bien par la volupté. Tiré du Philèbe de Platon.
23.	Contre les épicuriens qui nient la providence, et attribuent aux atomes l’origine de l’univers. Tiré du Traité de la nature par Denys, évêque d’Alexandrie.
24.	Réfutation prise des exemples que fournit la société des hommes. Tiré du même.
25.	De la création de l’univers. Tiré du même.
26.	De la nature de l’homme. Tiré du même auteur.
27.	Que le travail n’est pas un effort pénible en Dieu. Tiré du même.
LIVRE XV
1.	Préface dans laquelle on résume tout l’ouvrage.
2.	Tiré d’Aristoclès le péripatéticien sur Aristote et sur ce qu’on en raconte. Pris dans son 7^e livre de l’Histoire de la philosophie.
3.	Des dogmes d’Aristote. En quoi ils diffèrent de ceux des Hébreux et de Platon sur la question du bien final.
4.	D’Atticus le platonicien contre Aristote, en ce qu’il diffère de Moïse et de Platon sur la question du bien final.
5.	Du même, relativement au dissentiment qui règne entre Aristote, d’une part, Moïse et Platon de l’autre, sur la question de la providence.
6.	Du même contre le même, lorsque contrairement aux doctrines de Moïse et de Platon, il nie que le monde ait eu un commencement.
7.	Du même contre le même sur la cinquième essence supposée des corps, dont Moïse ni Platon n’ont point eu connaissance.
8.	Du même contre le même, à cause des différences qui le divisent d’avec Platon dans les théorèmes concernant le ciel : questions auxquelles Moïse n’a accordé aucune attention.
9.	Du même contre le même, sur le dissentiment entre lui d’une part, Platon et les doctrines des Hébreux d’autre part, concernant de l’âme.
10.	Du second livre de Plotin de l’immortalité de l’âme, contre Aristote qui soutient que l’âme est une entéléchie.
11.	Tiré de Porphyre sur le même sujet, dans son Traité de l'âme contre Boethus.
12.	Contre le même, pour sa différence d’avec Platon sur la question de l’âme universelle. Tiré d’Atticus.
13.	Contre le même qui tourne en ridicule les idées de Platon, que les anciens Hébreux n’ont pas ignorées, comme leurs livres en font foi. Tiré du même.
14.	De la philosophie des Stoïciens ; en quels termes Zénon définissait les principes. Tiré du 7^e livre d’Aristoclès sur la philosophie.
15.	Quelle est l’opinion que les Stoïciens ont conçue de Dieu et de la constitution de l’univers. Extrait de l’Abrégé d’Arius Didyme.
16.	De Porphyre. Contre l’opinion que les Stoïciens se sont formée de Dieu. Tiré de la réfutation de Boetus dans son livre De l’âme.
17.	Que l'Être par excellence n’est pas un corps comme le veulent les Stoïciens. Tiré du premier livre de Numénius sur le bien (περὶ τἀγαθοῦ).
18.	Ce que les Stoïciens pensent sur l’embrasement de l’univers.
19.	De l’opinion des Stoïciens sur la palingénésie universelle.
20.	Des opinions que les Stoïciens se sont formées sur l’âme.
21.	Réfutation par Longin de l’opinion que les Stoïciens se sont formée de l’âme.
22.	Contre les Stoïciens, pour démontrer qu’ils ne peuvent prouver que l’âme soit un corps. Tiré de Plotin, sur l’âme.
23.	Opinions des philosophes physiciens sur le soleil.
24.	De la grandeur du soleil.
25.	De la forme du soleil.
26.	De la lune.
27.	De la grandeur de la lune.
28.	De la figure de la lune.
29.	De la lumière de la lune.
30.	Quelle est l’essence des planètes et des étoiles fixes.
31.	De la forme des astres.
32.	Comment le monde a été formé.
33.	Si le tout est unique.
34.	Si le monde a une âme et s’il est gouverné par une providence.
35.	Si le monde est indestructible.
36.	D’où le monde s’alimente-t-il ?
37.	Par quoi Dieu a-t-il commencé à créer le monde.
38.	De l’arrangement du monde.
39.	Quelle est la cause de l’inclination de l’univers.
40.	Sur la question de savoir s’il y a vide en dehors du monde.
41.	Quelle est la droite du monde et quelle en est la gauche.
42.	Du ciel et de sa substance.
43.	Des démons et des héros.
44.	De la matière.
45.	De l’idée exemplaire.
46.	Du classement des astres.
47.	De la direction et du mouvement des astres.
48.	D’où les astres tiennent-ils leur lumière.
49.	Des feux appelés dioscures.
50.	De l’éclipse du soleil.
51.	De l’éclipse de la lune.
52.	De la face de la lune et pourquoi elle ressemble à une terre.
53.	De la distance de la lune au soleil.
54.	Des années.
55.	De la terre.
56.	De la forme de la terre.
57.	De la situation de la terre.
58.	Du mouvement de la terre.
59.	De la mer, comment elle s’est rassemblée, d’où vient son amertume.
60.	Des parties de l’âme.
61.	Du principe dirigeant de l’âme.
62.	Que Socrate le plus sage des grecs montrait la folie des philosophes qui tiraient grande vanité de leur science en physique : comment il faisait voir qu’ils usaient leur temps à des choses d’abord inutiles à la vie, puis incompréhensibles.

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